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hésitation entre métier d'AS et de CIP
hésitation entre métier d'AS et de CIP
Bonjour à tous,
Je suis actuellement étudiante en première année de sociologie et j'envisage de poursuivre jusqu'au master 2 (bac+5) toujours dans le même domaine mais spécialisé dans l'insertion.
J'ai déjà fait un stage de trois semaines dans un relais emploi santé insertion (structure qui accompagne les travailleurs handicapés dans leur recherche d'emploi) et j'envisage de faire les suivants dans une mission locale ou autres structures d'insertion.
Mes question sont les suivantes :
1 En quoi consiste concrètement le métier de référent RMI ? En quoi diffère-t-il du métier de CIP ?
Quelle formation faut-il avoir pour exercer le métier de référent RMI ?
2 Je me rends compte que j'ai de réelles capacités à accompagner l'autre dans les démarches etc cependant je ne pense pas avoir la fibre commerciale qui me permettrait, par exemple, de vendre un usager à une entreprise. Je me dis que si je n'arrive pas à atteindre les objectifs de placement je perdrais ma place je me demande donc si je ne suis pas faite davantage pour le métier d'assistante sociale mais peut être que je me trompe c'est pour cela que j'ai besoin de vos avis, de vos expériences pour savoir dans quoi je me lance.
Merci à tous !
Je suis actuellement étudiante en première année de sociologie et j'envisage de poursuivre jusqu'au master 2 (bac+5) toujours dans le même domaine mais spécialisé dans l'insertion.
J'ai déjà fait un stage de trois semaines dans un relais emploi santé insertion (structure qui accompagne les travailleurs handicapés dans leur recherche d'emploi) et j'envisage de faire les suivants dans une mission locale ou autres structures d'insertion.
Mes question sont les suivantes :
1 En quoi consiste concrètement le métier de référent RMI ? En quoi diffère-t-il du métier de CIP ?
Quelle formation faut-il avoir pour exercer le métier de référent RMI ?
2 Je me rends compte que j'ai de réelles capacités à accompagner l'autre dans les démarches etc cependant je ne pense pas avoir la fibre commerciale qui me permettrait, par exemple, de vendre un usager à une entreprise. Je me dis que si je n'arrive pas à atteindre les objectifs de placement je perdrais ma place je me demande donc si je ne suis pas faite davantage pour le métier d'assistante sociale mais peut être que je me trompe c'est pour cela que j'ai besoin de vos avis, de vos expériences pour savoir dans quoi je me lance.
Merci à tous !
Re: hésitation entre métier d'AS et de CIP
Salut,
J'ai été CIP (sans formation spécifique, mais avec suite à une formation de formateurs pour adultes avec des stages en organismes d'insertion) durant plus de 4 ans.
Puis j'ai passé le concours d'AS, et je suis maintenant en 3ème année de formation AS. (et je fais mon mémoire sur l'insertion pro des bénéficiaires du RMI)
Alors, je vais essayer de répondre à tes questions.
Le métier de "référent RMI" consiste à accompagner les bénéf du RMI dans leur insertion. Concrètement, c'est un suivi social, comme le suivi d'une As, mais exclusivement auprès de bénéf du RMI. (selon les départements, la référente RMI s'ocuupe même des problèmes liés à l'enfance, c'est le cas dans mon département)
Au minimum, cela consiste à discuter (négocier) le contrat d'insertion avec les bénéf du RMI, leur proposer des actions d'insertion professionnelle OU sociale (dans les domaines santé, logement, éducation, social) et les suivre dans leurs démarches.
La grosse différence avec le CIP, c'est que celui-ci n'a pour objectif QUE l'insertion professionnelle, pas l'insertion sociale.
Et l'autre différence, c'est que le CIP accompagne des demandeurs d'emploi (souvent de longue durée, mais ça peut être des jeunes comme en Mission Locale) mais qui ne sont pas tous bénéficiaires du RMI.
Pour être référent RMI, la formation demandée varie selon les départements : certains recrutent des ASS, d'autres des AS ou autres travailleurs sociaux (Educ Spé ou CESF - conseillère éco sociale et familiale), enfin, certains départements recrutent ... parfois des CIP, avec ou sans formation spécifique.
Après, pour répondre à ta question 2, c'est vrai qu'il est parfois difficile d'accompagner des pers dans leur recherche d'emploi ... quand on sait que ces personnes ont peu de chances de décrocher un emploi, car il y a d'autres diffciultés à régler avant, ou parce qu'ils ne correspondent pas aux critères d'employabilité (âge, formation minimum ...)
Mais je pense qu'une AS peut aussi se décourager face à des usagers qui ne "bougent" pas, qui restent passifs dans leur situation, et attendent la baguette magique de l'AS. (qui n'en a pas !!)
Si tu peux faire un stage en Mission Locale, ça pourraît être intéressant car les conseillers ne font pas que de l'insertion professionnelle, ils accompgnent aussi le jeune dans ses démarches de recherche de logement ou pb de santé, par ex.
De même, si tu peux, cherche un stage dans une structure qui fait de l'ASI (accompagnement social individualisé) : c'est une presta de l'ANPE qui doit permettre à un demandeur d'emploi de lever ses freins / l'emploi (par ex, prendre conscience d'un pb de santé).
Et puis, essaie de rencontrer des AS, au moins pour discuter, car pour un stage, c'est difficile (il faut en général être en formation d'AS, car il y a le secret professionnel qu'on doit respecter)
Si tu as d'autres questions, même par mail perso, je suis dispo ...
J'ai été CIP (sans formation spécifique, mais avec suite à une formation de formateurs pour adultes avec des stages en organismes d'insertion) durant plus de 4 ans.
Puis j'ai passé le concours d'AS, et je suis maintenant en 3ème année de formation AS. (et je fais mon mémoire sur l'insertion pro des bénéficiaires du RMI)
Alors, je vais essayer de répondre à tes questions.
Le métier de "référent RMI" consiste à accompagner les bénéf du RMI dans leur insertion. Concrètement, c'est un suivi social, comme le suivi d'une As, mais exclusivement auprès de bénéf du RMI. (selon les départements, la référente RMI s'ocuupe même des problèmes liés à l'enfance, c'est le cas dans mon département)
Au minimum, cela consiste à discuter (négocier) le contrat d'insertion avec les bénéf du RMI, leur proposer des actions d'insertion professionnelle OU sociale (dans les domaines santé, logement, éducation, social) et les suivre dans leurs démarches.
La grosse différence avec le CIP, c'est que celui-ci n'a pour objectif QUE l'insertion professionnelle, pas l'insertion sociale.
Et l'autre différence, c'est que le CIP accompagne des demandeurs d'emploi (souvent de longue durée, mais ça peut être des jeunes comme en Mission Locale) mais qui ne sont pas tous bénéficiaires du RMI.
Pour être référent RMI, la formation demandée varie selon les départements : certains recrutent des ASS, d'autres des AS ou autres travailleurs sociaux (Educ Spé ou CESF - conseillère éco sociale et familiale), enfin, certains départements recrutent ... parfois des CIP, avec ou sans formation spécifique.
Après, pour répondre à ta question 2, c'est vrai qu'il est parfois difficile d'accompagner des pers dans leur recherche d'emploi ... quand on sait que ces personnes ont peu de chances de décrocher un emploi, car il y a d'autres diffciultés à régler avant, ou parce qu'ils ne correspondent pas aux critères d'employabilité (âge, formation minimum ...)
Mais je pense qu'une AS peut aussi se décourager face à des usagers qui ne "bougent" pas, qui restent passifs dans leur situation, et attendent la baguette magique de l'AS. (qui n'en a pas !!)
Si tu peux faire un stage en Mission Locale, ça pourraît être intéressant car les conseillers ne font pas que de l'insertion professionnelle, ils accompgnent aussi le jeune dans ses démarches de recherche de logement ou pb de santé, par ex.
De même, si tu peux, cherche un stage dans une structure qui fait de l'ASI (accompagnement social individualisé) : c'est une presta de l'ANPE qui doit permettre à un demandeur d'emploi de lever ses freins / l'emploi (par ex, prendre conscience d'un pb de santé).
Et puis, essaie de rencontrer des AS, au moins pour discuter, car pour un stage, c'est difficile (il faut en général être en formation d'AS, car il y a le secret professionnel qu'on doit respecter)
Si tu as d'autres questions, même par mail perso, je suis dispo ...
Re: hésitation entre métier d'AS et de CIP
Merci florence pour ta réponse tellement complète, je ne m'y attendais pas du tout !
En fait, mon but premier est d'exercer le métier d'assistante sociale, le hic c'est que pendant ces trois années je n'aurais pas beaucoup de bourse et encore moins accès aux chambres universitaires alors qu' actuellement (étant à l'université) je paye ma chambre 100 euro par mois c'est donc tout à fait raisonnable. Cependant, si je réussis à intégrer une école d'AS je n'aurais pas accès à ces logements et je devrais louer dans le privée avec des loyers frôlant les 600 euro pour un studio c'est cela qui m'embête le plus. Mes parents vivent à l'étranger et n'ont pas de gros moyens pour m'aider 150 euro par mois maximum, j'ai d'autres frères et soeurs étudiants. C'est donc pour cela que je m'oriente vers le métier de CIP qui m'est accessible en restant à l'université (et donc en ayant accès aux bourses et aux logements étudiants) et qui me permet tout de même de travailler dans l'accompagnement des personnes.
Mais il est vrai que mon "rêve" serait d'être AS.
J'envisage de faire un stage dans une mission locale et j'ai déjà rencontrer une assistante sociale ... lui parler ne m'a donner qu'une envie : être à sa place ! :p
Florence sais-tu dans quelle structure postuler pour devenir référent RMI ?
Quel âge avais-tu lors de ton entrée à l'école d'AS ? Est-ce qu'il y a beaucoup d'étudiants de plus de 25 ans ?
Je préfère te poser des questions sur le forum et pas par mail afin d'en faire profiter le plus grand nombre ! A très vite j'espère !
En fait, mon but premier est d'exercer le métier d'assistante sociale, le hic c'est que pendant ces trois années je n'aurais pas beaucoup de bourse et encore moins accès aux chambres universitaires alors qu' actuellement (étant à l'université) je paye ma chambre 100 euro par mois c'est donc tout à fait raisonnable. Cependant, si je réussis à intégrer une école d'AS je n'aurais pas accès à ces logements et je devrais louer dans le privée avec des loyers frôlant les 600 euro pour un studio c'est cela qui m'embête le plus. Mes parents vivent à l'étranger et n'ont pas de gros moyens pour m'aider 150 euro par mois maximum, j'ai d'autres frères et soeurs étudiants. C'est donc pour cela que je m'oriente vers le métier de CIP qui m'est accessible en restant à l'université (et donc en ayant accès aux bourses et aux logements étudiants) et qui me permet tout de même de travailler dans l'accompagnement des personnes.
Mais il est vrai que mon "rêve" serait d'être AS.
J'envisage de faire un stage dans une mission locale et j'ai déjà rencontrer une assistante sociale ... lui parler ne m'a donner qu'une envie : être à sa place ! :p
Florence sais-tu dans quelle structure postuler pour devenir référent RMI ?
Quel âge avais-tu lors de ton entrée à l'école d'AS ? Est-ce qu'il y a beaucoup d'étudiants de plus de 25 ans ?
Je préfère te poser des questions sur le forum et pas par mail afin d'en faire profiter le plus grand nombre ! A très vite j'espère !
Re: hésitation entre métier d'AS et de CIP
Bonjour Lilou,
Tu dis qu'en étant en école d'AS tu n'as pas accés aux chambres universitaires. Vérifie car avec certaines écoles c'est possible.
Tu dis qu'en étant en école d'AS tu n'as pas accés aux chambres universitaires. Vérifie car avec certaines écoles c'est possible.
Re: hésitation entre métier d'AS et de CIP
Bonjour Lilou,
Tu dis que tu ne peux pas faire l'école d'ASS car tu n'aurais pas droit aux bourses ni aux chambres universitaires mais je ne sais pas si tu t'es renseigné: dans mon école il y a plusieurs étudiantes qui sont en chambres universitaires... Quant aux bourses, nous avons les bourses régionales (depuis que les formations sanitaires et sociales sont à la charge des régions). J'ai moi-même une bourse échelon 5 dont le montant est le même que pour les bourses nationales (que j'avais lorsque j'étais en fac).
Tu dis que tu ne peux pas faire l'école d'ASS car tu n'aurais pas droit aux bourses ni aux chambres universitaires mais je ne sais pas si tu t'es renseigné: dans mon école il y a plusieurs étudiantes qui sont en chambres universitaires... Quant aux bourses, nous avons les bourses régionales (depuis que les formations sanitaires et sociales sont à la charge des régions). J'ai moi-même une bourse échelon 5 dont le montant est le même que pour les bourses nationales (que j'avais lorsque j'étais en fac).
Re: hésitation entre métier d'AS et de CIP
Bonjour,
En fait je me suis renseigné oui et les secrétaires des écoles m'ont dit que je n'aurais pas accès aux chambre du crous mais aux chambres étudiantes privées (donc chère) et oui je sais pour les bourses mais j'ai lu qu'elles sont versées en deux fois et pas mensuellement c'est pour cela que je risque d'avoir du mal à tenir si la bourse tombe en janvier au lieu de septembre par exemple.
En fait je me suis renseigné oui et les secrétaires des écoles m'ont dit que je n'aurais pas accès aux chambre du crous mais aux chambres étudiantes privées (donc chère) et oui je sais pour les bourses mais j'ai lu qu'elles sont versées en deux fois et pas mensuellement c'est pour cela que je risque d'avoir du mal à tenir si la bourse tombe en janvier au lieu de septembre par exemple.
Re: hésitation entre métier d'AS et de CIP
salut Lilou,
Avec quelques jours de recul, je m'aperçois qu'en parlant par sigle, je t'ai peut-être envoyée sur une mauvaise piste : quand je dis que j'ai été CIP sans formation spécifique, je parlais du métier de "Conseiller d'Insertion Professionnelle" auprès des demandeurs d'emploi.
(petite précision : je travaillais en organismes d'insertion, prestataires pour l'ANPE. Pour travailler à l'ANPE, c'est sur concours, soit niveau bac, soit niveau Bac + 2)
Il ne faut pas confondre avec le métier de CIP = Conseiller d'Insertion et de Probation, auprès des personnes incarcérées ou en liberté surveillée ou récemment libérées. Pour ce métier là, il y a une formation de 2 ans, suite à concours niveau Bac + 2, soit 4 ans au total ! (Mais je ne sais pas quel est le statut pour les 2 années après le concours)
Autres infos pour l'aspect financier : en école d'AS, certain(e)s de mes collègues de promo travaillent à côté pour financer leurs études, le soir et / ou le WE. C'est faisable en 1ère année, plus difficile après, mais il y en a qui s'en sortent ... quand c'est le seul moyen de financer. Pour la dernière année, on a aussi la solution du prêt étudiant.
Enfin, c'est + rare mais ça existe encore : certains Conseils généraux accordent des bourses d'études aux futurs étudiants AS qui s'engagent à travailler pour eux après le concours.
Avec quelques jours de recul, je m'aperçois qu'en parlant par sigle, je t'ai peut-être envoyée sur une mauvaise piste : quand je dis que j'ai été CIP sans formation spécifique, je parlais du métier de "Conseiller d'Insertion Professionnelle" auprès des demandeurs d'emploi.
(petite précision : je travaillais en organismes d'insertion, prestataires pour l'ANPE. Pour travailler à l'ANPE, c'est sur concours, soit niveau bac, soit niveau Bac + 2)
Il ne faut pas confondre avec le métier de CIP = Conseiller d'Insertion et de Probation, auprès des personnes incarcérées ou en liberté surveillée ou récemment libérées. Pour ce métier là, il y a une formation de 2 ans, suite à concours niveau Bac + 2, soit 4 ans au total ! (Mais je ne sais pas quel est le statut pour les 2 années après le concours)
Autres infos pour l'aspect financier : en école d'AS, certain(e)s de mes collègues de promo travaillent à côté pour financer leurs études, le soir et / ou le WE. C'est faisable en 1ère année, plus difficile après, mais il y en a qui s'en sortent ... quand c'est le seul moyen de financer. Pour la dernière année, on a aussi la solution du prêt étudiant.
Enfin, c'est + rare mais ça existe encore : certains Conseils généraux accordent des bourses d'études aux futurs étudiants AS qui s'engagent à travailler pour eux après le concours.
Re: hésitation entre métier d'AS et de CIP
Merci beaucoup je vais voir alors s'il est possible que j'accede aux studio universitaires, non florence tu ne t'es pas trompée c'est bien conseillere d'insertion pro. Je voulais savoir Florence est ce que tu sais comment on accede au métier de référent RMI ?
Re: hésitation entre métier d'AS et de CIP
Lilou,
je vois que tu attends cette réponse depuis un moment! Alors, comment devient-on référent de parcours RMI?
Il faut, en principe, avoir une formation de CESF ou d'AS, et il faut s'adresser aux conseils généraux qui ont l'entière responsabilité du dipositif RMI. (qui peuvent par convention, déléguer cette compétence à des organismes).
La loi du 18 décembre 2003 transfère l’entière responsabilité du pilotage du dispositif RMI aux Conseils Généraux dans le cadre de la décentralisation. La collectivité départementale prend toute décision en matière d’insertion en gérant l’entrée et la sortie dans le dispositif RMI, en élaborant et en accompagnant les projets d’insertion et en coordonnant les modalités de gestion de la prestation, même si la loi rappelle que les Caisses d’Allocations Familiales et les Caisses de Mutualité Sociale Agricole sont les organismes habilités à liquider le droit.
Tout cela pour dire égélement que de fortes disparités se déssinent entre les départements, car la gestion de ce dispositif est différente d'un département à l'autre!!
Voilà, je suis allée un peu plus loin que ce que tu demandais, mais c'est important à savoir!
courage pour la suite!
je vois que tu attends cette réponse depuis un moment! Alors, comment devient-on référent de parcours RMI?
Il faut, en principe, avoir une formation de CESF ou d'AS, et il faut s'adresser aux conseils généraux qui ont l'entière responsabilité du dipositif RMI. (qui peuvent par convention, déléguer cette compétence à des organismes).
La loi du 18 décembre 2003 transfère l’entière responsabilité du pilotage du dispositif RMI aux Conseils Généraux dans le cadre de la décentralisation. La collectivité départementale prend toute décision en matière d’insertion en gérant l’entrée et la sortie dans le dispositif RMI, en élaborant et en accompagnant les projets d’insertion et en coordonnant les modalités de gestion de la prestation, même si la loi rappelle que les Caisses d’Allocations Familiales et les Caisses de Mutualité Sociale Agricole sont les organismes habilités à liquider le droit.
Tout cela pour dire égélement que de fortes disparités se déssinent entre les départements, car la gestion de ce dispositif est différente d'un département à l'autre!!
Voilà, je suis allée un peu plus loin que ce que tu demandais, mais c'est important à savoir!
courage pour la suite!
Re: hésitation entre métier d'AS et de CIP
Salut ,
Je suis en formation d'AS 3ème année et avant j'étais en droit à l'université dans l'optique de devenir CIP. J'ai décidé de passer le concours d'AS car il me permettait de toucher au social d'une manière très large et de ne pas être restreinte au ministère de la justice comme le prévoit le métier de CIP. Je n'ai jamais vu de CIP référent RMI. Les référents RMI sont souvent des travailleurs sociaux avec une formation "purement" sociale. Il ne faut pas oublier que les CIP ont une formation minitère de la justice bien qu'ils soient des travailleurs sociaux. Mais ils ne sont pas formés comme nous le pouvont l'être aux problématiques purement social ex: monter un dossier RMI, faire un dossier COTOREP ect... Je ne sais pas si j'ai répondu à ta question en tout cas n'hésites pas je te donnes mon e-mail silia.guena@laposte.net
bye
Je suis en formation d'AS 3ème année et avant j'étais en droit à l'université dans l'optique de devenir CIP. J'ai décidé de passer le concours d'AS car il me permettait de toucher au social d'une manière très large et de ne pas être restreinte au ministère de la justice comme le prévoit le métier de CIP. Je n'ai jamais vu de CIP référent RMI. Les référents RMI sont souvent des travailleurs sociaux avec une formation "purement" sociale. Il ne faut pas oublier que les CIP ont une formation minitère de la justice bien qu'ils soient des travailleurs sociaux. Mais ils ne sont pas formés comme nous le pouvont l'être aux problématiques purement social ex: monter un dossier RMI, faire un dossier COTOREP ect... Je ne sais pas si j'ai répondu à ta question en tout cas n'hésites pas je te donnes mon e-mail silia.guena@laposte.net
bye