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Noter ou ne pas noter à l’école ? Et si nous nous trompions de question ?
Re: Noter ou ne pas noter à l’école ? Et si nous nous trompions de question ?
Effectivement nombre d'enfants précoces ou dits "surdoués" passent à travers les mailles du filet et se retrouvent (pour beaucoup) en échec scolaire (ce qui peut faire un autre sujet). Preuve que la notation est faillible. Même une évaluation peut l'être. La post-scolarité est probablement plus importante encore sauf qu'il n'existe pas de réel accompagnement pour les gens qui ont été en échec scolaire tout en développant pourtant de réelles aptitudes.
La notation qui établit un "classement" (du premier au dernier) doit être révolue. Non pas qu'il ne faille plus qu'un principe de sélection existe : mais lors d'études plus spécialisées, certainement. Et encore que les quotas sont plus élargis.
La note serait fausse ? Il n'est pas nouveau que l'on sait qu'un "premier de la classe" ne fait pas un monde, il est formaté pour une chose qu'il sera probablement bien incapable de remettre en questions. La société d'aujourd'hui crée-t-elle de la fonctionnalité non-pensante (?) des... petits soldats.
Il faudrait s'interroger sur le principe du mérite attribué aux meilleurs en fonctions de critères donnés pour une société donnée. Et se demander pourquoi éprouve-t on le besoin de désigner des modèles, ce qui par conséquence désigne ceux qui n'entrent pas dans ce modèle : comme mauvais (?)...
Si la machine à notation produit bien plus de "mauvais" désignés comme tels, que de meilleurs, alors cette machine est mauvaise. Et le mérite revient à ceux qui n'entrent pas dans la mauvaise machine...
La notation qui établit un "classement" (du premier au dernier) doit être révolue. Non pas qu'il ne faille plus qu'un principe de sélection existe : mais lors d'études plus spécialisées, certainement. Et encore que les quotas sont plus élargis.
La note serait fausse ? Il n'est pas nouveau que l'on sait qu'un "premier de la classe" ne fait pas un monde, il est formaté pour une chose qu'il sera probablement bien incapable de remettre en questions. La société d'aujourd'hui crée-t-elle de la fonctionnalité non-pensante (?) des... petits soldats.
Il faudrait s'interroger sur le principe du mérite attribué aux meilleurs en fonctions de critères donnés pour une société donnée. Et se demander pourquoi éprouve-t on le besoin de désigner des modèles, ce qui par conséquence désigne ceux qui n'entrent pas dans ce modèle : comme mauvais (?)...
Si la machine à notation produit bien plus de "mauvais" désignés comme tels, que de meilleurs, alors cette machine est mauvaise. Et le mérite revient à ceux qui n'entrent pas dans la mauvaise machine...