Pour être notifié de nouveaux messages, entrer dans un forum puis cliquer sur "S'abonner au forum" (+ infos)
l'aide contrainte en AEMO
Re: l'aide contrainte en AEMO
Bonjour Mohamed , je suis actuellement stagiaire éducatrice en troisième année. Je fais mon stage en AEMO et je serais intéressée d'avoir des informations sur l'aide contrainte. J'ai vu que tu as fait ton mémoire sur ce sujet.
Merci d'avance
Justine
Merci d'avance
Justine
Re: l'aide contrainte en AEMO
Salut justine voici mon mail si jamais tu es toujours à la recherche d'information sur l'aide contrainte:
mohatoulouse31@gmail.com
mohatoulouse31@gmail.com
Re: l'aide contrainte en AEMO
Bonjour!! Tout pareil... je compte développer l'aide contrainte dans mon mémoire.
Je fais un stage en AEMO et mes collègues parle souvent d'affiliation, c'est le lien qui se tisse et qui permet de faire évoluer cette aide contrainte. Difficile de trouver des éléments sur cette notion car "affiliation" est renvoyé au champ de l'insertion (exclusion).
En lecture, Guy Hardy "s'il te plait ne m'aide pas".
Je vais aussi aller voir du coté de la domination symbolique (Bourdieu/Passeron).
Et juste une petite réflexion comme ca en passant, l'éduc peut été mandaté par le juge d'où l'aide contrainte car pas de demande explicite de la part de la famille (le mal) . Mais dans toutes les autres relations d'aide, l'éduc est "mandaté par la société" car il est la pour accompagner la personne à réajuster son positionnement dans la vie collective. C'est comme si l'aide contrainte était ordonné par la société car elle impose a tout un chacun une ligne de conduite à respecter pour une bonne sociabilisation (le bien). La contrainte serait alors partout mais pas nommée. ce serait la symbolique qu'il y aurait autour de la mesure qui ferait illusion. Culturellement, nous sommes dans une société ou les notions de bien et de mal s'opposent par principe. Comme si l'on opposait la relation d'aide (bien) à l'aide contrainte (mal). Ca revient à dire que toute aide est contrainte mais que la seule nuance serait dans sa symbolique. Bon reste tout de même à penser au rôle de la symbolique dans l'accompagnement, car nous travaillons à partir des représentation des usagers.
Voila, un petit gravillon a l'édifice... on peut échanger si il y en a que ca inspire!! merci. Claire
Je fais un stage en AEMO et mes collègues parle souvent d'affiliation, c'est le lien qui se tisse et qui permet de faire évoluer cette aide contrainte. Difficile de trouver des éléments sur cette notion car "affiliation" est renvoyé au champ de l'insertion (exclusion).
En lecture, Guy Hardy "s'il te plait ne m'aide pas".
Je vais aussi aller voir du coté de la domination symbolique (Bourdieu/Passeron).
Et juste une petite réflexion comme ca en passant, l'éduc peut été mandaté par le juge d'où l'aide contrainte car pas de demande explicite de la part de la famille (le mal) . Mais dans toutes les autres relations d'aide, l'éduc est "mandaté par la société" car il est la pour accompagner la personne à réajuster son positionnement dans la vie collective. C'est comme si l'aide contrainte était ordonné par la société car elle impose a tout un chacun une ligne de conduite à respecter pour une bonne sociabilisation (le bien). La contrainte serait alors partout mais pas nommée. ce serait la symbolique qu'il y aurait autour de la mesure qui ferait illusion. Culturellement, nous sommes dans une société ou les notions de bien et de mal s'opposent par principe. Comme si l'on opposait la relation d'aide (bien) à l'aide contrainte (mal). Ca revient à dire que toute aide est contrainte mais que la seule nuance serait dans sa symbolique. Bon reste tout de même à penser au rôle de la symbolique dans l'accompagnement, car nous travaillons à partir des représentation des usagers.
Voila, un petit gravillon a l'édifice... on peut échanger si il y en a que ca inspire!! merci. Claire
Re: l'aide contrainte en AEMO
Bonjour,
Msg pour Claire : Je suis également en plein dans mon mémoire, j'ai fait mon stage en AEMO. Je travaille sur l'aide contrainte, mais je suis complétement perdue, car ce sujet est trop vaste pour moi, j'aimerais recentrer sur "l'émergence de la demande dans un cadre contraint comme l'AEMO judiciaire". Mais je me perds en ne parlant que du cadre contraint, de l'aide contrainte.
Je trouve ce que tu dis très intéressant, j'aimerais beaucoup échanger avec toi et te parler sur ce que ce j'ai avancé dans mon mémoire.
Je dois le rendre dans 3 semaines et je n'ai même pas encore fini mon diagnostic, je suis en panique ...
Voilà mon e-mail si tu veux discuter : sewsurnisha@hotmail.fr
Bonne journée
Msg pour Claire : Je suis également en plein dans mon mémoire, j'ai fait mon stage en AEMO. Je travaille sur l'aide contrainte, mais je suis complétement perdue, car ce sujet est trop vaste pour moi, j'aimerais recentrer sur "l'émergence de la demande dans un cadre contraint comme l'AEMO judiciaire". Mais je me perds en ne parlant que du cadre contraint, de l'aide contrainte.
Je trouve ce que tu dis très intéressant, j'aimerais beaucoup échanger avec toi et te parler sur ce que ce j'ai avancé dans mon mémoire.
Je dois le rendre dans 3 semaines et je n'ai même pas encore fini mon diagnostic, je suis en panique ...
Voilà mon e-mail si tu veux discuter : sewsurnisha@hotmail.fr
Bonne journée
Re: l'aide contrainte en AEMO
bonjour caroline
je reviens vers toi car je n'ai pas reçu de mail de toi. Je te repasse mon adresse c'est dialdienaba@msn.com
Si tu as toujours des question à poser n'hésite pas. J'ai fini mn mémoire et je l'ai rendu. Cela aura été une bonne expérience.
Salut
je reviens vers toi car je n'ai pas reçu de mail de toi. Je te repasse mon adresse c'est dialdienaba@msn.com
Si tu as toujours des question à poser n'hésite pas. J'ai fini mn mémoire et je l'ai rendu. Cela aura été une bonne expérience.
Salut
Re: l'aide contrainte en AEMO
Bonjour,
je ne souhaite pas entrer dans les details pour l'instant, mais je suis choqué par le contenu des rapports (+ que partisan) que je viens de consulter au TPE
l'histoire breve, la maman demande l'abandon des enfants et je reprend la garde en urgence pendant la mesure d'AEMO 2° année
je souhaite savoir dans quelle mesure je peus demander la responsabilite de l'educ et de son chef de service tellement les éléments qu'ils ont ecrits ont été deformés et certains pour lequel aucune suite n'a jamais été donnée...
je cite: "nous estimons que Mr n'est pas en mesure d'assurer la garde...que nous n'avons pas a lui transmettre les informations demandees" quand, entre autre, 1 signalement de source anonyme passe par le CG - ADRET... et annonce des TS de la maman avec les enfants ainsi que des negligences graves
PS: j'ai conscience etre 1 peu hors sujet et pourrais aider au memoire si vous le souhaitez - mais un peu plus tard apres etre repasse pour le renouvellement de l'AEMO cet été puisque j'ai obtenu la garde officielle et que je n'ai l'educ n'a jamais souhaite me repondre depuis le changement de service et de secteur ...
je ne souhaite pas entrer dans les details pour l'instant, mais je suis choqué par le contenu des rapports (+ que partisan) que je viens de consulter au TPE
l'histoire breve, la maman demande l'abandon des enfants et je reprend la garde en urgence pendant la mesure d'AEMO 2° année
je souhaite savoir dans quelle mesure je peus demander la responsabilite de l'educ et de son chef de service tellement les éléments qu'ils ont ecrits ont été deformés et certains pour lequel aucune suite n'a jamais été donnée...
je cite: "nous estimons que Mr n'est pas en mesure d'assurer la garde...que nous n'avons pas a lui transmettre les informations demandees" quand, entre autre, 1 signalement de source anonyme passe par le CG - ADRET... et annonce des TS de la maman avec les enfants ainsi que des negligences graves
PS: j'ai conscience etre 1 peu hors sujet et pourrais aider au memoire si vous le souhaitez - mais un peu plus tard apres etre repasse pour le renouvellement de l'AEMO cet été puisque j'ai obtenu la garde officielle et que je n'ai l'educ n'a jamais souhaite me repondre depuis le changement de service et de secteur ...
Re: l'aide contrainte en AEMO
Bonjour, je suis actuellement en AEMO judiciaire et je serai intéressée de lire les mémoires pour ceux qui veulent le partager sur l'aide contrainte. Je fais mon stage à responsabilité à la PJJ et j'hésite entre 2 sujets : la place du père dans les familles, et l'aide contrainte.
Merci d'avance pour ceux qui partagent :
Mon mail zia.mora@hotmail.fr
A bientôt
Merci d'avance pour ceux qui partagent :
Mon mail zia.mora@hotmail.fr
A bientôt
Re: l'aide contrainte en AEMO
Bonjour,
Je rencontre les mêmes difficultés que vous avec les éducateurs AEMO et DPJJ. Ne communiquent pas comment se comporte mon fils de 17 ans en famille d'accueil. J'ai eu des difficultés à me faire entendre par mon fils lors de sa semaine de vacances chez moi. Les éducateurs ont l'air de prendre cela à la légère. Je ne comprends pas comment nous pouvons avancer ensemble pour que mon fils trouve sa voie au niveau scolarité, depuis mi-octobre il est déscolarisé, en attente soi-disant du conseil de discipline (pour avoir répondu à un professeur), je l'ai su tardivement pas celui-ci quand il veut bien me parler. J'ai voulu signaler au Proviseur de son lycée la semaine dernière cette situation qui me paraît incohérente, pour ma part, je me sens hors la loi, mais qui convient tout à fait à mon fils puisqu'il à le dessus sur tout le monde, il a une cour pour lui tout seul. Cela lui permet de se venger un peu plus sur moi car j'ai des principes même si celui-ci a décidé depuis longtemps de les ignorer. Je ne sais toujours pas quelles fréquentations a mon fils ça n'a pas l'air de les tracasser. Il n'y a aucune transparence entre ses services et moi-même. Je ne vois pas comment mon fils peut me respecter car ces personnes mandatées par le Juge pour enfants disent qu'ils n'ont pas à intervenir dans notre vie privée et donc, nous arrivons à des rapports bizarre qui n'ont rien à faire lors de ses audiences devant le Juge. J'ai l'impression que le comportement de nos jeunes rebelles détint sur ces personnes qui sont censées les ramener dans le droit chemin, ils ont, quand on peut les joindre au téléphone(c'est très rare) une attitude hautaine car ils voudraient avoir des parents en face d'eux zen, pas de critique, que nous soyons "un mouton" comme ça se passe au sein de leur équipe (éducateurs, assistante sociale, juge) c'est-à-dire, on vous appelle pour venir au poste de police pour signer la comparution de votre enfant (mais à quoi sert l'éducateur DPJJ ? D'ailleurs, je n'ai aucun contact avec celui-ci). En tout cas, pour ma part, je ne vois aucune amélioration, alors que j'ai demandé de l'aide avec par le biais l'éducation nationale, il a fallu faire du forcing et je m'en désole, en attendant ces gens sont payés sur le dos du malheur des autres. Malheureusement, je ne peux pas lutter contre le système judiciaire. Il n'y a pas plus de justice en France qu'ailleurs. C'est chacun pour soi. Je comprends que des enfants soient plus difficile que d'autres. C'est normal, tout n'est pas toujours rose avec les enfants, mais il serait souhaitable de revoir certains textes concernant la prise en charge de ces enfants rebelles dont on attend qu'ils fassent une grosse bêtise alors que celle-ci pourrait être éviter si une vraie formation et transparence avec tous les partenaires concernés étaient possibles et notifier surtout. La phrase des éducateurs "Kévin à bon fond, il est poli" encore heureux mais cela ne doit pas lui permettre prendre le logement de sa mère pour un hôtel restaurant. Mais quand un procureur lors d'une convocation pour un délit dit devant lui et moi-même "les parents sont là pour payer". Je suis indignée par le comportement des personnes qui doivent avoir de vraies valeurs pour être à des postes aussi importants (symboliques) dans notre société. Kévin à une soeur de 12 ans et demi, elle travaille bien à l'école et pour l'instant elle reste correcte avec moi. J'espère ne pas vous avoir ennuyée avec un bout de mon histoire personnelle, j'ai du mal à construires mes phrases et les écouter. Mais je me suis reconnue dans vos propos. C'est très difficile à vivre surtout quand vous vous dites je demande de l'aide et pouff vous êtes encore plus seule qu'avant. La seule chose de positive et des souffler un peu pour ma fille et moi puisque Kévin est en famille d'accueil mais là encore je me demande si il ne serait pas mieux juste avec un seul éducateur en foyer. Mais chut... je n'ai pas le droit de proposer quoi que ce soit. On sait m'appeler quand il disparaît, quand il faut la présence parentale (moi puisque la résidence est chez moi, le papa est un peu loin et toutes les excuses possibles, il ne travaille pas, il a le temps de se rendre aux convocations pour son fils) pour signer juste les déclarations de celui-ci. Le papa a l'autorité parentale tout comme moi. Le système judiciaire n'est pas fait pour faire ressortir la vérité mais le mensonge. Je ne sais plus quoi faire. Kévin va avoir 18 ans en octobre et il a aucune idée de se qu'il veut faire puique ce qui l'intéresse avoir de l'argent sans rien faire... Mme PILIPOVIC.
Je rencontre les mêmes difficultés que vous avec les éducateurs AEMO et DPJJ. Ne communiquent pas comment se comporte mon fils de 17 ans en famille d'accueil. J'ai eu des difficultés à me faire entendre par mon fils lors de sa semaine de vacances chez moi. Les éducateurs ont l'air de prendre cela à la légère. Je ne comprends pas comment nous pouvons avancer ensemble pour que mon fils trouve sa voie au niveau scolarité, depuis mi-octobre il est déscolarisé, en attente soi-disant du conseil de discipline (pour avoir répondu à un professeur), je l'ai su tardivement pas celui-ci quand il veut bien me parler. J'ai voulu signaler au Proviseur de son lycée la semaine dernière cette situation qui me paraît incohérente, pour ma part, je me sens hors la loi, mais qui convient tout à fait à mon fils puisqu'il à le dessus sur tout le monde, il a une cour pour lui tout seul. Cela lui permet de se venger un peu plus sur moi car j'ai des principes même si celui-ci a décidé depuis longtemps de les ignorer. Je ne sais toujours pas quelles fréquentations a mon fils ça n'a pas l'air de les tracasser. Il n'y a aucune transparence entre ses services et moi-même. Je ne vois pas comment mon fils peut me respecter car ces personnes mandatées par le Juge pour enfants disent qu'ils n'ont pas à intervenir dans notre vie privée et donc, nous arrivons à des rapports bizarre qui n'ont rien à faire lors de ses audiences devant le Juge. J'ai l'impression que le comportement de nos jeunes rebelles détint sur ces personnes qui sont censées les ramener dans le droit chemin, ils ont, quand on peut les joindre au téléphone(c'est très rare) une attitude hautaine car ils voudraient avoir des parents en face d'eux zen, pas de critique, que nous soyons "un mouton" comme ça se passe au sein de leur équipe (éducateurs, assistante sociale, juge) c'est-à-dire, on vous appelle pour venir au poste de police pour signer la comparution de votre enfant (mais à quoi sert l'éducateur DPJJ ? D'ailleurs, je n'ai aucun contact avec celui-ci). En tout cas, pour ma part, je ne vois aucune amélioration, alors que j'ai demandé de l'aide avec par le biais l'éducation nationale, il a fallu faire du forcing et je m'en désole, en attendant ces gens sont payés sur le dos du malheur des autres. Malheureusement, je ne peux pas lutter contre le système judiciaire. Il n'y a pas plus de justice en France qu'ailleurs. C'est chacun pour soi. Je comprends que des enfants soient plus difficile que d'autres. C'est normal, tout n'est pas toujours rose avec les enfants, mais il serait souhaitable de revoir certains textes concernant la prise en charge de ces enfants rebelles dont on attend qu'ils fassent une grosse bêtise alors que celle-ci pourrait être éviter si une vraie formation et transparence avec tous les partenaires concernés étaient possibles et notifier surtout. La phrase des éducateurs "Kévin à bon fond, il est poli" encore heureux mais cela ne doit pas lui permettre prendre le logement de sa mère pour un hôtel restaurant. Mais quand un procureur lors d'une convocation pour un délit dit devant lui et moi-même "les parents sont là pour payer". Je suis indignée par le comportement des personnes qui doivent avoir de vraies valeurs pour être à des postes aussi importants (symboliques) dans notre société. Kévin à une soeur de 12 ans et demi, elle travaille bien à l'école et pour l'instant elle reste correcte avec moi. J'espère ne pas vous avoir ennuyée avec un bout de mon histoire personnelle, j'ai du mal à construires mes phrases et les écouter. Mais je me suis reconnue dans vos propos. C'est très difficile à vivre surtout quand vous vous dites je demande de l'aide et pouff vous êtes encore plus seule qu'avant. La seule chose de positive et des souffler un peu pour ma fille et moi puisque Kévin est en famille d'accueil mais là encore je me demande si il ne serait pas mieux juste avec un seul éducateur en foyer. Mais chut... je n'ai pas le droit de proposer quoi que ce soit. On sait m'appeler quand il disparaît, quand il faut la présence parentale (moi puisque la résidence est chez moi, le papa est un peu loin et toutes les excuses possibles, il ne travaille pas, il a le temps de se rendre aux convocations pour son fils) pour signer juste les déclarations de celui-ci. Le papa a l'autorité parentale tout comme moi. Le système judiciaire n'est pas fait pour faire ressortir la vérité mais le mensonge. Je ne sais plus quoi faire. Kévin va avoir 18 ans en octobre et il a aucune idée de se qu'il veut faire puique ce qui l'intéresse avoir de l'argent sans rien faire... Mme PILIPOVIC.
Re: contacter lea mora
Slt lea.j'ai eu ta note il y a deux jours.j'aimerais savoir si tu étais effectivement de passage.