bonjour,
je me permets de vous écrire car je fais mon mémoire sur les jeunes en errance, quelques professionnels ont évoqué cette structure abandonnique sans réellement savoir l'expliquer.
seriez vous me l'expliquer?
merci
Pour être notifié de nouveaux messages, entrer dans un forum puis cliquer sur "S'abonner au forum" (+ infos)
enfant abandonnique et sentiment d'abandon
-
cecile
Re: enfant abandonnique et sentiment d'abandon
je ne sais pas ou commencer j ai commencé une therapie il y a 3 mois apres une grosse frayeur par rapport a mon etat psychique c est comme si j etais arrivé au bout du roulot que mon corps me disait " j en ai marre de contenir tout ça il faut que ça sorte" je savais que je devais consulter mais je remettais ça a plus tar toujours bref j ai l impression clairement de me definir dans ces symptomes mais quand on n a pa eu les nourritures affectives necessaires et indispensables pour se sentir aimer se sentir être et existé comment se construire un avenir le sentiment d avoir de la valeur d avoir le droit d exister!! j ai lu ce forum avec beaucoup d interet merci pour ces temoignages j aimerais sortir de ce cercle infernal et je vous souhaite bon courage
-
aparp
Re: enfant abandonnique et sentiment d'abandon
Bonjour cécile
Pour moi mise à part le fait que j'ai parfois peur d'être abandonnée ET le fait de provoquer des circonstances dans lesquelles je me mets involontairement dans des situations rocambolesques ,à présent j'arrive à "retomber sur mes pieds".
Ce qui m'a aidé ce sont mes amie)s,le hasard (?)fait qu'ils ont tous un passé hors du commun et donc on arrive à comprendre lorsque l'un ou l'autre d'entre nous dérape..
J'ai aussi un enfant qui fait des études supérieures: moi que l'on dévalorisait ,que l'on ignorait ,qui ne ferait rien de bien dans la vie...
Je pense que ma situation ,sans ce malaise,aurait été différente car je reste toujours persuadée que je ne serai pas capable de ci,de ça..toujours les blocages...
A plus
Pour moi mise à part le fait que j'ai parfois peur d'être abandonnée ET le fait de provoquer des circonstances dans lesquelles je me mets involontairement dans des situations rocambolesques ,à présent j'arrive à "retomber sur mes pieds".
Ce qui m'a aidé ce sont mes amie)s,le hasard (?)fait qu'ils ont tous un passé hors du commun et donc on arrive à comprendre lorsque l'un ou l'autre d'entre nous dérape..
J'ai aussi un enfant qui fait des études supérieures: moi que l'on dévalorisait ,que l'on ignorait ,qui ne ferait rien de bien dans la vie...
Je pense que ma situation ,sans ce malaise,aurait été différente car je reste toujours persuadée que je ne serai pas capable de ci,de ça..toujours les blocages...
A plus
-
Sylvie
Re: enfant abandonnique et sentiment d'abandon
bonjour à tous,
malgré une thérapie, malgré des amis (beaucoup car besoin de se sentir entourée forcément), malgré une famille aimante (et oui mais pas présente...), toujours ce sentiment accroché à soi qui me maintient dans une sorte d'angoisse lancinante lorsque je suis seule. Je ne suis bien qu'avec les autres, je ne suis dynamique qu'avec les autres. Alors je me pousse, je ne réfléchis pas et j'agis sinon je resterai seule chez moi (paradoxalement).Sentiment d'abandonnique ne signifie pas que l'on a été abandonné mais que l'on a ressenti cet abandon des parents. J'ai été plutot "dressée" qu'élevée car mes parents étaient toujours absents et je devais donc être (lorsqu'ils étaient là)une sage petite fille, correcte, polie, gentille, bref "parfaite" en somme. Je l'ai été, pile poil comme ils le voulaient mais très seule : à rechercher la compagnie des autres, à me trouver des mamans de remplacement quand je le pouvais à un point même où ma mère en était presque jalouse et ne comprenais pas pourquoi je ne voulais pas revenir à la maison, je préférais rester chez les voisins.Bien sur, on gère, on se soigne on apprend mais il reste qqchose qui colle à la peau. Aujourd'hui j'ai aussi ce besoin d'avancer mais aussi de repartir en arrière par peur de ne pas être à la hauteur, de décevoir les autres. cette impression d'avoir grandi en me cognant aux murs, car seule, sans savoir comment faire, en cherchant mon chemin et sans être sure que ce soit le bon. je recherche toujours l'apprentissage par les autres, plus que par les livres : c'est un besoin fort.... je pourrai encore en parler longtemps. Ce forum est important car il me permet de me rendre compte que je ne suis pas la seule (!), de comprendre que je ne suis pas à part. Merci à tous.
malgré une thérapie, malgré des amis (beaucoup car besoin de se sentir entourée forcément), malgré une famille aimante (et oui mais pas présente...), toujours ce sentiment accroché à soi qui me maintient dans une sorte d'angoisse lancinante lorsque je suis seule. Je ne suis bien qu'avec les autres, je ne suis dynamique qu'avec les autres. Alors je me pousse, je ne réfléchis pas et j'agis sinon je resterai seule chez moi (paradoxalement).Sentiment d'abandonnique ne signifie pas que l'on a été abandonné mais que l'on a ressenti cet abandon des parents. J'ai été plutot "dressée" qu'élevée car mes parents étaient toujours absents et je devais donc être (lorsqu'ils étaient là)une sage petite fille, correcte, polie, gentille, bref "parfaite" en somme. Je l'ai été, pile poil comme ils le voulaient mais très seule : à rechercher la compagnie des autres, à me trouver des mamans de remplacement quand je le pouvais à un point même où ma mère en était presque jalouse et ne comprenais pas pourquoi je ne voulais pas revenir à la maison, je préférais rester chez les voisins.Bien sur, on gère, on se soigne on apprend mais il reste qqchose qui colle à la peau. Aujourd'hui j'ai aussi ce besoin d'avancer mais aussi de repartir en arrière par peur de ne pas être à la hauteur, de décevoir les autres. cette impression d'avoir grandi en me cognant aux murs, car seule, sans savoir comment faire, en cherchant mon chemin et sans être sure que ce soit le bon. je recherche toujours l'apprentissage par les autres, plus que par les livres : c'est un besoin fort.... je pourrai encore en parler longtemps. Ce forum est important car il me permet de me rendre compte que je ne suis pas la seule (!), de comprendre que je ne suis pas à part. Merci à tous.
-
indy
Re: enfant abandonnique et sentiment d'abandon
depuis que j'ai laissé un message je lis avec beaucoup d'attention chacun des votres je me dis qu'il faut que je tienne bon dans ma relation avec cet homme, qui malgré sa violence (dans ses paroles sinon je serais partie) sa haine..., est plein d'amour, il est tres attachant mais malgrè tout quasiment chaque jour je me dis qu'il faudra qu'un jour je parte pour me proteger moi je n'ai pas envie a force d'etre rabaissé dans ses paroles ne plus avoir confiance en moi me sentir nulle.
un jour ou il a eu des gestes violents physiquement je lui ais dit qu'il ne me detruitrait pas car je suis plus forte que lui et ca il faut y croire le plus longtemps possible pour ne pas se laisser submerger par cette colère qui ressurgit sur nous. a l'ecole d'educ (et oui en plus je suis educ mais je ne travaille pas avec ce type de public !!!je opense que sinon je deviendrais folle, que je confondrais la maison et le taf et je n'aurais plus d'espace pour moi)n il nous avait dit une phrase que je trouvais assez juste on est tjs plus mechant avec les gens qui nous aiment vraiment car on sait que quoi qu'on leur fasse ils resteront là .........ok mais il ne faut pas en abuser je pense que s'est vrai dans une relation parents-enfants dites normal quoi que ............j'adore ma petite fille de 4 ans mais si en tant qu'adulte elle devient une tueuse d'enfant ou autre chose horrible je ne suis pas persuadée que mon amour maternelle survivrait' car je ne crois pas comme un certain abruti facho que ce soit genetique !!)je m'embrouille, je devis mais je suis devant mon clavier et j'aurais tant de chose a dire, j'aimerais tant pouvoir changer les choses et petit a petit j'en change certaines...
a force d'avoir peur de me perdre mon mec est un peu moins impulsif, il se controle mieux dans ses colères pour celà il a fallu de nombreuses discussions ou moi je lui ai expliqué ce qui pour moi est une vie normale (je l'ai dejà dit j'ai une petite famille aimante, je n'ai manqué de rien, chez nous c les enfants en 1er et si il reste les adultes et j'aime cette facon de voir) il me repproche de n'etre pas suffisament aimante mais comment peut-on etre aimante lorsqu'en face de nous on n'a que reproche (tu ne fais rien, t'es pas drole, tu ne decides rien ...bref a la fin tu entends tu n'es rien et dans ces cas là heureusement que tu as un taf ou tu es reconnu en tant que professionnelle et des amis qui te trouves tout a fait vivante ) moi je ne pouvais plus, normalement lorsqu'on rentre chez soi c la joie de retrouver l'autre et non l'angoisse de se dire comment ca va se passer.......c
un jour ou il a eu des gestes violents physiquement je lui ais dit qu'il ne me detruitrait pas car je suis plus forte que lui et ca il faut y croire le plus longtemps possible pour ne pas se laisser submerger par cette colère qui ressurgit sur nous. a l'ecole d'educ (et oui en plus je suis educ mais je ne travaille pas avec ce type de public !!!je opense que sinon je deviendrais folle, que je confondrais la maison et le taf et je n'aurais plus d'espace pour moi)n il nous avait dit une phrase que je trouvais assez juste on est tjs plus mechant avec les gens qui nous aiment vraiment car on sait que quoi qu'on leur fasse ils resteront là .........ok mais il ne faut pas en abuser je pense que s'est vrai dans une relation parents-enfants dites normal quoi que ............j'adore ma petite fille de 4 ans mais si en tant qu'adulte elle devient une tueuse d'enfant ou autre chose horrible je ne suis pas persuadée que mon amour maternelle survivrait' car je ne crois pas comme un certain abruti facho que ce soit genetique !!)je m'embrouille, je devis mais je suis devant mon clavier et j'aurais tant de chose a dire, j'aimerais tant pouvoir changer les choses et petit a petit j'en change certaines...
a force d'avoir peur de me perdre mon mec est un peu moins impulsif, il se controle mieux dans ses colères pour celà il a fallu de nombreuses discussions ou moi je lui ai expliqué ce qui pour moi est une vie normale (je l'ai dejà dit j'ai une petite famille aimante, je n'ai manqué de rien, chez nous c les enfants en 1er et si il reste les adultes et j'aime cette facon de voir) il me repproche de n'etre pas suffisament aimante mais comment peut-on etre aimante lorsqu'en face de nous on n'a que reproche (tu ne fais rien, t'es pas drole, tu ne decides rien ...bref a la fin tu entends tu n'es rien et dans ces cas là heureusement que tu as un taf ou tu es reconnu en tant que professionnelle et des amis qui te trouves tout a fait vivante ) moi je ne pouvais plus, normalement lorsqu'on rentre chez soi c la joie de retrouver l'autre et non l'angoisse de se dire comment ca va se passer.......c
-
indy
Re: enfant abandonnique et sentiment d'abandon
depuis que j'ai laissé un message en fevrier je lis avec beaucoup d'attention chacun des votres je me dis qu'il faut que je tienne bon dans ma relation avec cet homme, qui malgré sa violence (dans ses paroles sinon je serais partie) sa haine..., est plein d'amour, il est tres attachant mais malgrè tout quasiment chaque jour je me dis qu'il faudra qu'un jour je parte pour me proteger moi je n'ai pas envie a force d'etre rabaissé dans ses paroles ne plus avoir confiance en moi me sentir nulle.
un jour ou il a eu des gestes violents physiquement je lui ais dit qu'il ne me detruitrait pas car je suis plus forte que lui et ca il faut y croire le plus longtemps possible pour ne pas se laisser submerger par cette colère qui ressurgit sur nous. a l'ecole d'educ (et oui en plus je suis educ mais je ne travaille pas avec ce type de public !!!je pense que sinon je deviendrais folle, que je confondrais la maison et le taf et je n'aurais plus d'espace pour moi)n il nous avait dit une phrase que je trouvais assez juste on est tjs plus mechant avec les gens qui nous aiment vraiment car on sait que quoi qu'on leur fasse ils resteront là .........ok mais il ne faut pas en abuser je pense que s'est vrai dans une relation parents-enfants dites normal quoi que ............j'adore ma petite fille de 4 ans mais si en tant qu'adulte elle devient une tueuse d'enfant ou autre chose horrible je ne suis pas persuadée que mon amour maternelle survivrait' car je ne crois pas comme un certain abruti facho que ce soit genetique !!)je m'embrouille, je devis mais je suis devant mon clavier et j'aurais tant de chose a dire, j'aimerais tant pouvoir changer les choses et petit a petit j'en change certaines...
a force d'avoir peur de me perdre mon mec est un peu moins impulsif, il se controle mieux dans ses colères pour celà il a fallu de nombreuses discussions ou moi je lui ai expliqué ce qui pour moi est une vie normale (je l'ai dejà dit j'ai une petite famille aimante, je n'ai manqué de rien, chez nous c les enfants en 1er et si il reste les adultes et j'aime cette facon de voir) il me repproche de n'etre pas suffisament aimante mais comment peut-on etre aimante lorsqu'en face de nous on n'a que reproche (tu ne fais rien, t'es pas drole, tu ne decides rien ...bref a la fin tu entends tu n'es rien et dans ces cas là heureusement que tu as un taf ou tu es reconnu en tant que professionnelle et des amis qui te trouves tout a fait vivante ) moi je ne pouvais plus, normalement lorsqu'on rentre chez soi c la joie de retrouver l'autre et non l'angoisse de se dire comment ca va se passer.......ca va mieux depuis qqs temps il y a des moments ou il arrive moins a se controler mais moi j'essaye de lui dire que ce n'est pas possible que si moi je recois cette mechanceté je ne peux lui donner de l'amour il avance il faut gommer ou plutot apprendre a vivre avec cette construction d'enfant abandonné par son père à la naissance, d'une mere handicapée psychiquement et elle même placé et d'une famille d'accueil qui ne lui donnait comme seul amour des coups lorsqu'il ne ramenait pas assez de plomb........bref lorsqu'on se construit sur un modele erroné il est difficile d'avoir des principes de vie mais celà excuse t il tout pour autant ? doit-on pour autant palier au manque de ces gens ???
notre petite file se construit plutot bien et tant que ca sera le cas je pourrais essayer de faire en sorte qu'il se reconstruise mais je l'ai deja dit et c'est mon leitmotiv il ne me detruira pas et encore moins notre fille, je pense qu'il a dejà fait qqs degats sur son fils, qui reste bloqué sur une dispute avec sa mère ( la dernière apres elle est partie) et de la violence de cette dispute, il est craintif et n'a pas confiance en lui ....
nous qui vivons avec des abandonniques donnons leur gout et confiance en la vie mais pas à n'importe quel prix, à quoi celà servirait-il qu'au lieu de'1 personne en mal d'amour, on soit 2 ? peut-etre certains me trouveront-ils dur mais moi aussi j'ai besoin de vivre et tout au long de ma vie j'aiderais et aimerais le plus de gens possible mais je ne suis pas une kamikase et donc je ne compte pas y laisser ma peau
un jour ou il a eu des gestes violents physiquement je lui ais dit qu'il ne me detruitrait pas car je suis plus forte que lui et ca il faut y croire le plus longtemps possible pour ne pas se laisser submerger par cette colère qui ressurgit sur nous. a l'ecole d'educ (et oui en plus je suis educ mais je ne travaille pas avec ce type de public !!!je pense que sinon je deviendrais folle, que je confondrais la maison et le taf et je n'aurais plus d'espace pour moi)n il nous avait dit une phrase que je trouvais assez juste on est tjs plus mechant avec les gens qui nous aiment vraiment car on sait que quoi qu'on leur fasse ils resteront là .........ok mais il ne faut pas en abuser je pense que s'est vrai dans une relation parents-enfants dites normal quoi que ............j'adore ma petite fille de 4 ans mais si en tant qu'adulte elle devient une tueuse d'enfant ou autre chose horrible je ne suis pas persuadée que mon amour maternelle survivrait' car je ne crois pas comme un certain abruti facho que ce soit genetique !!)je m'embrouille, je devis mais je suis devant mon clavier et j'aurais tant de chose a dire, j'aimerais tant pouvoir changer les choses et petit a petit j'en change certaines...
a force d'avoir peur de me perdre mon mec est un peu moins impulsif, il se controle mieux dans ses colères pour celà il a fallu de nombreuses discussions ou moi je lui ai expliqué ce qui pour moi est une vie normale (je l'ai dejà dit j'ai une petite famille aimante, je n'ai manqué de rien, chez nous c les enfants en 1er et si il reste les adultes et j'aime cette facon de voir) il me repproche de n'etre pas suffisament aimante mais comment peut-on etre aimante lorsqu'en face de nous on n'a que reproche (tu ne fais rien, t'es pas drole, tu ne decides rien ...bref a la fin tu entends tu n'es rien et dans ces cas là heureusement que tu as un taf ou tu es reconnu en tant que professionnelle et des amis qui te trouves tout a fait vivante ) moi je ne pouvais plus, normalement lorsqu'on rentre chez soi c la joie de retrouver l'autre et non l'angoisse de se dire comment ca va se passer.......ca va mieux depuis qqs temps il y a des moments ou il arrive moins a se controler mais moi j'essaye de lui dire que ce n'est pas possible que si moi je recois cette mechanceté je ne peux lui donner de l'amour il avance il faut gommer ou plutot apprendre a vivre avec cette construction d'enfant abandonné par son père à la naissance, d'une mere handicapée psychiquement et elle même placé et d'une famille d'accueil qui ne lui donnait comme seul amour des coups lorsqu'il ne ramenait pas assez de plomb........bref lorsqu'on se construit sur un modele erroné il est difficile d'avoir des principes de vie mais celà excuse t il tout pour autant ? doit-on pour autant palier au manque de ces gens ???
notre petite file se construit plutot bien et tant que ca sera le cas je pourrais essayer de faire en sorte qu'il se reconstruise mais je l'ai deja dit et c'est mon leitmotiv il ne me detruira pas et encore moins notre fille, je pense qu'il a dejà fait qqs degats sur son fils, qui reste bloqué sur une dispute avec sa mère ( la dernière apres elle est partie) et de la violence de cette dispute, il est craintif et n'a pas confiance en lui ....
nous qui vivons avec des abandonniques donnons leur gout et confiance en la vie mais pas à n'importe quel prix, à quoi celà servirait-il qu'au lieu de'1 personne en mal d'amour, on soit 2 ? peut-etre certains me trouveront-ils dur mais moi aussi j'ai besoin de vivre et tout au long de ma vie j'aiderais et aimerais le plus de gens possible mais je ne suis pas une kamikase et donc je ne compte pas y laisser ma peau
-
marco__57
Re: enfant abandonnique et sentiment d'abandon
bonjour tout le monde,:bye:
en reprenant le temps de lire chacun de vos messages, beaucoup d'entre vous expriment des difficultés, des blocages affectifs, des difficultés à communiquer, des appréhensions dans votre vie de couple...
pour d'autres raisons... mais visant le même but : se comprendre, s'aider soi-même à aller mieux, gagner de la confiance en soi...
Nous avons testé la sophrologie de caicedo! C'est le choix d'une démarche au parcours long et escarpé sur notre propre vie.. mais quand on se sent avancer, que des blocages se volatilisent à force d'efforts... on vie plus librement avec soi-même et tout s'en ressent autour de nous ! :th)
En fait, le sophrologue propose dans un premier temps des séances de relaxation, puis traite de thèmes tels que par exemple la confiance en soi, la prise de recul face aux évènement, se débarasser d'un sentiment génant...
J'ai accompagné ma copine dans cette démarche, et celà a été bénéfique autant pour chacun de nous que pour la construction de notre couple ! En effet, on était capable de mieux comprendre les réactions et paroles de l'autre, on savait avoir des réflexions plus nuancées selon les moments... bref la vie de couple gagne en communication, en confiance, en écoute, en soutien réciproque... :love:
Je vous encourage tous à entreprendre une telle démarche, mais je vous suggererai 2 choses :
- le première est d'entamer ce travail avec le soutien d'une personne en qui vous avez réellement confiance et qui pourra vous aider dans les moments de grande solitude (se retrouver face à soi-même provoque quelques sueurs froides parfois)
- la seconde, c'est de trouver un professionnel avec qui la communication et l'échange passe bien, que rien que le fait de vous dire vous avez rendez-vous chez la sophro vous remet du beaume au coeur.
:arc: Enfin, faites attention à certains professionnels qui appliquent des tarifs prohibitifs... chercher, comparer, essayer de trouver des échos, le bouche à oreille étant généralement le meilleur moyen de connaitre les réputations des uns et des autres...
En vous souhaitant une bonne journée à toutes et tous,
Marco
en reprenant le temps de lire chacun de vos messages, beaucoup d'entre vous expriment des difficultés, des blocages affectifs, des difficultés à communiquer, des appréhensions dans votre vie de couple...
pour d'autres raisons... mais visant le même but : se comprendre, s'aider soi-même à aller mieux, gagner de la confiance en soi...
Nous avons testé la sophrologie de caicedo! C'est le choix d'une démarche au parcours long et escarpé sur notre propre vie.. mais quand on se sent avancer, que des blocages se volatilisent à force d'efforts... on vie plus librement avec soi-même et tout s'en ressent autour de nous ! :th)
En fait, le sophrologue propose dans un premier temps des séances de relaxation, puis traite de thèmes tels que par exemple la confiance en soi, la prise de recul face aux évènement, se débarasser d'un sentiment génant...
J'ai accompagné ma copine dans cette démarche, et celà a été bénéfique autant pour chacun de nous que pour la construction de notre couple ! En effet, on était capable de mieux comprendre les réactions et paroles de l'autre, on savait avoir des réflexions plus nuancées selon les moments... bref la vie de couple gagne en communication, en confiance, en écoute, en soutien réciproque... :love:
Je vous encourage tous à entreprendre une telle démarche, mais je vous suggererai 2 choses :
- le première est d'entamer ce travail avec le soutien d'une personne en qui vous avez réellement confiance et qui pourra vous aider dans les moments de grande solitude (se retrouver face à soi-même provoque quelques sueurs froides parfois)
- la seconde, c'est de trouver un professionnel avec qui la communication et l'échange passe bien, que rien que le fait de vous dire vous avez rendez-vous chez la sophro vous remet du beaume au coeur.
:arc: Enfin, faites attention à certains professionnels qui appliquent des tarifs prohibitifs... chercher, comparer, essayer de trouver des échos, le bouche à oreille étant généralement le meilleur moyen de connaitre les réputations des uns et des autres...
En vous souhaitant une bonne journée à toutes et tous,
Marco
-
Muriel
Re: enfant abandonnique et sentiment d'abandon
Bonjour a tous, je trouve vos interventions très intéressantes et poignantes.
Je suis actuellement en dernière année de baccalauréat en psychologie à Bruxelles (Belgique). J'effectue mon mémoire de fin d'étude sur les personnes qui ont été abandonnés à la naissance et qui n'ont jamais connu leurs parents ou tout membre familial.
J'aimerais rencontrer quelques personnes dans ce cadre qui habiteraient à Bruxelles afin de voir comment elles s'en sont sorties.
Auriez-vous une idée de la manière dont je pourrais m'y prendre pour rencontrer ces personnes? Si vous en connaissez sur Bruxelles?
Toute idée m'aiderait beaucoup.
Merci d'avance.
Je suis actuellement en dernière année de baccalauréat en psychologie à Bruxelles (Belgique). J'effectue mon mémoire de fin d'étude sur les personnes qui ont été abandonnés à la naissance et qui n'ont jamais connu leurs parents ou tout membre familial.
J'aimerais rencontrer quelques personnes dans ce cadre qui habiteraient à Bruxelles afin de voir comment elles s'en sont sorties.
Auriez-vous une idée de la manière dont je pourrais m'y prendre pour rencontrer ces personnes? Si vous en connaissez sur Bruxelles?
Toute idée m'aiderait beaucoup.
Merci d'avance.
-
alain ROUX
Re: enfant abandonnique et sentiment d'abandon
Bonjour à tous,
je suis en première année Educateur Technique Spécialisé et je dois rendre un devoir concernant un adolescent en IME qui présente les traits de cette névrose, je suis en recherche d'ouvrages simples pour en trouver une définition et des référence bibliographiques.
merci de me transmettre des infos.
amitiés à tous les gens concrenés.
je suis en première année Educateur Technique Spécialisé et je dois rendre un devoir concernant un adolescent en IME qui présente les traits de cette névrose, je suis en recherche d'ouvrages simples pour en trouver une définition et des référence bibliographiques.
merci de me transmettre des infos.
amitiés à tous les gens concrenés.
-
patrick
Re: enfant abandonnique et sentiment d'abandon
Ca me fait du bien de lire ces messages ....meme si je suis seul dans ma vie ... ici je ne me sent plus seul. J'ai franchis un nouveau cap ...abandon du travail .... ca fait 25 jours que je ne suis plus allé travailler et je suis partis .... j'ai eu lettres recommandées .. je suis pas allé les cherchées ...je bloque sur qqchose ici , j'arrive plus a avancer .... mon esprit est OUT , je ne sais plus quoi faire !