Bonjour Marie,
C'est très agréable de constater que vous prenez soin de nous;
Dans mon asso, je suis la seule AVS, il y a une assistante de vie et c'est Tout sur une trentaine les qualifications actuelles. Les relations entre collègues sont conflictuelles et j'essaie de les éviter de plus en plus car elles me rendent malade. Les points de vue sont complètement différents et notre responsable ne trouve pas d'AVS ni de personnes non qualifiée qui comprennent vraiment ce qu'est profession. Soit les personnes qui postulent souhaitent faire que du ménage ou elles souhaitent faire que des toilettes et finir à 16h00 le soir.
On dirait qu'être AVS c'est presque un handicap
Marie, quel avenir nous avons vraiment ?
Honnêtement, je crois que j'ai rêvé un peu trop. On nous vraiment présenté ce diplome comme quelques chose de formidable ... Y'a qu'à voir comment et par qui il est reconnu : c'est tout simplement DESEPERANT
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la réalité
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Nathy73
Re: la réalité
bonjour
Je viens de faire la formation complète et j'ai obtenue mon DEAVS en janvier. Tu vois c'est tout récent.
Je veux t'encourager à poursuivre ta formation, et te donner un petit conseil : celui de trouver une autre assoc. à la fin de ton stage, une assoc. qui tient compte de ta formation et te propose autre chose que du ménage.
Moi dans mon assoc., je n'ai aucune mission exclusive de ménage. Je fais essentiellement de l'aide à la toilette, de la préparation au repas, au coucher et de la stimulation auprès de personnes atteintes de la maladie d'Elzeihmer et de Parkinson. ALors BON COURAGE, ces assoc. existent. Bonne continuation et bonne réussite. NATHY 73
Je viens de faire la formation complète et j'ai obtenue mon DEAVS en janvier. Tu vois c'est tout récent.
Je veux t'encourager à poursuivre ta formation, et te donner un petit conseil : celui de trouver une autre assoc. à la fin de ton stage, une assoc. qui tient compte de ta formation et te propose autre chose que du ménage.
Moi dans mon assoc., je n'ai aucune mission exclusive de ménage. Je fais essentiellement de l'aide à la toilette, de la préparation au repas, au coucher et de la stimulation auprès de personnes atteintes de la maladie d'Elzeihmer et de Parkinson. ALors BON COURAGE, ces assoc. existent. Bonne continuation et bonne réussite. NATHY 73
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fiorella
Re: la réalité
bonsoir tout le monde,
MERCI Marie, oui un grand merci d'avoir si bien expliqué le rôle D'UNE AIDE A DOMICILE, diplômée ou pas. Sa fonction principale est de venir en AIDE à la personne. Ne jamais oublier le mot AIDE. Aider à faire le ménage,aider à faire la toilette, aider au déplacement etc...
"Ce n'est pas parce que la vie qui reste à vivre n'est plus guère longue que sa qualité cesse de compter. "Dr Maurice ABIVEN "
J'aime énormément ma profession et je continuerais de l'exercer toujours avec AMOUR.
MERCI Marie, oui un grand merci d'avoir si bien expliqué le rôle D'UNE AIDE A DOMICILE, diplômée ou pas. Sa fonction principale est de venir en AIDE à la personne. Ne jamais oublier le mot AIDE. Aider à faire le ménage,aider à faire la toilette, aider au déplacement etc...
"Ce n'est pas parce que la vie qui reste à vivre n'est plus guère longue que sa qualité cesse de compter. "Dr Maurice ABIVEN "
J'aime énormément ma profession et je continuerais de l'exercer toujours avec AMOUR.
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Marie
Re: la réalité
Bonjour fifi,
Il est vrai que peu d'association demandaient des auxiliaires de vie , car elles coutent à peu prés deux euros de plus par heures que leurs collèges aides ménagères mais avec les nouvelles lois, les associations sont obligées de revoir leur recrutement différemment ; Les textes obliges a recruter des personnes diplômées dans la mesure ou elles en trouvent. Dans le cas contraire elles doivent les former : il y en aura donc de plus en plus. Vous n'avez pas de chance d'être dans les premières car cette phase de transition sera longue et difficile pour les nouvelles diplômées.
Les relations entre filles seront toujours très conflictuelles parce que nous sommes plus combattantes et plus forte contrairement à nos collègues garçons, ainsi pour réussir nous passons beaucoup de temps à nous trahir, dire du mal de nos collègues et nous insulter mutuellement:
Il y a deux raisons à cela, la première c'est que la femme a été depuis des milliers d'années dévalorisé et réprimé. Aujourd'hui, elle a repris ses droits d'un point de vu légal mais nous sommes là aussi dans une phase de transition entre les opprimées du siècle dernier qui ont transmis leur soumission à leurs propre filles et les nouvelles générations élevées comme de la porcelaine et moins combatives de fait, ayant un esprit beaucoup plus libres à tout point de vu et qui ressentent moins la nécessité de se battre pour exister.
La deuxième, c'est que la femme comme l'homme a des qualités qui font aussi leurs défauts et vis versa. Par exemple l'homme n'arrive pas aussi bien que nous a faire deux choses en même temps. Il synthétise et simplifie plus facilement que nous mais parfois finissent par oublier certains petits détails qui vont faire la différence. Leur intuition est beaucoup moins développé que la notre, leur esprit de compétition est moins développé que le notre etc. En revanche, étant donné toutes ces caractéristiques, ils vont être moins en conflit avec les autres au travail, ils feront donc moins d'efforts pour réussir. La gestion des ressources humaines sera plus simple avec eux (et donc moins de perte de temps à gérer les conflits). Mais au final, qu'on embauche des hommes ou des femmes cela changera peut de choses pour un recruteur. Cependant, pour les salariés ça change tout : Travailler avec des hommes, que l'on soit une femme ou un homme, c'est bien plus reposant mais il y a des conversations que vous n’aurez pas avec un homme (la vie est plus monotone) et une femme par sa vivacité et sa compassion sera plus apprécié. Son côté maternelle rassure (ce n’est pas pour rien que tout le monde veut des femmes pour aide à domicile). Même si l’homme est plus sur dans ses gestes grâce à sa force musculaire, il restera toujours plus froid qu’une femme. Pour que le service se passe sans conflits ; la seule solution est une bonne gestion des ressources humaines.
Il sera d'autant plus difficile pour le responsable du service de gérer des filles qu'il ne saura pas les comprendre et les valoriser.
Ce que chacune de vos collègues cherche, c'est de la reconnaissance et une valorisation professionnelle:
Comment peut-on alors valoriser un travail qui vous a assimilé à une "boniche" ?
Il y a beaucoup de moyens ; aujourd’hui les « boniches », s’ils en restent, ne se trouvent plus que dans les nos foyers, pour servir leur mari. Avec la professionnalisation de tout les corps de métiers, il n’y a plus de sous métier mais des métiers différents, avec des choix différents.
Bien sûr, il faut que le recruteur s'y intéresse et surtout que les femmes n'aient pas de « secrets » pour lui ou pour elle (psychologiquement parlant bien sur). S'il (ou elle) sait exactement ce que ses salariés attendent de lui, il arrivera a ses fins et réussira a maintenir un climat vivable avec et entre ses employées.
C’est ça le problème de votre association !Ce n'est pas les filles mais la gestion des ressources humaines qui est mal faites parce que ces bénévoles ne sont pas des professionnelles et n'ont aucune idée de la façon de gérer vos relations conflictuelles.
Le fait que certaines aides à domicile veulent finir à 16h est naturel ; si elles ont des enfants.
Il faut ; c'est que le responsable mette en place des tournées (par exemple 7h à 14h / 14h à 21h ou 18h 6h pour le tournées de nuit). Lorsque les personnes ont du temps pour leur vie de famille elles vont se sentir mieux dans leur tête et auront moins l'impression d'abandonner leur famille (une personne bien dans sa tête est beaucoup plus efficace).
Cela va déjà régler beaucoup de conflits! Ensuite, il doit définir le poste précisément à la personne qu'il recrute. Plus les personnes savent où elles vont et ce qui les attendent, mieux elles l'accepteront parce qu'elles auront eu le choix de refuser ou d’accepter ( c’est ça le respect).
Hors aujourd'hui, ce qui se passe c'est que l'on vous embauche pour 10h par semaine, puis on change et on change encore et à chaque fois elles doivent chambouler leur vie personnel au détriment de leurs proches. C’est terrible de vivre ainsi !
Les femmes qui le font sans broncher, je les admire énormément !Ce doit être terriblement frustrant de passer sont temps à aider les autres (parce qu'on aime cela) et de ne pas pouvoir satisfaire ou aider sa propre famille, par nos absences quotidiennes.
Voilà le problème !....: Si le responsable n'organise pas le travail différemment, s’il n’est pas plus à l’écoute de ses salariées, les conflits seront permanents et des personnes précieuses, comme vous, finiront elles aussi par partir et changer de voie seulement parce qu'on n'aura pas su vous garder!
Alors croyez moi le problème ce n’est pas le diplôme, car faire ce métier est la plus belle chose qui me soit arrivé dans la vie, l’handicap ce n’est pas notre travail, notre handicap comme dans tous les métiers est les "Hommes" (au sens large).
Lorsqu’un enfant retrouve dans sa classe une maitresse qui aime son travail passionnément, il apprend deux fois plus vite et tous les jours il est content d’aller à l’école. Mais des maitresses comme ça, il y en a une sur 1000, le problème ne vient pas du métier en lui-même mais des personnes qui le font. (seulement pour la paye à la fin du mois).
Le problème est le même pour les auxiliaires de vie, pour les responsable d’associations ou les professeurs, les ingénieurs ou qui que se soit d’autre. Il faudrait changer tout le monde ! C’est impossible !
Malgré tout, dans notre métier beaucoup de choses vont changer, car il est jeune et il faut lui laisser le temps de réellement trouver sa place.
Voilà fifi, j’espère que j’ai répondu à tes questions. Ce que je peux te dire c’est que mes auxiliaires sont heureuses, elles aiment leur métier, elles me le disent ou me le font ressentir tous les jours et que les accompagner dans la vie de tous les jours est pour moi un honneur et un véritable plaisir !
Il est vrai que peu d'association demandaient des auxiliaires de vie , car elles coutent à peu prés deux euros de plus par heures que leurs collèges aides ménagères mais avec les nouvelles lois, les associations sont obligées de revoir leur recrutement différemment ; Les textes obliges a recruter des personnes diplômées dans la mesure ou elles en trouvent. Dans le cas contraire elles doivent les former : il y en aura donc de plus en plus. Vous n'avez pas de chance d'être dans les premières car cette phase de transition sera longue et difficile pour les nouvelles diplômées.
Les relations entre filles seront toujours très conflictuelles parce que nous sommes plus combattantes et plus forte contrairement à nos collègues garçons, ainsi pour réussir nous passons beaucoup de temps à nous trahir, dire du mal de nos collègues et nous insulter mutuellement:
Il y a deux raisons à cela, la première c'est que la femme a été depuis des milliers d'années dévalorisé et réprimé. Aujourd'hui, elle a repris ses droits d'un point de vu légal mais nous sommes là aussi dans une phase de transition entre les opprimées du siècle dernier qui ont transmis leur soumission à leurs propre filles et les nouvelles générations élevées comme de la porcelaine et moins combatives de fait, ayant un esprit beaucoup plus libres à tout point de vu et qui ressentent moins la nécessité de se battre pour exister.
La deuxième, c'est que la femme comme l'homme a des qualités qui font aussi leurs défauts et vis versa. Par exemple l'homme n'arrive pas aussi bien que nous a faire deux choses en même temps. Il synthétise et simplifie plus facilement que nous mais parfois finissent par oublier certains petits détails qui vont faire la différence. Leur intuition est beaucoup moins développé que la notre, leur esprit de compétition est moins développé que le notre etc. En revanche, étant donné toutes ces caractéristiques, ils vont être moins en conflit avec les autres au travail, ils feront donc moins d'efforts pour réussir. La gestion des ressources humaines sera plus simple avec eux (et donc moins de perte de temps à gérer les conflits). Mais au final, qu'on embauche des hommes ou des femmes cela changera peut de choses pour un recruteur. Cependant, pour les salariés ça change tout : Travailler avec des hommes, que l'on soit une femme ou un homme, c'est bien plus reposant mais il y a des conversations que vous n’aurez pas avec un homme (la vie est plus monotone) et une femme par sa vivacité et sa compassion sera plus apprécié. Son côté maternelle rassure (ce n’est pas pour rien que tout le monde veut des femmes pour aide à domicile). Même si l’homme est plus sur dans ses gestes grâce à sa force musculaire, il restera toujours plus froid qu’une femme. Pour que le service se passe sans conflits ; la seule solution est une bonne gestion des ressources humaines.
Il sera d'autant plus difficile pour le responsable du service de gérer des filles qu'il ne saura pas les comprendre et les valoriser.
Ce que chacune de vos collègues cherche, c'est de la reconnaissance et une valorisation professionnelle:
Comment peut-on alors valoriser un travail qui vous a assimilé à une "boniche" ?
Il y a beaucoup de moyens ; aujourd’hui les « boniches », s’ils en restent, ne se trouvent plus que dans les nos foyers, pour servir leur mari. Avec la professionnalisation de tout les corps de métiers, il n’y a plus de sous métier mais des métiers différents, avec des choix différents.
Bien sûr, il faut que le recruteur s'y intéresse et surtout que les femmes n'aient pas de « secrets » pour lui ou pour elle (psychologiquement parlant bien sur). S'il (ou elle) sait exactement ce que ses salariés attendent de lui, il arrivera a ses fins et réussira a maintenir un climat vivable avec et entre ses employées.
C’est ça le problème de votre association !Ce n'est pas les filles mais la gestion des ressources humaines qui est mal faites parce que ces bénévoles ne sont pas des professionnelles et n'ont aucune idée de la façon de gérer vos relations conflictuelles.
Le fait que certaines aides à domicile veulent finir à 16h est naturel ; si elles ont des enfants.
Il faut ; c'est que le responsable mette en place des tournées (par exemple 7h à 14h / 14h à 21h ou 18h 6h pour le tournées de nuit). Lorsque les personnes ont du temps pour leur vie de famille elles vont se sentir mieux dans leur tête et auront moins l'impression d'abandonner leur famille (une personne bien dans sa tête est beaucoup plus efficace).
Cela va déjà régler beaucoup de conflits! Ensuite, il doit définir le poste précisément à la personne qu'il recrute. Plus les personnes savent où elles vont et ce qui les attendent, mieux elles l'accepteront parce qu'elles auront eu le choix de refuser ou d’accepter ( c’est ça le respect).
Hors aujourd'hui, ce qui se passe c'est que l'on vous embauche pour 10h par semaine, puis on change et on change encore et à chaque fois elles doivent chambouler leur vie personnel au détriment de leurs proches. C’est terrible de vivre ainsi !
Les femmes qui le font sans broncher, je les admire énormément !Ce doit être terriblement frustrant de passer sont temps à aider les autres (parce qu'on aime cela) et de ne pas pouvoir satisfaire ou aider sa propre famille, par nos absences quotidiennes.
Voilà le problème !....: Si le responsable n'organise pas le travail différemment, s’il n’est pas plus à l’écoute de ses salariées, les conflits seront permanents et des personnes précieuses, comme vous, finiront elles aussi par partir et changer de voie seulement parce qu'on n'aura pas su vous garder!
Alors croyez moi le problème ce n’est pas le diplôme, car faire ce métier est la plus belle chose qui me soit arrivé dans la vie, l’handicap ce n’est pas notre travail, notre handicap comme dans tous les métiers est les "Hommes" (au sens large).
Lorsqu’un enfant retrouve dans sa classe une maitresse qui aime son travail passionnément, il apprend deux fois plus vite et tous les jours il est content d’aller à l’école. Mais des maitresses comme ça, il y en a une sur 1000, le problème ne vient pas du métier en lui-même mais des personnes qui le font. (seulement pour la paye à la fin du mois).
Le problème est le même pour les auxiliaires de vie, pour les responsable d’associations ou les professeurs, les ingénieurs ou qui que se soit d’autre. Il faudrait changer tout le monde ! C’est impossible !
Malgré tout, dans notre métier beaucoup de choses vont changer, car il est jeune et il faut lui laisser le temps de réellement trouver sa place.
Voilà fifi, j’espère que j’ai répondu à tes questions. Ce que je peux te dire c’est que mes auxiliaires sont heureuses, elles aiment leur métier, elles me le disent ou me le font ressentir tous les jours et que les accompagner dans la vie de tous les jours est pour moi un honneur et un véritable plaisir !
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hélène
Re: la réalité
bonjour madame!
je suis étudiante assistante sociale en 3ème année et j'effectue mon mémoire professionnel sur l'accompagnement des familles qui prennent en charge un parent âgé à domicile et j'aimerai savoir si par votre biais je pourrai être mise en relation avec certaines familles qui accepteraient de répondre à quelques questions pour mon mémoire.
je vous laisse mes coordonnées pour plus de précision, merci beaucoup: 06 68 17 91 49
je suis étudiante assistante sociale en 3ème année et j'effectue mon mémoire professionnel sur l'accompagnement des familles qui prennent en charge un parent âgé à domicile et j'aimerai savoir si par votre biais je pourrai être mise en relation avec certaines familles qui accepteraient de répondre à quelques questions pour mon mémoire.
je vous laisse mes coordonnées pour plus de précision, merci beaucoup: 06 68 17 91 49
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tarentule
Re: la réalité
salut fifi moi ce que je ne comprends pas c'est que tous les ans sur le journal les aides qui sont diplômées( 'avs) sont en "1ERE"page ,elles sont a peu près une vingtaine. alors ou vont-elles travaillées? nous sur 3assos regroupées nous avons a peine 2 diplômées par secteur! peut-être- que le travail finalement ne leur convient pas!! A+
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fifi
Re: la réalité
Bonjour Hélène,
Je crois quez je peux vous aider :
Je vis en mitoyenneté avec mes G.P. qui s'occupe de mon arrière grand mère de 99 ans et demi depuis 1995. Jusuq'ici, aucun soucis puisqu'elle valide à cent pour cent, elle monte l'escalier plusieurs fois par jour car elle a sa salle de bain perso à l'étage à côté de sa chambre.
Vous devriez avoir mon mail perso sur votre messagerie. A bientôt
Je crois quez je peux vous aider :
Je vis en mitoyenneté avec mes G.P. qui s'occupe de mon arrière grand mère de 99 ans et demi depuis 1995. Jusuq'ici, aucun soucis puisqu'elle valide à cent pour cent, elle monte l'escalier plusieurs fois par jour car elle a sa salle de bain perso à l'étage à côté de sa chambre.
Vous devriez avoir mon mail perso sur votre messagerie. A bientôt
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nanny
Re: la réalité
salut a tous!
c'est clair que ce métier ne nous valorise pas en tant qu'AVS.Le probleme c'est que les bénéficiaires ne connaissent pas notre professions.Pourquoi?Parceque d'une part les assoc n'explique pas nos compétences et a quoi nous sommes destinée c'est a dire a établir une relation sociale a domicile,et d'autre part les titulaires n'explique pas non plus aux personnes leurs capacités.Non elles se considèrent comme étant des "bonnes".Je suis totalement déçue car j'ai l'impression de me battre sans cesse en disant que je ne suis pas femme de ménage mais AVS.J'ai beau me justifier,en parler mais rien y fais car le soutien n'y est pas!seule nous n'y arriverons pas!J'aime ce métier je suis consciente que le ménage est dans mes taches mais il devrait y passer en second plan et pas en priorité c'est ce que l'on nous apprend.Je suis las de me battre et je ne suis que stagiaire.Bisous bonne soirée
c'est clair que ce métier ne nous valorise pas en tant qu'AVS.Le probleme c'est que les bénéficiaires ne connaissent pas notre professions.Pourquoi?Parceque d'une part les assoc n'explique pas nos compétences et a quoi nous sommes destinée c'est a dire a établir une relation sociale a domicile,et d'autre part les titulaires n'explique pas non plus aux personnes leurs capacités.Non elles se considèrent comme étant des "bonnes".Je suis totalement déçue car j'ai l'impression de me battre sans cesse en disant que je ne suis pas femme de ménage mais AVS.J'ai beau me justifier,en parler mais rien y fais car le soutien n'y est pas!seule nous n'y arriverons pas!J'aime ce métier je suis consciente que le ménage est dans mes taches mais il devrait y passer en second plan et pas en priorité c'est ce que l'on nous apprend.Je suis las de me battre et je ne suis que stagiaire.Bisous bonne soirée
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vero
Re: la réalité
Salut, je suis auxiliaire de vie depuis 5 ans avec mon DEAVS, donc j'ai souvent des stagiaires 2 par an. Je ne leur fais pas faire que du ménage : toilette, repas, transfert. Nous sommes 3AVS a prendre des stagiares donc le travail est varié, la dernière stagiaire va certainement revenir avec nous pour son dernier stage car c'est vrai que la plus part des filles font que du ménage......