(Dé)Valoriser son image professionnelle Aksis VSI
Publié : 24 mars 2020 00:20
Un enfant dans le monde meurt de faim toutes les 5 secondes, 60% des espèces animales ont DEJA disparu... dans ce monde anxiogène, je me suis pris en main.
Coup de Gueule !
Les "fais ce que je dis pas ce que je fais" j'ai connu. Les "conseilleurs mauvais payeurs" aussi. Toi aussi Pôle Emploi te prends pour un con en te plaçant sur de l'occupationnel chez des tierces prestataires qui ne font qu'empocher les subventions ? Toi aussi on t'a pris pour du jambon en (dé)valorisant ton image professionnelle sur un coin de table à travers des propos humiliants ? ("Je n'aime pas votre domaine > et alors je suis sensé aimer le vôtre ?") ("Votre tête ne passe pas en entretien, même par webcam > Tu as vu ta tête, vieille bique ?") ("On dirait un Geek > Renseigne toi un peu, l'informatique est PARTOUT, dans TOUS LES secteurs, pas de ma faute si tu n'es pas compétente") ("Il ne faut pas rêver > Et si je te disais que je t'emmerde ? Tu l'as vu mon cul ?")...
Valoriser votre image professionnelle chez Aksis = de la merde...
Prestation bouche-trou dite occupationnelle où l'on te fait jouer aux légos, où l'on t'apprend à te tenir droit sur une chaise avec un balai bien calé dans le fondement, où l'on t'apprend à accepter des petits boulots sans avenir dans des secteurs dits "en tension" et où surtout il ne faut pas négocier et tout accepter sans broncher.
Vous l'aurez compris, dans mon cas il y a eu une petite erreur d'aiguillage...
Aksis empoche 1000€ / tête envoyée par Pôle Emploi pour ne pas se faire respecter ? Mais fuck !
Les DRH à la carrière ratée qui se rattrapent aux branches et jugent les gens envoyés par Pôle Emploi comme des déchets à recycler : passez vos nerfs sur les vrais responsables et laissez les gens croire en leur projet et leur vie !
A bon entendeur.
Je crois ! En un monde meilleur. Mais en attendant je crache encore ma colère... dont à vrai dire je ne sors pas.
De ma colère, je ne sors pas de ma colère. Mais je ne sors pas non plus rassurez vous, je reste bien confiné. Mais je vous assure, sincèrement il y a un avant et un après cette dernière prestation chez Aksis réalisée en avril 2019. Depuis, j'ai envie d'en prendre une pour claquer sur l'autre et d'une force toujours aussi prégnante...
Aussi, j'aimerais faire appel à un/une psy... une, je dirais que je préfère. Oui mais voilà, ce n'est pas facile de tomber sur la bonne personne et quand tu es catalogué "fou" : bon courage ! A part le CMP hein... oui mais non... voilà voilà. J'ai mes raisons... je ne suis pas complètement con. Et pas si fou que ça non plus hein... pas plus que la moyenne sinon que je suis humainement faillible comme tout être humain. Certes, mon cas est complexe mais merde j'ai bossé ! J'ai avancé...
Je suis malheureusement atteint d'un trouble assez important... qu'on range dans ce qu'on peut appeler une "phobie sociale", et les conséquences envers autrui ne vont pas sans quelques heurts à chaque fois que je tente de refaire surface. Parce que je suis quelqu'un de "différent" mais qui ne se présente pas ainsi dans la vie. Je ne dis pas "Bonjour je suis phobique social" (ce n'est pas écrit sur mon front) ou encore je ne dis pas "Bonjour je suis un haut potentiel" en bref je garde tout ça sous silence et je trouve ça "nooooormaaaal" (le mot qui tue lol) ici peut être que je peux me laisser un peu aller.
Sur le social, je suis un peu comme sur mon rocher. A l'intérieur, peut être, en creux.
Un peu comme si je me sentais dans un espace plus chaleureux où je me sens parfois lu, probablement pas compris mais ce n'est pas si grave.
Pour vous, votre situation du confinement, pour moi c'était ma réalité durant quelques années.
Et si je vous parlais de cette réalité là ? La mienne ? Et si cela vous permettrait de relativiser la votre, de condition présente ?
Et si... grâce, ou bien à cause de cet état de fait, cela "nous" permettrait de nous rapprocher, de créer un pont ? Quelque chose ?
Je ne suis qu'un parmi vous, comme tout à chacun, un parmi tous les autres.
Je vis très bien la situation du confinement et ça m'attriste un peu de le réaliser. Bien que réellement j'ai profondément changé et évoluer, dans un sens pas trop trop mauvais on va dire... donc, encore exploitable. Si je devais raconter mon histoire, oui j'avoue, ça ferait peur... on pourrait même se demander comment je fais pour avoir la tête encore si saine, au bout du compte. Et c'est un peu mon message, je ne suis peut être pas dans une vie tout à fait équilibrée, mais quoi ? A fortiori, mon cerveau fonctionne et physiquement... hey hey heeeeeey je suis en forme baby ! (rires) il me manque juste le sport en chambre et je suis bon ! Non sincèrement, j'en suis passé par quelques moments pas choupis on va dire, mais je suis encore là. Je viens ici déverser un peu de ma folie, un peu de mon trop plein, beaucoup de mon gâchis...
Le confinement, disais je...
C'est tout une histoire. Je vais peut être me laisser aller à te raconter des choses.
Mon histoire ? Je n'aurai pas cette prétention. Mon échec, assurément.
Je vais peut être te dire comment il est possible de se vautrer à se point dans la vie.
Ce n'est pas grave, hein... je sais bien qu'au fond, voilà, même moi ça ne va pas m'empêcher de dormir, quoi. C'est vrai...
Je "crise" dans mes états les plus lucides, et puis ça retombe, tu comprends... si tu es psy, oui tu comprends probablement.
Alors tu as le droit d'être psy "tout ce que tu veux" hein...
Bien que j'aimerais te préciser que je sais distinguer chaque spécialité et donc leur signification respective.
Ce n'est pas le plus important. Pour moi ce qui compte, c'est la part d'humanité qui se trouve en chacun.
Juste une chose, la technique c'est nécessaire, oui. Bien sûr. Mais ça ne fait pas tout. Je pense qu'un bon psy, c'est un bon peintre...
Tu vois ? Il va plus loin qu'une approche strictement scolaire de sa formation (je l'espère et lui souhaite, de toute les façons), l'approche technique et ne faire que "traiter la pathologie" et point... ce n'est pas trop ma tasse de thé comme école. Tu comprends ? Bien. Si ça te parle, ouais peut être qu'on peut se parler, ou en tout cas, tu serais alors plus apte à me lire... on va dire.
Ne crois pas que je vis reclus hein, c'est une époque passée, mais j'ai encore du chemin à faire.
Il y a un plafond de verre que je n'arrive pas à briser et cela me porte encore trop préjudice "en société" et surtout dans ma tentative d'évolution professionnelle... j'en souffre, bien évidemment. Sinon je ne serais pas ici à l'écrire.
Bien sûr, une pensée inévitable pour vous tous, personnels soignants, mais aussi professeurs pour beaucoup, policiers et tous sans distinction mue par la volonté de faire corps dans un mouvement de résistance raisonnable, d'où que vous soyez et qui vous êtes, je vous remercie de tout mon coeur d'encourir actuellement les risques les plus élevés pour secourir les plus fragiles d'entre nous. Cela pourrait être toi, ou moi, il ne faut pas sous estimer ce danger même si les plus fragiles seulement sont réellement concernés par un risque de mortalité, risque très faible pour la grande majorité d'entre nous.
Je dirais, sans du tout être alarmiste ou fataliste, absolument pas mon intention, que d'un point de vue systémique, il y a probablement un lien fort avec la planète que l'on malmène et l'industrie alimentaire, en particulier le (mauvais) traitement animal et toutes les cochonneries que l'on nous a habitué à ingérer. Je n'entrerai pas, je vous rassure, pas plus loin sur ce terrain là. Car démontrer et prouver ici n'est ni de mon niveau, ni de mes compétences. Je suis juste réaliste... et pas trop bête. Il va nous falloir nous habituer à cette "nouvelle ère" qui s'annonce, et ça ne va pas être tout rose. Entre les migrations massives qui sont prévues pour les années à venir, et les risques de conflits majeurs... ça va nous toucher... très concrètement... et de façon irrésolument matérielle. J'espère que nous sommes très nombreux à en être conscients... faites vous à l'idée que ce que nous connaissons aujourd'hui, vos enfants le perdront définitivement si le choix d'un monde meilleur, réellement meilleur, n'est pas pleinement voulu, choisi, et assumé.
Paix et crois fort en tes rêves...
Coup de Gueule !
Les "fais ce que je dis pas ce que je fais" j'ai connu. Les "conseilleurs mauvais payeurs" aussi. Toi aussi Pôle Emploi te prends pour un con en te plaçant sur de l'occupationnel chez des tierces prestataires qui ne font qu'empocher les subventions ? Toi aussi on t'a pris pour du jambon en (dé)valorisant ton image professionnelle sur un coin de table à travers des propos humiliants ? ("Je n'aime pas votre domaine > et alors je suis sensé aimer le vôtre ?") ("Votre tête ne passe pas en entretien, même par webcam > Tu as vu ta tête, vieille bique ?") ("On dirait un Geek > Renseigne toi un peu, l'informatique est PARTOUT, dans TOUS LES secteurs, pas de ma faute si tu n'es pas compétente") ("Il ne faut pas rêver > Et si je te disais que je t'emmerde ? Tu l'as vu mon cul ?")...
Valoriser votre image professionnelle chez Aksis = de la merde...
Prestation bouche-trou dite occupationnelle où l'on te fait jouer aux légos, où l'on t'apprend à te tenir droit sur une chaise avec un balai bien calé dans le fondement, où l'on t'apprend à accepter des petits boulots sans avenir dans des secteurs dits "en tension" et où surtout il ne faut pas négocier et tout accepter sans broncher.
Vous l'aurez compris, dans mon cas il y a eu une petite erreur d'aiguillage...
Aksis empoche 1000€ / tête envoyée par Pôle Emploi pour ne pas se faire respecter ? Mais fuck !
Les DRH à la carrière ratée qui se rattrapent aux branches et jugent les gens envoyés par Pôle Emploi comme des déchets à recycler : passez vos nerfs sur les vrais responsables et laissez les gens croire en leur projet et leur vie !
A bon entendeur.
Je crois ! En un monde meilleur. Mais en attendant je crache encore ma colère... dont à vrai dire je ne sors pas.
De ma colère, je ne sors pas de ma colère. Mais je ne sors pas non plus rassurez vous, je reste bien confiné. Mais je vous assure, sincèrement il y a un avant et un après cette dernière prestation chez Aksis réalisée en avril 2019. Depuis, j'ai envie d'en prendre une pour claquer sur l'autre et d'une force toujours aussi prégnante...
Aussi, j'aimerais faire appel à un/une psy... une, je dirais que je préfère. Oui mais voilà, ce n'est pas facile de tomber sur la bonne personne et quand tu es catalogué "fou" : bon courage ! A part le CMP hein... oui mais non... voilà voilà. J'ai mes raisons... je ne suis pas complètement con. Et pas si fou que ça non plus hein... pas plus que la moyenne sinon que je suis humainement faillible comme tout être humain. Certes, mon cas est complexe mais merde j'ai bossé ! J'ai avancé...
Je suis malheureusement atteint d'un trouble assez important... qu'on range dans ce qu'on peut appeler une "phobie sociale", et les conséquences envers autrui ne vont pas sans quelques heurts à chaque fois que je tente de refaire surface. Parce que je suis quelqu'un de "différent" mais qui ne se présente pas ainsi dans la vie. Je ne dis pas "Bonjour je suis phobique social" (ce n'est pas écrit sur mon front) ou encore je ne dis pas "Bonjour je suis un haut potentiel" en bref je garde tout ça sous silence et je trouve ça "nooooormaaaal" (le mot qui tue lol) ici peut être que je peux me laisser un peu aller.
Sur le social, je suis un peu comme sur mon rocher. A l'intérieur, peut être, en creux.
Un peu comme si je me sentais dans un espace plus chaleureux où je me sens parfois lu, probablement pas compris mais ce n'est pas si grave.
Pour vous, votre situation du confinement, pour moi c'était ma réalité durant quelques années.
Et si je vous parlais de cette réalité là ? La mienne ? Et si cela vous permettrait de relativiser la votre, de condition présente ?
Et si... grâce, ou bien à cause de cet état de fait, cela "nous" permettrait de nous rapprocher, de créer un pont ? Quelque chose ?
Je ne suis qu'un parmi vous, comme tout à chacun, un parmi tous les autres.
Je vis très bien la situation du confinement et ça m'attriste un peu de le réaliser. Bien que réellement j'ai profondément changé et évoluer, dans un sens pas trop trop mauvais on va dire... donc, encore exploitable. Si je devais raconter mon histoire, oui j'avoue, ça ferait peur... on pourrait même se demander comment je fais pour avoir la tête encore si saine, au bout du compte. Et c'est un peu mon message, je ne suis peut être pas dans une vie tout à fait équilibrée, mais quoi ? A fortiori, mon cerveau fonctionne et physiquement... hey hey heeeeeey je suis en forme baby ! (rires) il me manque juste le sport en chambre et je suis bon ! Non sincèrement, j'en suis passé par quelques moments pas choupis on va dire, mais je suis encore là. Je viens ici déverser un peu de ma folie, un peu de mon trop plein, beaucoup de mon gâchis...
Le confinement, disais je...
C'est tout une histoire. Je vais peut être me laisser aller à te raconter des choses.
Mon histoire ? Je n'aurai pas cette prétention. Mon échec, assurément.
Je vais peut être te dire comment il est possible de se vautrer à se point dans la vie.
Ce n'est pas grave, hein... je sais bien qu'au fond, voilà, même moi ça ne va pas m'empêcher de dormir, quoi. C'est vrai...
Je "crise" dans mes états les plus lucides, et puis ça retombe, tu comprends... si tu es psy, oui tu comprends probablement.
Alors tu as le droit d'être psy "tout ce que tu veux" hein...
Bien que j'aimerais te préciser que je sais distinguer chaque spécialité et donc leur signification respective.
Ce n'est pas le plus important. Pour moi ce qui compte, c'est la part d'humanité qui se trouve en chacun.
Juste une chose, la technique c'est nécessaire, oui. Bien sûr. Mais ça ne fait pas tout. Je pense qu'un bon psy, c'est un bon peintre...
Tu vois ? Il va plus loin qu'une approche strictement scolaire de sa formation (je l'espère et lui souhaite, de toute les façons), l'approche technique et ne faire que "traiter la pathologie" et point... ce n'est pas trop ma tasse de thé comme école. Tu comprends ? Bien. Si ça te parle, ouais peut être qu'on peut se parler, ou en tout cas, tu serais alors plus apte à me lire... on va dire.
Ne crois pas que je vis reclus hein, c'est une époque passée, mais j'ai encore du chemin à faire.
Il y a un plafond de verre que je n'arrive pas à briser et cela me porte encore trop préjudice "en société" et surtout dans ma tentative d'évolution professionnelle... j'en souffre, bien évidemment. Sinon je ne serais pas ici à l'écrire.
Bien sûr, une pensée inévitable pour vous tous, personnels soignants, mais aussi professeurs pour beaucoup, policiers et tous sans distinction mue par la volonté de faire corps dans un mouvement de résistance raisonnable, d'où que vous soyez et qui vous êtes, je vous remercie de tout mon coeur d'encourir actuellement les risques les plus élevés pour secourir les plus fragiles d'entre nous. Cela pourrait être toi, ou moi, il ne faut pas sous estimer ce danger même si les plus fragiles seulement sont réellement concernés par un risque de mortalité, risque très faible pour la grande majorité d'entre nous.
Je dirais, sans du tout être alarmiste ou fataliste, absolument pas mon intention, que d'un point de vue systémique, il y a probablement un lien fort avec la planète que l'on malmène et l'industrie alimentaire, en particulier le (mauvais) traitement animal et toutes les cochonneries que l'on nous a habitué à ingérer. Je n'entrerai pas, je vous rassure, pas plus loin sur ce terrain là. Car démontrer et prouver ici n'est ni de mon niveau, ni de mes compétences. Je suis juste réaliste... et pas trop bête. Il va nous falloir nous habituer à cette "nouvelle ère" qui s'annonce, et ça ne va pas être tout rose. Entre les migrations massives qui sont prévues pour les années à venir, et les risques de conflits majeurs... ça va nous toucher... très concrètement... et de façon irrésolument matérielle. J'espère que nous sommes très nombreux à en être conscients... faites vous à l'idée que ce que nous connaissons aujourd'hui, vos enfants le perdront définitivement si le choix d'un monde meilleur, réellement meilleur, n'est pas pleinement voulu, choisi, et assumé.
Paix et crois fort en tes rêves...