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Du confinement à la carotte...

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Po3m
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Re: Du confinement à la carotte...

Message non lu par Po3m » 31 oct. 2024 01:16

Image

CQFD

Po3m
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Re: Du confinement à la carotte...

Message non lu par Po3m » 31 déc. 2024 18:16

2025 : L'année de tous les possibles

On pourrait dire que je suis un peu au pied du mur, et ce ne serait pas faux. L'année qui arrive sera, pour moi, au sein même du dispositif, la plus risquée. Pas à cause de mes propres initiatives, mais en raison de cette réforme qui, si elle pousse les professionnels et référents à suivre des directives strictes (en faisant abstraction du bénéficiaire lui-même), risque de mettre en danger une partie des bénéficiaires.

Réflexion sur la notion de risque

Dans la vie, il faut savoir prendre des risques, mais à condition qu’ils soient mesurés. Le bénéfice doit être plus grand que le danger. Il ne faut donc pas confondre risque et danger. J’ai toujours pris des risques, même si ces dernières années ont été particulièrement difficiles pour plusieurs raisons. Les domaines dans lesquels j’évolue sont, en soi, des domaines à risques : ils ne garantissent pas toujours une source de revenus pérenne, mais ils sont extrêmement formateurs et enrichissants. Pour moi, le succès ou la réussite ne sont pas une fin en soi ; ce sont des moyens.

Mon projet professionnel pourrait être considéré comme "atypique" au regard du dispositif, mais en réalité, il s'inscrit dans des domaines courants et bien ancrés : le graphisme, le développement informatique, et même l’écriture. D’ailleurs, je me souviens encore, lors de ma seconde prestation Axis, de cette fameuse simulation d’entretien qui avait mal tourné. L’intervenante extérieure s’était moquée ouvertement de ma mise en avant de mes "qualités rédactionnelles". Oui, une conne... mais passons. Ce genre de personne, franchement, je ne les supporte plus. J’ai médité sur cette situation ; à l’époque, j’avais réagi par la colère face à ses attaques gratuites et puériles. C’était une colère saine, mais avec du recul, je reconnais que ce n’était pas la meilleure façon de réagir.

Un dispositif à risques

Le RSA est un dispositif qui reste dangereux. On mise sur la "mise en danger délibérée", en pariant sur le fait que, lorsqu’on te met en situation de crise, tu réagiras instinctivement pour t’en sortir. Cela revient à espérer que tu te conformes sans réfléchir aux "rails" qu’on te propose, des rails qui mènent souvent à une précarité professionnelle.

Moi, je préfère galérer dans mes domaines, car la réalité, c’est qu’on m’a laissé en fond de tiroir pendant près de 15 ans (dont 11 années consécutives). Alors oui, je comprends pourquoi on me colle une réputation difficile à assumer ; on m’a marqué au fer rouge, et cela crée des torts durables. Comment voulez-vous que de nouveaux interlocuteurs aient envie de m’accompagner quand mon dossier est perçu comme "invendable" ?

Quelques objectifs pour 2025

Je sens que 2025 ne sera pas de tout repos ; il y aura probablement des frictions, mais j’ai décidé de me concentrer sur le positif. Si l’on me convoque, ce sera pour m’accompagner. Si l’on considère d’emblée que mes projets ne sont pas valables, j’ai des documents qui prouvent qu’une étude de faisabilité a validé leur pertinence en 2017. À cette époque, Pôle Emploi n’a pas joué le jeu et ne m’a pas permis d’accéder aux formations ou au coaching nécessaires. Cette année, je compte bien faire ressortir l’inutilité de France Travail si les porteurs de projets comme moi ne sont pas véritablement accompagnés.

En 2024, je me suis concentré sur le développement dans le domaine informatique, particulièrement autour de la création de jeux vidéo. Je n’ai pas beaucoup communiqué sur mes activités, mais ça va changer. J’ai réfléchi à comment partager mes projets, notamment via des formats vidéos (YouTube, entre autres). Les contenus iront du dessin à des présentations de mes développements informatiques, avec des vidéos de 30 secondes à 10 minutes. Mon objectif : proposer des vidéos à la fois fun et efficaces, sans tomber dans le cliché du "YouTubeur dans son salon". Mon perfectionnisme m’a fait prendre du temps, mais je ne considère pas cela comme du temps perdu. Ce que je prépare sera à la fois pragmatique et authentique.

Retrouver de l’ambition

L’idée d’avoir tout à prouver est motivante. Mon défi est double : d’un côté, changer le regard négatif posé sur mon dossier RSA, et de l’autre, structurer mes projets pour créer de la valeur. Mon ambition est réaliste, bien qu’elle demande beaucoup d’efforts. Il y aura des moments difficiles, des moments de solitude aussi… mais je n’ai pas le choix. C’est ça ou rien.

Je suis né ainsi. Les tests réalisés lors de mes prestations confirment que les domaines dans lesquels j’évolue me correspondent parfaitement. Je fais ce que je sais faire de mieux, et c’est ma raison d’être. Mon programme ? "Ça passe ou ça passe !" Il n’y a pas d’autre issue possible.

Mais attention, ce n’est pas du jusqu’au-boutisme aveugle. Mon approche est multi-disciplinaire : mes projets sont comme un arbre des possibles. Un échec n’est pas une fin ; c’est simplement un détour, une opportunité de corriger la trajectoire, d’avancer autrement, encore et toujours.

Si vous vous posez la question : pourquoi persévérer ? Pourquoi continuer ? Je répondrais comme un marathonien. Pourquoi court-il ? Le sait-il vraiment ? Peut-être est-ce dans sa nature. Il est né pour ça. Eh bien, moi aussi. Je cours, je travaille, je crée, parce que c’est ce que je suis. Et, croyez-moi, cela suffit amplement à me donner l’élan nécessaire pour surmonter les obstacles.

Une vision pour demain

En 2025, je veux montrer que je suis capable de communiquer, de créer, et de toucher ma cible. Mon objectif est de démontrer ma capacité à générer de la valeur et à convaincre des investisseurs, en commençant par des acteurs locaux. J’ai retrouvé l’ambition et j'invite tout à chacun à aller au cœur de lui-même pour agir avec la plus grande autonomie !

Le travail, pour moi, c’est toute ma vie. J’ai sacrifié beaucoup pour en arriver là. Alors, ne m’en voulez pas si je sors les crocs face à ceux qui voudraient me mettre des bâtons dans les roues. Mais je vous rassure : là où je vais, je n’ai pas besoin de roues ! (Si tu as la référence, bienvenue dans la pop culture 😉).

Je vous souhaite à tous une excellente année à venir ! 🎉

Note à moi-même : Les résolutions "sociales".

Po3m
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Re: Du confinement à la carotte...

Message non lu par Po3m » 03 janv. 2025 22:15

Bonjour,

Je fais juste part de l'un de mes travaux en cours d'études/recherche/développement.

Il s'agit d'expérimentations à propos de la perception et reconnaissance de formes.
Ici, c'est le principe du quadtree par cellules 3*3 multicouches, de la résolution 3*3 pixels jusqu'à 640*480px.
Un seuil est défini dynamiquement (avec ajustement manuel pour le moment) PAR cellule, le but est de marquer en rouge les différenciations de pixels sans être obligé de parcourir tous les pixels de l'image en cours à résolution supérieure à 3*3 (étant la résolution minimale pour le système).

Pour le moment, ici, ça ne reconnait "rien du tout". Normal, en l'état, il n'y a pas de mémoire mise en place.
Il s'agit juste d'une étape de mise en place du système de "perception".
C'est ici très basique, j'ai d'autres exemples plus poussés mais que je collerai par la suite.

Petit système développé en javascript/three.js, mon objectif est que ces outils fonctionnent sur navigateurs, mais aussi comme application locale.
Théoriquement "peu de données" seront nécessaires, ça va totalement à l'opposé des modèles qui utilisent du bigdata pour s'entraîner. Moi l'approche est autre, apprentissage semi-supervisé et comme "un bébé" n'a pas besoin "d'avoir internet dans la tête" pour évoluer et apprendre.

Je déclinerai ces recherches en Python pour réaliser des logiciels stables et prêts à l'emploi.

Un rêve (?) m'associer avec d'autres amateurs passionnés (qui veulent quand même en vivre un peu) qui eux travaillent sur du hardware (robotique).
Ca fait longtemps que j'étudie brique par brique la possibilité de créer le cerveau.

Folie ?

Image

https://i.ibb.co/g6n9Bzg/Po3m.gif

Oui ! Il s'agit bel et bien de moi sur cette capture :D
Je passe par plusieurs résolutions, c'est un peu comme un système de calques multicouches. Je n'entrerai pas plus loin dans la vulgarisation technique.

Merci.
To be continued...
Dernière modification par Po3m le 04 janv. 2025 01:07, modifié 1 fois.

Po3m
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Re: Du confinement à la carotte...

Message non lu par Po3m » 04 janv. 2025 01:01

Bonjour,

En France, je suis loin d’être un cas isolé.
Mais nous ne sommes probablement pas nombreux à développer "from scratch", c’est-à-dire sans nous appuyer sur des modèles open source existants.

L’avantage ?
C’est la liberté d’explorer des directions que je qualifierais d’audacieuses. Cela ne coûte pas grand-chose financièrement : c’est accessible à toutes les bourses, même les plus modestes. Il "suffit" d’avoir un cerveau, de la curiosité, une envie d’apprendre et de se former en continu. Rien de plus.

L’inconvénient ?
C’est de l’expérimentation, voire de la recherche fondamentale. Cela peut prendre du temps, avec le risque de ne jamais aboutir à une application concrète. Mais je connais déjà les pièges dans lesquels "il ne faut pas s’enfermer".

C’est pour cela que je préfère parler, dans mon cas, de "recherche appliquée".
Le but ? Avancer vite. Éviter de rester dans une expérimentation purement théorique, penser directement à l’utilisation concrète, et intégrer mes travaux dans des outils réellement employables.

Pourquoi ?

D’abord pour ma formation personnelle. J’ai une curiosité intellectuelle naturelle et des facilités d’apprentissage. Concevoir des systèmes et penser des architectures, pour moi, c’est instinctif : cela ne demande aucun effort particulier. Mais le revers de cette aptitude, c’est que j’ai besoin d’une grande variété dans mes travaux et mes domaines d’exploration.

En réalité, il n’existe pas, en France, de "modèle de travail" adapté à mon profil. Ce que je fais, ce que je suis, ne cadre pas avec les formats actuels. C’est pourquoi je dois inventer, créer ma propre employabilité.

Qu’est-ce que cela apporte ?

Cela me confère une expérience précieuse, même si j’ai encore peu d’expérience sociale dans un cadre professionnel classique. J’ai cependant beaucoup évolué, et je suis curieux de voir comment cela se traduira dans le cadre de la réforme RSA.

Est-il utile de développer de tels outils ?

En France, particulièrement, oui. Il n’y a pas que des ingénieurs ; les autodidactes, bien que rares, ne sont pas inexistants.

L’utilité ? Le gain de ressources.
Ces modèles à faible coût énergétique promettent une alternative aux modèles lourds et énergivores comme ChatGPT et ses dérivés. L’objectif, pour des personnes motivées comme moi, est de concevoir des "micro-modèles" capables de fonctionner efficacement sur des machines modestes, avec peu de données, de mémoire et de puissance.

Je porte donc une ambition : contribuer au développement de micro-modèles offrant des résultats optimaux pour un coût énergétique et électrique minimal.
Je m’inspire des principes de plasticité cérébrale pour concevoir des architectures "plastiques". Dans le jargon informatique, on parle de "neurones liquides". Mes travaux s’en rapprochent, bien que de manière lointaine et expérimentale.

Comment j’avance ?
Principalement par des "expériences de pensée", souvent visuelles. C’est une méthode qui me correspond, et qui n’est pas sans rappeler celle utilisée par Einstein (bien sûr, je ne me compare pas à lui !). Ces expériences de pensée permettent de tracer son propre chemin, sans trop dépendre de la littérature scientifique ni s’enfermer dans une démarche académique classique. Ce n’est pas par l’École que l’on crée ou que l’on innove, même si ça aide grandement DANS TOUS LES CAS, il ne faut pas se mentir. Mais d'autres voies sont toujours possibles.

Mais... vraiment ? C'est de l'IA que tu veux faire ?
Bien, c'est compliqué d'y répondre comme ça. Je ne suis pas d'un seul domaine, j'ai d'autres projets/travaux, dans d'autres domaines comme l'écriture, le graphisme, le développement vidéoludique. Le Must serait de déployer mes propres IA faites de toutes pièces mais seul, je ne pourrai durablement poursuivre. J'initie, je pousse le plus loin possible... je communiquerai sur les travaux, sur les outils, d'abord pour susciter de l'intérêt de la part des autres, et je pense en particulier à d'autres devs, voir si une émulation collaborative et communautaire émerge autour de travaux Open Source (et protégés sous licence pour ne pas se faire "voler" le fruit de notre labeur par des groupes privés), voir si quelque chose prend et bien sûr, idéalement générer une économie autour de ça.

Tu veux dire que tu pourrais contribuer à créer de l'emploi ?
Et pourquoi pas ? Tout est possible dans la vie...

Po3m
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Re: Du confinement à la carotte...

Message non lu par Po3m » 07 janv. 2025 17:25

Bonjour,

Ce "blog social", sous forme de topic sur un forum (oui, c’est… particulier !), prendra probablement une autre forme "ailleurs". Je suis partagé. Je communique ici pour plusieurs raisons : certaines personnes m’ont apporté du soutien et des mots d’encouragement, et c’est toujours un plaisir de "laisser des nouvelles". Mon histoire "en ces lieux" est aussi particulière, et j’y éprouve un certain attachement.

Je travaille actuellement sur un petit système qui n’est pas directement lié au domaine du jeu vidéo. Cependant, les techniques évoluent à un point tel que, lorsque tu développes, il devient impossible de faire l’impasse sur les domaines liés à l’IA. Aujourd’hui, il est non seulement impossible, mais également impensable, de ne pas s’y intéresser. Ne pas étudier l’IA en tant que développeur, c’est du suicide… et cela vaut aussi pour le jeu vidéo.

À côté de cela, je m’éloigne quelque peu de mes habituelles recherches pour mettre un coup de boost à mes projets. Je suis arrivé à un stade où je dois synthétiser tout ce que j’ai appris et "APPLIQUER" concrètement. Transformer mes idées en choses réelles et palpables. "Aller vite", cela ne signifie pas faire du mauvais travail, mais produire quelque chose de fonctionnel et cohérent, même si cela reste perfectible.

Trop communiquer, ce n’est pas bon. Ne pas communiquer du tout, ce n’est pas mieux. Ce qui compte, c’est la façon de communiquer. Cela doit être efficace, sans devenir chronophage, et sans tomber dans la "branlette intellectuelle". J’avoue que dès qu’on entre dans des explications sur sa démarche ou des aspects techniques, on peut donner l’impression de "se la raconter". Ce n’est pas du tout mon intention, mais je lutte encore avec le syndrome de l’imposteur. Il me faut constamment me convaincre que je suis légitime. Après tout, à qui prends-je la place ? Personne.

"Faire son trou" : cette expression me laisse pourtant une impression étrange. Elle évoque pour moi une tombe, donc la mort, une notion liée à la finitude et au destin. Mais si l’on y voit aussi l’effort, le labeur pour creuser sa place, cette métaphore peut prendre un sens positif. Toute passion demande des sacrifices. Et comme tout travail, elle mérite un retour sur investissement humain.

Image

Voici l’état actuel de mon nouveau système de "perception visuelle". Il repose sur une étape fondamentale : utiliser un flux vidéo brut, le synthétiser à la volée, appliquer une transformation pour en créer un format spécifique, et, à terme, mémoriser et reconnaître des formes.

Pour moi, même si un système reconnaît une main ou un visage, cela reste de l’IA dite "intelligence faible". Cela s’apparente au réflexe, si l’on compare au vivant. Cependant, c’est à ce niveau que l’on peut implanter les germes d’un système plus évolué, capable de réflexion et de déduction.

Mon objectif est d’intégrer la déduction de données dès les bases du système. À ma connaissance, cela n’existe pas encore dans la littérature scientifique. Ce serait donc ma petite contribution personnelle, mon "grain de sable".

On pourrait m’objecter : "ChatGPT le fait déjà !"
Eh bien, oui… mais non. ChatGPT ne "déduit" pas réellement : il produit un résultat basé sur un apprentissage massif. Un bébé humain, en revanche, n’a pas besoin d’ingérer des milliards de données pour déduire et créer des informations à partir d’un contexte incomplet. C’est cette capacité à compléter l’information par la création de nouvelles données que je cherche à atteindre.

Pourquoi ?
Comme tout le monde, je me pose des questions existentielles :
D’où viens-je ? Qui suis-je ? Où vais-je ?
Ces interrogations, loin d’être inutiles, nourrissent ma réflexion. Pourtant, certains les ignorent, persuadés qu’elles ne servent à rien. Pire, certains découragent les autres de rêver ou de s’y attarder. À ceux-là, je dis NEXT ! (Pour rester trèèèès poli)...

Ces réflexions m’ont mené à m’interroger sur des notions telles que :
"Pourquoi un bébé plonge-t-il si instinctivement son regard dans celui de l’autre dès sa naissance ?"
Ce genre de question m’a amené à étudier le vivant, puis à mieux comprendre la notion de "système". En explorant les techniques propres au deep learning, j’ai eu un déclic : je ne veux pas reproduire ces systèmes, mais les intégrer pour créer quelque chose de différent. Une approche plus agile, réellement adaptative.

Mon intérêt pour ces micro-systèmes repose également sur leur potentiel écologique : développer une IA peu gourmande en énergie, que ce soit pour un usage local ou en serveur. Si les petits développeurs indépendants savent unir leurs forces, ils pourraient créer une structure résistante face aux GAFAM. Bien que parler de réelle indépendance reste illusoire (les "petits" ont besoin des "géants", et inversement), il y a là un bel enjeu collectif.

Ecoutez, ce n'est pas parce que je suis asocial que je n'ai pas le droit de venir m'exprimer sur Le Social ! :lol:
Mon grand sens de l'auto-dérision !

Po3m
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Re: Du confinement à la carotte...

Message non lu par Po3m » 09 janv. 2025 19:43

Ce n'est qu'une étape intermédiaire parmi tant d'autres...

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Basé sur un seuil statique global, je le rendrai local pour permettre une détection de contours indépendamment de la luminosité ambiante.
Sinon, cela rendrait ce que vous voyez ici, et ce qui est rendu ici est la fonctionnalité (incomplète) du système à 60 images secondes (limite imposée par le navigateur). Les seuils dynamiques permettront d'extraire des données à exploiter par la suite.

Il y aura quelques petites étapes que je garderai pour moi toutefois. Ces aperçus font office de travaux préliminaires mais basés sur "les grandes lignes" que j'ai déjà écrites, des principes généraux que j'ai dégagés à des fins d'application.

Mon objectif sera par la suite de surprendre et le cas échéant donner envie d'en savoir plus.
Si Mr Yann Lecun (scientifique français dans la recherche en IA, si ce n'est "l'un des papas de l'IA moderne") tombe sur cette page accidentellement,
Mes respects !

Po3m
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Re: Du confinement à la carotte...

Message non lu par Po3m » 10 janv. 2025 13:37

Bonjour,

Fiouuuu... Ce n'est pas isolé, mais je me suis couché vers 5h du matin (un peu passé). J'ai commencé ma journée vers 9h30 (pas tôt, mais après je ne compte plus les heures).

Image

Au niveau "perception" ça avance (encore loin d'être au point). Différenciation ombre/lumière, détourage.
Les seuils ne sont pas encore dynamiques, il y aura une bien meilleure adaptation visuelle quelles que soient les conditions lumineuses.
En effet, le système sera capable de "tout percevoir" et c'est très important qu'il le fasse de la façon "la plus naturelle possible" même si ça parait contre-intuitif d'écrire cela, mais le système repose sur une modélisation architecturale qui synthétise(ra) le fonctionnement de l'oeil humain et par la suite le traitement de l'aire visuelle côté cognitif et par la suite le traitement abstrait de l'information. Tout comme notre cerveau ne peut fonctionner qu'à environ 10% à un instant T (mais ce ne sont jamais les mêmes aires ou opérations de réalisées en soi), les afflux sanguins ne vont que là où il y a sollicitation ou besoin d'apport en oxygène, bien dans le principe il en sera de même pour mon réseau, avec une possibilité d'embranchements "plastiques", non figés, "réellement adaptatif".

Bien sûr, l'aspect multimodal, donc capable de recevoir de l'information provenant d'organes ou périphéries différentes, visuel, auditif, texte, etc... est anticipé, le "format de données" sera prêt de sorte à ce que la partie "cerveau" puisse traiter toutes ces infos en temps réel et de façon "persistante".

Je vais tenter de m'y tenir le plus longtemps possible en faisant gaffe d'éviter les pièges du surmenage (déjà connu, jusqu'à récemment, donc petite expérience à ce niveau)... en fait, je me suis rendu compte que mes épisodes de burn-out ne sont pas liés au travail lui-même, mais à ma situation elle-même éprouvante et la façon dont je suis "mal" traité dans le dispositif RSA (mépris, pas de considération sérieuse pour ce que je fais).

To bo continued...

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