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(Dé)Valoriser son image professionnelle Aksis VSI

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Po3m
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Re: (Dé)Valoriser votre image professionnelle Aksis

Message non lu par Po3m » 20 sept. 2020 13:42

Bonjour

Vis à vis de ce type de formation : officiellement je n'ai pas le droit, même si ça parait con. En effet, dans le contrat RSA, vous n'avez pas le droit (je vous assure que c'est "vrai" même s'ils fermeraient les yeux sur mon cas je pense) de reprendre des études ce qui est absurde. Si cela vient à se savoir, ils peuvent couper le RSA et vous ne disposez plus d'aucune source de revenu pour vivre. C'est au petit bonheur, intérêt de dépendre de la bonne région vu que chacune applique sa petite politique comme bon lui semble. Il faut tomber sur les bons soutiens quand il y en a...

De plus j'ai 490€ / mois je n'ai pas du tout les moyens de me déplacer en présentiel (cette formation nécessite de trouver un logement sur place ou colloc), je ne peux pas me permettre de trouver un logement pour 1 mois de prendre le train ts les jours... ne serait ce que "fumer" flinguerait totalement mon budget. Je n'ai aucune marge de manoeuvre côté finances.

Ce n'est pas une mauvaise idée mais le "code" pur pour ce que j'ai à faire n'est pas ma principale spécialité. En tant que graphiste, je passe par ce qu'on appelle des "middlewares" qui permettent de mâcher un certain travail technique même si de solides notions en programmation sont recommandées. Pour ce type de formation et en vu de mes projets : je ne suis plus assez jeune (même si je ne suis pas encore "trop" vieux), disons que pour faire bref : je suis à la limite d'un certain point de non retour, mes choix doivent être dorénavant précis et je ne dois plus trop commettre d'erreur, dans 16 ans j'ai 60 ans ça va vite, très vite. Mes spécialités vont vers du travail d'auteur, graphiste, game-concepteur.

Les solutions : passer par des concours (ce qui est "formateur" en soi), tenter un dossier au CCN (centre national de cinématographie qui possède un département de soutien aux "auteurs" de JV), développer ma communication (sur Youtube par exemple) pour me lancer et trouver déjà un premier public.

Je connais mes quelques problèmes de fond qui normalement nécessitent un accompagnement (j'ai des "addictions" que je ne décrirai pas ici), et j'ai pris conscience "de ma phobie sociale" c'est déjà un énorme progrès d'en être conscient (je précise qu'il y a une 15ène d'années devant psychiatre(s) cela n'a pas été diagnostiqué, on va dire qu'ils sont totalement passés à côté parce que ma "dépression" d'alors masquait totalement mes principaux symptômes et je n'étais pas en mesure de bien m'expliquer). Je sais que ça me bouffe autant que finalement ce qui peut tourner en boucle, de toute façon clairement à partir de fin 2018 j'ai retouché un mur on va dire. Je suis repassé par un phase de burn out j'étais en plein développement j'en faisais même part ici et puis... tout est parti en vrille.

Je suis dans une phase en ce moment où je dois me ressaisir.
Je dois aussi me faire confiance. J'ai accumulé beaucoup de choses malgré tout, je pense que je peux véritablement "développer", que la formation on va dire... et même la recherche... j'en ai eu mon cota... je dois "réaliser" c'est à dire me jeter enfin dans le bain. Alors mon handicap principal et non des moindres : est social. Je n'ai pas du tout développé (jeune) cette "intelligence", et aujourd'hui j'en paie le prix. Et c'est un prix très lourd...

C'est pourquoi j'aime aussi beaucoup l'idée de transmettre aux plus jeunes. Peut être pas de leur faire éviter de commettre des erreurs parce que c'est ainsi qu'on évolue, mais l'idée de transmission est aussi une réelle envie et un vrai besoin chez moi. J'ai déjà eu une expérience dans le périscolaire et ce fut vraiment très positif. Encore une fois même si j'ai manqué un peu de confiance, je n'entrerai pas dans le détail mais c'est ce qui a contribué à me faire ouvrir les yeux sur mon problème de "phobie sociale".

Vous voyez Chamce : de quoi me faire enfermer lorsque je serai plus âgé par quelqu'un comme "vous" qui jugera alors que je ne suis plus suffisamment autonome... que je suis "fou" hein en gros que je n'ai pas toute ma tête. Mais comme je ne serai pas propriétaire et que je resterai dans mon 18m² je pense que vous vous en ficherez un peu.

chamce
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Re: (Dé)Valoriser votre image professionnelle Aksis

Message non lu par chamce » 20 sept. 2020 22:20

et pourquoi pas Animateur informatique ?
"- Concevoir des scénarios d'animation et des contenus pédagogiques pour la réalisation d'ateliers, d'événements, de projets autour du numérique.
- Animer des ateliers quotidiens à destination des usagers.
- Coordonner les partenariats techniques avec des structures extérieures
- Contribuer avec le reste de l'équipe au développement de solutions technologiques répondant aux besoins spécifiques identifiés ;
- Adapter l'utilisation de l'outil multimédia aux projets et aux publics, en veillant à la sécurité des utilisateurs
- Assurer la maintenance du matériel informatique de la structure.
- Garantir une mission de veille, des innovations pédagogiques, règlementaires et techniques en matière d'usages numériques.
- Garantir une mission de veille, de gestion et maintenance des équipements informatiques.
- Assurer un accompagnement individualisé aux démarches administratives en ligne"


je ne vous juge pas. J'ai par curiosité écouté vos témoignages vocaux sur vocaroo.com....

1)"Comment traiter une phobie sociale : Chez les adultes, le traitement recommandé est une psychothérapie cognitivo-comportementale individuelle adaptée à la phobie sociale. D'une durée moyenne de quelques mois, ce traitement est considéré comme le plus efficace et le moins coûteux par le NICE"

"Qu’est-ce que la TCC ? Thérapie Cognitivo-Comportementale

Une TCC est une thérapie brève, validée scientifiquement qui porte sur les interactions entre pensées, émotions et comportements. Ces thérapies se concentrent sur les problèmes actuels de la personne, tout en prenant en compte leurs causes historiques. Elles aident à progressivement dépasser les symptômes invalidants et visent à renforcer les comportements adaptés. Une TCC s’appuie sur différentes techniques qui aident le patient à identifier les mécanismes à l’origine de ses difficultés, à expérimenter de nouveaux comportements et à sortir ainsi progressivement de cercles vicieux qui perpétuent et aggravent la souffrance psychique

Les objectifs de la TCC

Elle aide la personne à mieux comprendre les schémas de pensées négatives à l’origine de comportements inadaptés (ex : phobie: par exemple la phobie sociale) qui peuvent être source de détresse psychique. Au cours de la thérapie, et avec l’aide du thérapeute, la personne va tenter d’identifier, de comprendre les schémas cognitifs et de renforcer ses comportements adaptés. La TCC vise à, progressivement, dépasser les symptômes invalidants, tels les rituels, les vérifications, le stress, les évitements, les inhibitions, les réactions agressives, les cognitions erronées, les pensées automatiques dysfonctionnelles ou la détresse à l’origine de souffrance psychique. Par ailleurs une TCC vise à accompagner la personne dans l’acquisition de compétences utiles pour faire face à de nouvelles difficultés

Principes fondamentaux
Une TCC se veut
:

interactive
pédagogique et explicite
collaborative et égalitaire

Après avoir identifié l’origine de la souffrance de la personne, le thérapeute et le patient déterminent ensemble des objectifs concrets et réalistes ainsi que les techniques qui permettront de les atteindre.

Une étape clé de la TCC : l’analyse fonctionnelle. Elle permet d’explorer avec le patient ce qui se passe dans les moments difficiles (situation d’anxiété, de conflits, de détresse émotionnelle...) et en particulier comment ses émotions, ses pensées et ses comportements se renforcent. L’analyse fonctionnelle permet d’identifier les comportements problématiques, d’envisager les outils et buts à atteindre ainsi qu’une stratégie thérapeutique adaptée. Cette étape incontournable de la thérapie comportementale est réalisée en début de thérapie et peut être repensée à tout moment, face à de nouveaux « comportements problèmes » ou en cas de difficultés ou de blocages dans la thérapie.

Déroulement d’une séance. Une séance dure généralement entre trente minutes et une heure, suivant un ordre du jour préalablement défini par le patient et le thérapeute. Cet ordre du jour précise les thèmes et stratégies qui seront abordés et utilisés pendant la séance. Au-delà de la séance en elle-même, l’ordre du jour permet de déterminer les exercices que la personne devra réaliser chez elle entre deux séances.

Les exercices : des techniques fondamentales en TCC. Spécifiques pour chaque trouble, ils sont structurés et évalués cliniquement :

*les exercices comportementaux visent un apprentissage de nouveaux comportements tels que l’affirmation de soi par exemple

*les exercices cognitifs ciblent les pensées inadaptées et irréalistes en apprenant à les modifier, à construire et à stabiliser de nouvelles façons de penser plus adaptées ;
les exercices émotionnels développent l’acceptation et la conscience des différentes émotions pour apprendre à mieux les réguler

*les exercices corporels permettent d’apprendre à se détendre physiquement et psychologiquement.
Les résultats et les progrès issus de la pratique de ces exercices réalisés pendant et entre les séances sont évalués afin de décider de la poursuite ou de la fin de la TCC.

Durée d’une TCC. Il s’agit de thérapies brèves allant généralement de quelques semaines à quelques mois. Néanmoins, il est parfois nécessaire, en fonction de l’ancienneté et de la gravité du trouble, de prolonger la thérapie sur des périodes définies en commun. La durée des séances est de 30 min à 1h en thérapie individuelle, et de 1h à 2h30 en groupe, à raison d’une à deux séances par semaine, quand cela est possible."

2)"L'hypnose est une thérapie qui génère un état de relaxation profonde, à l'opposé de l'anxiété ressentie par les personnes souffrant de phobie sociale. Les techniques utilisées permettent d'agir sur l'inconscient, tout en trouvant une réaction plus adéquate à adopter lorsque la peur refait surface."

3) BOND-S auteur du livres "Le rôle des parents dans le développement de la phobie sociale : Broché – 25 octobre 2010 )"

"La phobie sociale est un trouble psychologique très présent au sein de la société moderne. Pourtant, les individus qui en souffrent demeurent invisibles. Les phobiques sociaux (PS) craignent d''être jugés négativement par les autres; ils font donc beaucoup d''efforts afin de passer inaperçus. Cette difficulté à être en relation avec autrui altère leur fonctionnement tant au niveau social, familial, amoureux que professionnel. Plusieurs décrivent leur vie comme un "véritable enfer". Comment expliquer que certaines personnes développent une phobie sociale et d''autres pas? L''étude scientifique présentée dans ce livre a examiné les comportements parentaux susceptibles de contribuer au développement de la phobie sociale. Les résultats révèlent que les enfants de phobie sociale font moins d''activités sociales, ont un réseau social plus restreint et sont jugés moins habiles lorsqu''ils doivent se joindre à un groupe de pairs. Ceci soulève la possibilité que les enfants de phobie sociale soient influencés par l''exemple inadéquat offert par un parent phobique social. Cette découverte souligne l''importance d''intervenir dès l''enfance auprès des enfants de phobiques sociaux."


"

Po3m
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Re: (Dé)Valoriser votre image professionnelle Aksis

Message non lu par Po3m » 21 sept. 2020 05:23

Merci pour ce retour.
Pour ce qui est du côté professionnel, cela part d'une bonne intention mais dans ce type de poste j'aurais le sentiment intime de revenir 25 ans en arrière, où j'avais du mettre mes ambitions plus créatifs de côté pour justement que ce soit d'abord faire une formation comme technicien de maintenance en informatique d'abord chez l'afpa puis par la suite (je passe les détails mais 3 ans plus tard) un BTS en alternance comme administrateur réseau alors au lycée St Joseph à Château-Thierry (j'avais 24 ans je précise pour moi ce "retour" vers la scolarité me "coûtait" énormément ce n'était pas facile du tout c'est très con mais à l'époque je me croyais "vieux" ce que je n'étais pas bien sûr) en bref j'avais passé quelques tests avec succès, ne me restait plus qu'à trouver l'entreprise et comme mon niveau de base était bac (pour commencer un bts ça semble logique) à l'époque (il y a 20 ans) et bien les boites ne prenaient pas de risque, sur les candidats ils retenaient les plus diplômés (dans ce secteur) et il n'était pas rare que des bac+3/4 faisaient une réorientation pour entamer ce bts en alternance dont les boites se les arrachaient. Je l'ai su car 1 boite m'avait convoqué suite à l'envoie de mon cv (que j'envoyais en masse comme il était de coutume dans ce genre de démarche) bien la personne qui m'a reçu m'a avoué en fait qu'elle ne m'avait pas reçu pour me prendre, mais pour m'informer. Chose rare, mais pourtant ça m'est bien arrivé. Cette personne m'a dit ce qui n'allait pas sur mon cv (à l'époque) les erreurs à éviter et m'a fait savoir que mes chances étaient alors minces de trouver dans ce secteur. C'était très ballot car en attendant, le lycée lui m'avait bien inscrit pour entamer la formation BTS administrateur réseau.

Mais pour dire, à l'époque, pour moi, je le vivais déjà comme un sacrifice personnel. Je savais que je n'allais pas faire ça ma vie durant. C'était pour moi une forme de tremplin vers d'autres envies.

Bon enfin c'est ce pourquoi, aujourd'hui, vis à vis de ce type de poste, je le vivrais comme une mauvais répétition de mon histoire. Avec de nouveau le sentiment de sacrifier des projets plus urgents que je porte. Et à ce titre j'ai trouvé l'expression juste : mes projets sont urgents. Du coup ce qui devient prioritaire, si je dois analyser froidement la situation, ce n'est pas tant le professionnel qu'à nouveau la dimension psychique à soigner et là aussi j'ai le sentiment cruel de devoir répéter ce que j'ai déjà vécu, même si ce serait probablement différent.

En effet, lors de ma 1ère et unique hospit, il y a bientôt 15 ans, j'étais vraiment en dépression profonde ça n'avait rien à voir avec ce que je traverse actuellement. C'était à dire qu'à l'époque durant cette crise aigue, j'étais conscient et ne vous en faite pas : j'ai tout imprimé... mais je n'arrivais plus à m'exprimer correctement, à aller au bout de mes phrases. Ce que je vivais était très violent. J'étais dans une mélancolie assez profonde et pour autant, ce n'est pas avec la nécessité du soin que je n'étais pas d'accord, c'est la façon dont encore une fois des personnes ont cru bon d'agir en me casant directement dans la folie. Autant vous dire qu'à l'échelle du dispositif, depuis, je suis marqué au fer rouge... j'ai beau en être "revenu" (comme quoi tout est possible) et même si je reste à bien des égards fragile, "on" m'a maintenu dans cette fragilité, on m'y maintient structurellement.

Les pros ici le savent, dans mon cas, c'est un suivi au CMP qui est préconisé. Il y a une 15ène d'années donc suite à l'hospit j'ai bien été suivi par le cmp. Je suis allé (à ma demande lors de l'hp) dans un foyer de post-cure durant 14 mois, après 1 moi et demi d'hospit (précision, je n'ai pris AUCUN traitement). Entre la sorte de l'hp et l'entrée au foyer, j'ai vécu 1 mois dehors. Officiellement "administrativement" parlant je n'étais pas "sdf" mais dans les faits, je l'étais bel et bien. Je ne m'en plains pas hein, et ce n'est pas un stage très recommandable, mais on va dire que j'eus un aperçu de ce qu'on appelle communément être dans la grande précarité. Alors, le pourquoi du comment, je pourrais bien vous l'expliquer, mais là, pardon, je n'y arriverai pas... trop difficile. Pas partageable. Oh, je n'ai rien fais "de mal" et je suis quelqu'un de "vivable", de supportable, mais voilà. Inutile de rentrer plus loin dans les détails.

Donc un foyer de post cure m'a accueilli et j'y suis resté 14 mois au bout duquel j'ai pu faire une demande de logement, on m'a proposé un petit T1, et m'y voilà toujours. Entre temps, il s'est passé des choses. Beaucoup de choses. Dont la perte de mon ami le plus proche qui s'est tué accidentellement à la montagne en 2012, en ma présence car j'étais avec lui. Il m'a apporté beaucoup. Nous nous connaissions depuis le lycée. Il m'a permis durant quelques années de "voir du pays" durant ses vacances. Il était célibataire et me proposait de partir avec lui et comme j'aime la marche et la montagne, cela me faisait des cures de santé, je dois dire, bienvenues. C'est ce qui manque, je trouve, à des personnes isolées. Il devrait leur être possible de "partir" en séjour. D'aller respirer autre chose, de sortir de leur quotidien. Ce n'est réservé qu'aux "familles". Ce qui n'est pas normal. Etre au RSA, ce n'est pas facile. Lorsque cela devient durable, c'est une situation épuisante. Enfin bon peu importe.

Cela pour expliquer que sur le plan de la santé, je suis contraint au domaine public. Et dans le public, il n'y a rien. Rien d'autre qu'une politique passant par les CMP et dans les CMP si c'est pluri-disciplinaire, il y a quand même des carences par rapport à toutes les possibilités qui existent dans le privé. Mais ce n'est pas ça le principal problème. C'est que j'y suis déjà passé par le CMP de mon secteur, et pour les mauvaises raisons. Suite à une HDT qui même si elle fut transformée en HL dès le premier jour, m'a collé malgré tout au fer puisqu'on m'a posé un diagnostic vraiment méchant. Selon moi, ils sont passés totalement à côté, mais sans leur en vouloir parce que ce n'était pas si simple vu mon état. Mais le diagnostic posé en 48h fut disproportionné. Dans le dossier médical, ça fait vraiment tâche... voilà pourquoi aujourd'hui, retourner au CMP... j'ai envie de dire non merci.

Je veux bien suivre une TCC. Mais où ? En dehors du CMP je veux dire. Je n'ai pas envie que la personne soit "influencée" par un diagnostic qui fut posé il y a 15 ans sur un coin de table j'aimerais quelqu'un de vraiment neutre et qui ne se laisserait pas influencer par un dossier médical. Enfin même si je sais que les informations sont partagées en réseau entre partenaires médico-sociaux mais dans certains cas, c'est préjudiciable au patient.

Vous savez, même au foyer de post-cure bien ils ont affaire à un public, à des patients aux diagnostics très différents. Ce ne sont pas des "fous" comme on pourrait le croire. J'ai rencontré des gens pour beaucoup abimés par la vie. Quelques uns, fracassés. J'ai trouvé des gens que l'on dit "stabilisés" et ça passe par la médication. J'étais le seul patient à ne prendre aucun traitement. Je n'avais pas vraiment le choix que d'être là, dans la situation qui était la mienne. C'était ça ou la rue. J'ai côtoyé alors bien des personnes, des gens souvent précarisés, des sdf aussi. Ce qui fait mal, ce qui me reste de cela, parmi d'autres choses, c'est que certains professionnels, infirmiers, vous parlent en articulant bien comme on le ferait pour un enfant. Et ça, je peux vous le dire, quand vous allez sur vos 30 ans... pu... tain... que ça fait mal. L'institution j'ai connu, le caractère infantilisant des institutions vis à vis des adultes en situation de fragilité. Je crois... je dis bien que je crois... que j'ai contribué à l'époque à faire bouger les lignes dans ce foyer, j'ai modestement un peu prêté à réfléchir, à rétablir quelques zones de "droits" même si ces zones sont dérisoires.

Et bien je vous le dis, d'un hospitalisation ABUSIVE et tout ce qui s'en est suivi : on peut en revenir ET J'EN SUIS REVENU tout est possible. Certes, je reste avec des problèmes de fond non résolus. Si je ne peux me résoudre à retourner au CMP, c'est parce que l'histoire a mal commencé. Il reste TRAUMATISANT pour quelqu'un comme moi d'avoir connu une hospitalisation sous contrainte alors que je n'étais ni dangereux pour moi même ni pour autrui. Et de suite avoir été mal casé... disons que le tableau clinique n'était pas très brillant : et bien voilà au moins un domaine où je suis un cancre (humour).
Dernière modification par Po3m le 21 sept. 2020 13:06, modifié 1 fois.

chamce
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Re: (Dé)Valoriser votre image professionnelle Aksis

Message non lu par chamce » 21 sept. 2020 07:09

formation professionnelle :

CQP concepteur réalisateur graphique
Certificat de qualification professionnelle

Certification active

Niveau de qualification
Sans équivalence de niveau

Sortie

Sans niveau spécifique

Descriptif

Les personnes ayant obtenu le CQP de concepteur réalisateur graphique doivent pouvoir réaliser les activités suivantes :

Conseil technique à la création
Conception graphique plurimédias
Réalisation graphique plurimédias
Mise en interaction de plusieurs médias

Objectif

Pour réaliser l'ensemble de ces activités, ils doivent être capables de mettre en œuvre des compétences dans les domaines suivants :

Analyser la demande

Le titulaire du CQP concepteur réalisateur graphique doit pouvoir analyser un cahier des charges et vérifier sa faisabilité au vu de ses connaissances des contraintes techniques liées aux supports et aux procédés d'impression. Il effectue des recherches sur les tendances et courants artistiques et publicitaires qui lui permettent de répondre à la demande du client en tenant compte des tendances actuelles. Il est capable d'analyser un dysfonctionnement en conception et réalisation graphique.

Concevoir et réaliser des supports plurimédias

Conformément au cahier des charges, le titulaire du CQP concepteur réalisateur graphique est amené à :

­ Réaliser des créations graphiques
­ Réaliser des mises en page avancées
­ Concevoir et réaliser un site web statique

Il réalise les traitements et enrichissements nécessaires sur les textes, les illustrations vectorielles, les images et les couleurs dans le respect des codes de communication.

Contrôler les fichiers produits

Le titulaire du CQ concepteur réalisateur graphique contrôle la conformité du fichier produit en fonction du cahier des charges. Il s'assure également de la conformité des fichiers reçus en fonction de leur utilisation.

Organiser son travail

Le titulaire du CQP concepteur réalisateur graphique organise son travail dans le respect des procédures qualité, sécurité et environnement. Il est capable de repérer les priorités.

Communiquer

Le titulaire du CQP concepteur réalisateur graphique doit pouvoir communiquer avec les services internes de son entreprise afin de leur transmettre les informations utiles à la réalisation de leur travail. Il conseille les clients en communication graphique sur les aspects techniques et de création.

Débouchés

Toute entreprise qui mobilise, en amont de la production de supports de communication, les compétences et activités des techniques du prépresse et de la création. La création prend appui sur l'utilisation d'outils de conception graphique et des compétences graphiques. La technique concerne la mise en œuvre de ces outils, l'exécution informatique et la gestion des flux numériques.

L'ensemble des entreprises de l'Industrie Graphique et de nombreux autres secteurs concernés par une production graphique, quelque soit le support, matériel ou immatériel"


"Liste des thérapeutes pratiquant les Thérapies Comportementales et Cognitives proches de chez vous, la liste suivante regroupe l'ensemble des thérapeutes formés aux TCC qui ont demandé un agrément IFFORTHECC : 1er institut privé Français de formation en TCC et en MCC (Méthodes Comportementales et Cognitives)

Ifforthecc
90 avenue Napoléon Bonaparte
13100 Aix-en-Provence

06 98 42 94 78

secretariat@ifforthecc.org

"Les thérapeutes TCC

*Dr Jean-Luc BELAUBRE-SARRA-GALLET
Dr Jean-Luc BELAUBRE-SARRA-GALLET
Psychiatre

Aix en Provence
jl.belaubre@ifforthecc.org
http://www.ifforthecc.org

*Dr Nicolas DUCHESNE
Dr Nicolas DUCHESNE
Psychiatre

Montpellier
n.duchesne@wanadoo.fr

*Dr Christophe DUFOUR
Dr Christophe DUFOUR
Psychiatre

Toulon
dr.dufour@anxiete.pro
http://www.anxiete.pro

*Didier PLEUX
Didier PLEUX
Docteur en psychologie

Caen
d.pleux@wanadoo.fr

*Dr Philippe MANESSE
Dr Philippe MANESSE
Psychiatre

SOLLIES-PONT
dr.manesse@wanadoo.fr

*Dr Alain SAUTERAUD
Dr Alain SAUTERAUD
Médecin psychiatre

Bordeaux
docteur.sauteraud@hotmail.com

*Dr Evelyne MOLLARD
Dr Evelyne MOLLARD
Docteur en psychologie

Lyon
evelyne.mollard38@orange.fr

*Sandrine FABRE
Sandrine FABRE
Thérapeute en TCC

Briançon
sandrine.fabre66@orange.fr

*Sylvie CAILLOT-LUC
Sylvie CAILLOT-LUC
Psychothérapeute

VIVIERS DU LAC (73)
sylviecaillotluc@mmdt.fr" IL y a sûrement d'autres psy en France qui proposent des TCC. Renseignez-vous auprès des psy conventionnés de secteur 1 de votre ville

"Quel remboursement psychiatre attendre ?

La consultation d’un psychiatre donne lieu à des tarifs équivalents si le patient est un adulte ou un enfant de moins de 18 ans. Depuis le 1er Juin 2018 , le tarif de convention pour la consultation en suivi régulier d’un psychiatre de secteur 1 (conventionné appliquant les tarifs fixés par l’Assurance maladie) est de 46,70 euros . En revanche, le tarif d’une consultation d’un psychiatre pour un avis ponctuel est de 62,50€.La consultation d’un psychiatre est remboursée à hauteur de 70% par l’Assurance maladie, que ça soit pour un suivi régulier ou un avis ponctuel. Mais attention, si le parcours de soins coordonnés n’est pas respecté ou qu’aucun médecin traitant n’est déclaré, le tarif de la consultation peut monter jusqu’à 55 € et la base de remboursement sera elle maintenue à 46,70 €. Dans ces deux cas, le remboursement psychiatre par la sécurité sociale n’est plus que de 30%.Pour un enfant de moins de 16 ans, il n’y a pas de réduction du % remboursé par la sécurité sociale même si le parcours de soins n’est pas respecté ou en l’absence d’un médecin traitant déclaré. Pour éviter de payer trop cher et avoir un remboursement psychiatre maximal vous devez donc absolument respecter le parcours de soins coordonnés et vous assurer d’avoir un médecin traitant déclaré. De plus, une participation forfaitaire obligatoire de 1 euro restera toujours à la charge du patient et ce, quel que soit le niveau de remboursement. "


Autre piste à exploiter : l'écriture thérapeutique


"Les études scientifiques semblent unanimes : écrire fait du bien. Ce serait même une bénédiction pour notre santé. L’écriture thérapie libère du stress, améliore le sommeil, soulage les douleurs, atténue la dépression.

Issu de ces découvertes, le concept d’écriture thérapeutique va encore plus loin. Utilisée par des professionnels du soin, elle permettrait de dénouer des problèmes psychologiques, de booster sa confiance en soi, de développer sa créativité. L’écriture est donc à utiliser sans modération. Que peut nous apporter cette approche simple et à la portée de tous ?

L’écriture thérapie : un baume pour le corps et l’esprit

L’expression écrite est un miroir qui nous renvoie notre image et nous permet de nous interroger. L’écriture thérapie est aussi très accessible : peu importe le talent d’écriture, il suffit d’une feuille et d’un crayon. De nombreuses expériences ont prouvé que les bienfaits sont multiples, tant pour le corps que pour l’esprit :

– elle atténue les symptômes de la dépression : accueillir ses émotions et les mettre en mots sur le papier sont un bon exutoire. À l’instar du journal intime de notre adolescence (préconisé dans les années 1960 par un psychologue américain), « l’écriture de soi » est libératrice et aide à évacuer le trop-plein d’émotions négatives

– elle libère du stress : confier à sa page blanche ses petits ou grands soucis permet de prendre du recul face aux agressions du quotidien. L’écriture expressive aide à lutter contre les ruminations et améliore notre humeur

– elle soulage les douleurs du corps : s’exprimer sur ses douleurs a une influence réelle sur la souffrance physique et entraîne une diminution des symptômes

– elle développe la créativité : en écrivant, nous posons les choses et nous visualisons le fil de nos pensées. L’écriture quotidienne met en place une certaine habitude qui sollicite la créativité

– elle stimule la mémoire : écrire mobilise certaines fonctions cérébrales qui stimulent la mémoire et la capacité de concentration, favorisant ainsi les apprentissages

– elle facilite la réalisation de ses objectifs : en détaillant sur le papier les projets qui nous tiennent à cœur, ils seraient davantage susceptibles de se réaliser. Visualiser quotidiennement ses objectifs permet de s’y tenir, de se projeter dans la réussite et incite à passer à l’action.

Qu’est-ce que l’écriture thérapeutique ?

L’écriture va même plus loin. Depuis les années 1980, elle est devenue un véritable outil de soin. La thérapie par l’écriture (ou « journal thérapie ») est axée sur l’introspection, et va au-delà du simple journal intime. Elle permet de prendre du recul avec son mal-être ou sa souffrance psychologique, de se libérer d’un poids émotionnel.

Comment utiliser l’écriture thérapeutique ?

Le principe de cette approche est de mettre des mots sur une situation difficile et d’exprimer les émotions qui s’y relient. Peu importe la forme (journal, poèmes, lettre, etc.), l’essentiel est de prendre un temps pour s’isoler et reformuler la situation douloureuse.

Elle peut se pratiquer en individuel ou avec un thérapeute. La thérapie de groupe (dans le cadre d’ateliers) est également aidante. L’écriture manuelle est conseillée, car elle a l’avantage de stimuler des zones du cerveau liées à la créativité. Mais il est également possible d’utiliser le clavier d’ordinateur.

La spontanéité est importante. Il ne faut donc pas se soucier du style ni des codes. Pour laisser l’inconscient s’exprimer, il est nécessaire de se laisser aller à exprimer les émotions telles qu’elles arrivent, sans les filtrer.

Il faut écrire le plus souvent possible (tous les jours dans l’idéal), en s’isolant pour consacrer ce temps uniquement pour soi. L’écriture doit être totalement libre, sans préoccupation du jugement des autres… ni du sien !

Il est nécessaire de prendre le temps de se relire. C’est cette étape qui permettra la prise de conscience, premier pas vers le changement.

Que peut-on attendre de cette approche ?

Cette technique peut être pratiquée pendant une période de stress intense ou dans une situation particulièrement douloureuse (deuil, séparation, maladie).

Elle est également adaptée pour traiter un problème psychologique de fond : trouble anxieux ou dépressif, addiction, trouble du comportement alimentaire.

Ce retour sur soi permet de faire le point, de s’approprier les événements. La réalité s’éclaire, prend un sens nouveau, et les tensions tendent à s’apaiser.

Elle peut être un outil efficace pour diminuer l’anxiété, apaiser la souffrance morale, améliorer le sommeil, amorcer un changement, concrétiser un nouveau projet.

L’écriture thérapie permettrait donc d’améliorer la santé psychique et physique. Elle favoriserait la prise de conscience et l’acceptation de soi. Elle aurait une action positive sur la confiance en soi. L’écriture thérapeutique, quant à elle, devient une approche de soin. Dans tous les cas, elle permet de prendre un temps avec soi-même pour une pratique créative. Rien que pour cela, la démarche en vaut la peine"

Po3m
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Re: (Dé)Valoriser votre image professionnelle Aksis

Message non lu par Po3m » 22 sept. 2020 12:08

Bonjour
Merci pour ces informations.
Je vais là dans un premier temps voir pour la TCC. Je vais voir quel thérapeute dans ma ville propose cela.
Parce que en ce moment mis à part exprimer ce qui me ronge je n'arrive plus à avancer. Et mes rituels et comportement "évitants" sont à la longue épuisants. J'ai déjà connu (plus jeune) des périodes "d'épuisement" mais là, le temps passant (je ne suis plus de première jeunesse), je m'en remettrai de moins en moins bien...
Pour le côté "pro" je verrai dans un second temps, enfin j'ai un fil conducteur sur mes projets que j'aimerais pouvoir respecter, on va dire.
Pour le CQP je verrai également.
Alors ce n'est pas évident parce qu'il y a des "résistances" et des effets boomerang que j'ai bien connu par le passé. Surtout dans les périodes où l'on "va mieux" (paradoxalement). C'est entre autres, enfin pour ce qui est de ma compréhension personnelle, du à ce qu'on appelle "un faux self" lorsque vous êtes en société pour compenser entre autres votre phobie. Périodiquement, vous avez besoin de retourner dans votre trou... si j'ose dire. Parce que votre représentation sociale vous en coûte... d'autant plus lorsque comme chez moi, il y a une dissonance entre ce qui je suis vraiment en dedans, et mon comportement "parmi les autres" ainsi que l'image qui m'est retournée, qui ne correspond pas à ce que je vis intérieurement. Tout cela entretient (chez moi) un grand malaise. D'une manière inconsciente et parce que nous sommes d'abord des animaux, les "autres" ressentent peut être "quelque chose" mais dans l'ignorance la plus complète de ce que je vis : m'agressent (les épisodes aksis lorsque je "refais surface" le démontrent et de manière général l'ensemble du dispositif est "agressif").
Merci encore, bonne journée.

chamce
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Re: (Dé)Valoriser votre image professionnelle Aksis

Message non lu par chamce » 22 sept. 2020 18:21

"Quand les TOC sont très importants et invalidants, ils nécessitent une prise en charge, le plus souvent médicamenteuse, et une psychothérapie. Un médecin psychiatre peut proposer des antidépresseurs pour réguler le fonctionnement de différentes zones du cerveau impliquées dans la pathologie. Et un psychologue peut donner à la personne des exercices pour tenir tête et lutter efficacement contre tous ces gestes obligatoires qui empoisonnent le quotidien.

Les thérapies les plus adaptées pour soigner les TOC, mais aussi les petites manies, sont les Thérapies Comportementales et Cognitives (TCC). Elles visent à apprendre au cerveau, qui a enregistré de mauvaises habitudes à force de répétitions, des comportements plus sains. Le but est que la personne ne soit plus "contrainte" à faire des choses qu'elle ne veut pas faire, c'est à dire ces fameux rituels qui s'imposent à elle.

Dans le cadre des phobies par exemple, on va remplacer l'évitement des chiens, des araignées et des pigeons (évitements répétitifs et systématiques qui renforcent dans le cerveau l'idée que ces animaux sont dangereux), par des confrontations de plus en plus proches et de plus en plus longues. Le thérapeute et la personne sont en collaboration et décident ensemble de la difficulté des exercices. Dans la peur des crises d'angoisse dans les transports en commun, on va aussi remplacer les évitements par des confrontations de plus en plus dures et de plus en plus longues.

Dans les TOC, on va faire de la même façon: on va embêter le cerveau TOC qui aime la symétrie en faisant exprès de mettre des objets en biais, et ce de plus en plus fréquemment et longtemps. On va parasiter le cerveau TOC qui aime le lavage et déteste le contact en touchant plein de choses dans la rue (barre du métro, poignées des magasins, trottoir) et en contaminant les vêtements et le visage, afin de lui apprendre, par répétitions, que tout cela reste anecdotique. On va reprendre le contrôle sur le cerveau TOC qui aime les vérifications en lui imposant des laps de temps d'attente entre deux vérifications, afin d'augmenter la tolérance au doute. Et à force d'exercices, les nouveaux comportements s'implantent dans le cerveau.

Les petites manies du quotidien, les lubies et obsessions que chacun a peuvent être gardées si elles ne sont pas dérangeantes. Cela ne sert à rien de travailler des heures à les faire disparaître si elles ne durent que quelques secondes. Mais si elles prennent un peu de temps et semblent impératives, il peut être bien de s'en débarrasser pour être un peu plus libre.

Si vous avez besoin de mettre le pain dans tel sens sinon vous êtes angoissé, de mettre le volume de la télévision uniquement sur un chiffre pair sinon cela ne vous quitte pas l'esprit, de rafistoler plusieurs fois de suite votre pantalon qui tombe mal sur vos chaussures, de vérifier x fois que votre col de chemise est bien droit, ou que vos emails en contiennent aucune faute, il est temps de se lancer. Pourrissez la vie de votre TOC ! Faites ce qu'il n'aime pas, parasitez-le ! Tenez lui tête.

Faites vos gammes de piano. Ce n'est qu'une question de répétition et de patience."

Po3m
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Re: (Dé)Valoriser votre image professionnelle Aksis

Message non lu par Po3m » 23 sept. 2020 12:33

Bonjour, bien on peut dire que votre jeu du copier-coller se révèle ici assez pertinent. Je vous en remercie. C'est vrai que cette thérapie TCC semble être vraiment adaptée à mon cas assez complexe (que je ne saisis pas entièrement sinon je ne serais pas là). Alors réaliser la démarche, je préfère l'écrire, ne sera pas chose aisée.

j'ai reçu ceci de Pôle emploi :

"Bonjour,

Dans le contexte actuel, bon nombre d'entre nous vont devoir se réinventer professionnellement, changer de cap, repenser leurs envies. Prenez le temps de vous y préparer dès maintenant en travaillant à identifier vos forces, compétences et valeurs.

Tous Tes Possibles est une expérience personnalisée qui vous permet de révéler vos points forts et motivations. Venez construire le projet qui VOUS correspond !


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Du 26 octobre au 18 décembre 2020.
150 places à saisir dès aujourd'hui pour toute personne motivée et disponible.
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Vous voulez tout savoir ? Suivez ce lien



À la suite du programme Tous Tes Possibles, vous aurez la possibilité de continuer avec la structure d'accompagnement la plus adaptée à vos projets.

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Des questions ? Envie d'en savoir plus ?
Pour plus d'informations et pour s'inscrire, c'est par là
ou en nous écrivant à contact@toustespossibles.fr
.

Vous connaissez des personnes faites pour ces programmes? N'hésitez pas à leur faire suivre !
"


Voilà je vous le partage, sait on jamais ça peut être utile à d'autres.
Ca m'a l'air bien, mais je me sens "déphasé". S'il y a bien une chose que je ne fais pas actuellement, c'est me noyer sous un flot d'informations inutiles (j'en connais le piège). Ayant passer une longue longue période de "craquage", si je refais surface en l'état je vais encore me faire déglinguer... donc c'est vraiment vraiment chaud. Je sais que le "covid" (pardon) permet de remettre certains compteurs à zéro (les grandes difficultés économiques relancent donc des opportunités à saisir) même si je reste méfiant à propos de ces vitrines à "trier" plus qu'à coacher ou accompagner. Ici cependant, à première température, cela me parait ouvert. Les places sont chères, 150...

Putain je ressens une grosse résistance en moi là... mois de décembre, ça peut me permettre de me "ressaisir"...

Bon... je suis encore en mode grosse réflexion mais je sais que je dois la faire en accéléré...

chamce
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Re: (Dé)Valoriser votre image professionnelle Aksis

Message non lu par chamce » 23 sept. 2020 18:32

1) Je reste sceptique quant à la pertinence des formations dispensées par pôle emploi et l'éventuel intérêt d'être accompagné dans nos démarches pour un retour à l'emploi. J'ai suivi plusieurs formations dispensées par pôle emploi et cie qui ne m'ont pas convaincues et qui s'adressent plutôt à un public qui éprouve des difficultés pour effectuer seul des recherches d'emploi, qui n'est pas autonome ni motivé. J'ai remarqué que certains intervenants pendant ces interventions s'impliquent peu, brassent beaucoup d'air, ne maitrisent pas leur sujet, s'ennuient pendant leur intervention au point d'ennuyer leur auditoire, proposent des thématiques dont les contenus sont creux et loin du monde du travail. Je me souviens que ceux et celles qui comme moi avaient été sélectionnés pour un accompagnement au retour à l'emploi passaient les heures en présentiel à bavarder avec leurs voisins se souciant peu de l'intervenant et des autres participants.. Je ne supportais plus cette absence d'ambiance studieuse quotidienne au sein du groupe. Nous devions aussi au début de chaque intervention alors que nous étions assis autour d'une grande table nous présenter aux intervenants. Cette présentation individuelle était quotidienne, plusieurs fois par jour alors que les intervenants connaissaient nos parcours scolaire et professionnel via notre CV remis au responsable de la formation dès le premier jour de la formation. Vous pouvez tenter votre chance mais il faut que vous sachiez que vous serez peut-être très déçu. J'espère me tromper..

2)"La rémunération des formations de Pôle emploi (RFPE) n'est pas cumulable avec l'ARE, mais peut se cumuler avec le RSA. Les rémunérations perçues au titre de la formation professionnelle doivent être reportées sur la déclaration trimestrielle du RSA.6 févr. 2020"


3) Martin Mizrahi - Psychologue Psychothérapeute TCC à Metz
www.psychologue-mizrahi.fr
Consultations psychologiques reposant sur les Thérapies Comportementales et Cognitives (TCC) à Metz.
*infos sur son site :

Rendez-vous rapide & adapté à vos attentes.

Pourquoi consulter ?

Que ce soit pour traverser une situation difficile, verbaliser un vécu douloureux, rechercher du soutien ou des conseils, chacun peut à un moment de sa vie ressentir le besoin de consulter un psychologue. Ceci est avant tout une démarche personnelle qui répond à un besoin ou une envie.

Certains problèmes peuvent devenir handicapants et contraignants. Lorsque nous ne sommes plus libres d’agir comme on le souhaite, il peut être important de consulter car des solutions existent.

Prises en charges proposées

Je reçois sur rendez-vous les personnes en situation de souffrance psychique, souhaitant bénéficier d’une prise en charge psychologique et psychothérapeutique. Cela dans le but de réduire l’incidence des symptômes sur le quotidien.

Ma pratique repose sur les Thérapies Comportementales et Cognitives (TCC). Il s’agit d’une thérapie brève, validée scientifiquement, qui s’intéresse aux interactions entre pensées, émotions et comportements.

martin-mizrahi-psychologue-metz-nancy
A qui s'adressent les Thérapies Comportementales & Cognitives ?

Vous éprouvez peut-être des difficultés à dire non ? à gérer votre stress ?

Vous êtes submergé par vos soucis ? Vous vous sentez triste et n’avez plus envie de rien ?

Vous avez peut-être peur de sortir de chez vous ou de vous rendre dans certains lieux ? Vous faites des crises d’angoisse sans raisons apparentes ?

Vous avez vécu un évènement traumatisant que vous n’arrivez pas à dépasser ?

Vous êtes en proie à une addiction ?

Vous êtes sujet à des rituels et vérifications qui vous prennent beaucoup de temps ?

Vous avez peur constamment d’être jugé par les autres ? de passer un oral ? de prendre la parole en groupe ?

Vous avez peur d’une chose en particulier (chiens, foudre, obscurité, voiture, araignées, oiseaux, de vomir, etc.) ?

Toutes ces difficultés peuvent être à l’origine d’une souffrance et devenir invalidantes au quotidien. Il existe pourtant des solutions pour y remédier. La thérapie cognitive et comportementale est une des approches les plus efficaces pour traiter ce type de problématique.

Martin Mizrahi – Psychologue clinicien & Psychothérapeute
1 rue de la Sarre
Immeuble Blackstone – Bâtiment B
57070 Metz
Téléphone : 06 52 49 23 91"


4) Vannson Thierry COMPTE FACEBOOK

psychologue psychothérapeute

Épinal, Grand Est, France
Indépendant
Indépendant
AFTCC sur 3 ans
AFTCC sur 3 ans

À propos

je pratique surtout les thérapies comportementales et cognitives (TCC) ;
Ces thérapies actives et brèves ont fait leur preuves ( évaluations INSERM et H.A.S) dans ces indications :
Troubles anxieux : toute forme de phobies, troubles paniques (crises d'angoisse),
troubles obsessionnels compulsifs (TOC), troubles du sommeil, phobie sociale
Trouble de l'humeur : Dépressions modérées, cyclothymie et bipolarité (+ médecin)
Troubles addictifs : Dépendances à un produit et/ou comportementales
Souffrances au travail (stress, harcèlement, "burnout" et risques psychosociaux RPS)
Soutien psychologique des victimes (stress post-traumatique, victimologie… )
Difficultés d'adaptation au changements
Troubles du comportement alimentaire"
Dernière modification par chamce le 23 sept. 2020 20:49, modifié 1 fois.

Po3m
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Re: (Dé)Valoriser votre image professionnelle Aksis

Message non lu par Po3m » 28 sept. 2020 14:28

Bonjour,

J'ai reçu il y a deux jours un mail anonyme (à mon sens, c'est lié avec le contenu que je dépose ici) :

"Pathétique : Descend de ton piédestal sale bâtard tout moche ."

(Déjà qu'elle apprenne à écrire en bon français)...

Evidemment, cela ne m'atteint pas, mais cela mérite d'être noté.
Pour moi ça signifie une chose, mon "combat" porte ses fruits, j'espère que cela met du plomb dans la tête de ces personnes insultantes et sans éthique.

A bon entendeur !

Po3m
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Re: (Dé)Valoriser votre image professionnelle Aksis

Message non lu par Po3m » 28 sept. 2020 19:32

Bonjour,

A propos de mes "observations" sur la prestation Valoriser votre image professionnelle chez Aksis, je peux aller beaucoup plus loin (chose dont je me suis abstenu jusqu'alors). J'ai près de 30 années d'expérience en informatique (difficile de me rouler en la matière).

J'ai observé une manoeuvre qui porte atteinte aux droits et libertés individuelles en matière d'informations personnelles et privées. Une infraction GRAVE en matière d'informations puisqu'il s'agit tout bonnement de récupérer l'adresse mail ET le mot de passe des personnes qui passent dans cette prestation au moment de l'inscription sur la plateforme Assessfirst.

MES CONSIGNES (respectez à la lettre si vous passez dans cette prestation) :

N'UTILISEZ PAS VOTRE ADRESSE MAIL privée et habituelle.
Si vous devez utiliser une adresse, créez une adresse mail temporaire (qui ne servira qu'à ça et rien d'autre). Si vous utilisez votre adresse mail personnelle : faites le à partir de votre smartphone, pas de leurs machines (JE DECONSEILLE FORMELLEMENT). Si jamais vous le faites à partir de leurs PC : déconnectez vous bien avant de fermer le pc-portable.

Si la personne "claque" rapidement le pc-portable sans que vous n'ayez eu le temps de vous déconnecter : demandez lui sur un ton ferme de ré-ouvrir le pc-portable et déconnectez vous (veillez bien à ne pas sauvegarder vos données sur la machine).

Ils récupèrent vos adresses, vos mots de passe, et si une personne est malveillante elle peut porter atteinte (ou tout simplement espionner) vos échanges mails privés.

Je préfère prévenir. Je m'étais abstenu jusqu'alors mais maintenant que le ton se durcit (on commence à m'insulter sous couvert de mails anonymes mais je ne suis pas bête) et bien voilà, je préfère parler de ce que j'ai PERSONNELLEMENT observé. J'ai de suite changé mon mot de passe pour éviter toute intrusion dans ma vie privée.

Protégez vous. Aksis transmet des infos à Pôle emploi qui à son tour transmet des infos à la CAF.
Je n'ai aucune preuve sur le fait que ce soit structurel. C'est peut être une dérive "personnelle" (non pas voulu par Aksis mais du à des mauvaises pratiques chez Aksis, tout simplement). Je n'accuse donc pas. J'informe...

A bon entendeur.

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