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une maman dans la tourmente
une maman dans la tourmente
Cette histoire est la mienne et les conséquences des fautes professionnelles de certains travailleurs sociaux pourraient être tragiques pour mon enfant âgé de 6 ans.
Le début de l'histoire est très basique, c'est une relation très mauvaise entre mon ex compagnon et moi même. Mais la fin c'est digne “du parrain”.
Dans la vie j'étais assistante maternelle agréée. J'ai donc travaillé quelques années pour le compte des services sociaux. Quand mon ex compagnon est parti (pour 3 maîtresses) il a essayé d'obtenir la garde de notre fils, ce qui lui a été refusé le 10/07/07, justement grâce à mon métier. Ce même jour il a donc appelé ma puéricultrice de référence à la PMI (Protection maternelle et infantile) pour une dénonciation calomnieuse. Le motif :le désordre de ma maison.
J'ai donc été enquêtée le 16/07/07. J'étais pourtant en vacances donc hors de tout cadre professionnel. J'avais profité de l'absence des enfants et de mes 2 mois de congés pour entamer de lourds travaux dans ma maison (la terrasse de mon jardin ainsi qu'un dressing dans ma chambre). Effectivement quand la puéricultrice est passée avec une collègue assistante sociale, ma maison était en désordre puisque j'étais en travaux. Ca leur a suffit pour conclure que j'étais sans hygiène puisque je n'avais pas fait le ménage dans les endroits en travaux. Elles ont même inventé un interrupteur recouvert de matière fécale dans mes toilettes alors que je n'ai pas d'interrupteur dans cette pièce mais un allumage automatique à l'ouverture de la porte. Elle ont fait un rapport contre moi, omettant de préciser que j'étais en vacances et ont donc conclus que j'étais dangereuse pour les enfants (qui étaient absents).
Je précise qu'avant ça, cette puéricultrice et moi avions des relations assez mauvaises depuis que la Mission locale de ma ville m'avait demandée de créer avec eux un crèche sociale.
Elle a donc suspendu mon agrément sur le champs. Sans respecter la procédure. Pourtant elle a attesté auprès de mes employeurs que j'avais été entendu par la direction de la PMI et les syndicats (mes employeurs ont témoignés par écrits) ce qui est totalement faux. Elle a aussi menacé mes employeurs. Certains n'ont pas cédés, mais 1 à fait un faux témoignage (je nourrissais mal son fils, alors qu'il ne mangeait jamais chez moi). Elle a fait faire des faux témoignages à 2 collègues assistantes maternelles, qui ont attestés que ce n'était pas moi qui emmenais les enfants à l'école. Hors, tous les instituteurs que la PMI a refusé d'entendre sont prêts à témoigner du contraire. De plus, elles ont affirmé que c'était mon compagnon actuel qui emmenait les enfant à ma place à l'école, hors lui il est au travail à la même heure et ce, à 40 km de là et devant au moins 30 témoins (il est prof).
Quand j'ai voulu assurer ma défense et mettre en évidence ces mensonges, ça a posé un gros soucis, surtout qu'en plus j'ai ressorti des courriers dans lequel je sollicitais l'aide de cette puéricultrice pour des suspicions de maltraitance où n'est jamais intervenue. Elle a été couverte par sa hiérarchie et moi on m'a retiré mon agrément pour avoir osé dire du mal de cette femme, mais les 1ères reproches n'existaient plus (mon hygiène n'était plus mise en cause). Cependant, dans leurs courriers on note au moins 3 violations des droits de l'homme (Article 11,12 et 19)
Parallèlement, mon ex compagnon, voyant que je n'avais plus de travail, son plan fonctionnait, il a lancé une procédure de garde de notre fils et la juge a demandé une étude psychologique de nous tous, mon fils y compris, aux services sociaux judiciaires l'ADDPJ.
L'assistante sociale de l'ADDPJ ayant eu vent que j'avais un dossier compromettant contre la PMI, m'a menacé de me retirer mon fils si je portais plainte auprès du tribunal administratif contre la PMI. Le psychologue de l'ADDPJ a quant à lui menacé mon compagnon actuel pour la même chose (qui a témoigné par écrit).
Pourtant à la même époque, mon fils a été victime chez son père, par le beau frère de 23 ans, d'exhibitions. Devant ses dessins à l'école et ses propos, l'école a saisi l'inspection académique. Quand l'assistante sociale l'a su, elle a appelé la directrice de l'école et a empêché le psychologue scolaire de rencontrer mon fils, ainsi que l'assistante sociale de l'école (qui n'est autre que l'assistante sociale de mon secteur, donc celle présente le jour de ma suspension d'agrément). L'inspection académique a cependant saisi le procureur, et une enquête a été ouverte. Mon fils, alors âgé de 5 ans a été entendu et filmé. Devant ses propos, le policier m'a conseillé de porter plainte, voyant mon fils choqué.
Quand l'assistante sociale de l'ADDPJ l'a su, elle a appelé la police. L'enquête a été classée sans suite. Pourtant mon ex compagnon avait avoué (par gaffe) à l'assistante sociale de l'ADDPJ que mon fils n'a pas été le seul à parler. 3 autres enfants s'étaient plaint du même homme dont une petite fille de 5 ans se plaignait d'attouchement.
Par la suite cette assistante sociale a monté un rapport contre moi destiné au juge pour me retirer mon fils, en marquant dedans qu'elle avait contacté la puéricultrice de la PMI, qui lui a divulgué des informations à mon sujet (fausses évidemment, et quand bien même elles auraient été vraies, il y a non respect du secret professionnel). En voulant couvrir la puéricultrice, l'assistante sociale à fait elle aussi une bourde en l'écrivant dans ce rapport. A aucun moment il n'est dit dans ce rapport que mon fils est en danger chez son père, que sa belle mère est suivi psychiatriquement et reconnue travailleuse handicapée pour accès de violence, que le beau frère est attardé mental avec troubles associés violents, et que son père forçait mon fils à dormir dans le même lit que cet homme.
Par contre, il est bien noté que je suis une menteuse, parano et quérulente et que mon fils est en danger avec moi, parce que je lui mets soit disant des choses malsaines en tête. L'assistante sociale de l'ADDPJ a même transformé les propos de la maîtresse de mon fils, qui a été outrée quand je lui ai lu. Malgré toutes les preuves que j'apporte qui sont indéniables, les services sociaux continuent à essayer de me faire taire en voulant me retirer mon fils.
Dernièrement la maman d'un petit dont j'avais défendu le cas est montée au créneau. En effet son fils, alors âgé de 3 ans (il en a 12 aujourd'hui) a été maltraité par sa grand mère paternelle elle même assistante maternelle qui lui a fait mangé ses matières fécales en le piquant à coups de fourchette. Pour qu'elle se taise son mari la frappait, elle a d'ailleurs un genou abimé (radio à l'appui). Quand elle a été au courant de mon histoire elle a aussitôt pris ma défense en traitant les services sociaux d'incompétents. Eux même au courant de l'histoire de son fils, ils n'ont rien fait pour protéger l'enfant (qui depuis 8 ans est traumatisé) mais en plus n'ont jamais sanctionné la grand mère assistante maternelle qui maltraite les enfants au su et au vu de tout le monde et des services sociaux y compris. Fin août cette maman, a quand même reçu un courrier des services sociaux, 8 ans après les faits, lui disant qu'une enquête sociale allait être faite.
Donc après avoir mis à jour tous ces dysfonctionnements et ces fautes professionnelles, les services sociaux ont tout fait pour qu'on me retire la garde de mon fils. J'ajoute que j'ai énormément de preuves et des témoins. Tout cela ne sort pas de mon imagination. Pour le moment j'ai encore mon fils avec moi mais pour combien de temps encore ? Lui aussi a parlé mais les services sociaux n'ont pas voulu l'écouter.
Me traitant donc de quérulente, je ne peux en aucun cas déposé plainte contre quiconque. Qui plus est, je suis une femme et la police se contre fout royalement que je me fasse harceler par mon ex (qui m'a menacé de mort devant témoins et par écrit), et la puissante machine administrative ne cherche qu'a me faire taire coûte que coûte. Les services sociaux qui utilisent mon fils de 6 ans comme bouclier pour cacher leurs fautes professionnelles.
Je précise que la belle famille de mon ex compagnon est une famille de cas sociaux suivis pour troubles du comportement, mon ex compagnon a déjà été condamné plus jeune pour vandalisme, c'est un rebelle de la société, hyper procédurier.
De mon côté, en toute objectivité mon compagnon actuel n'est pas un cas social, il est enseignant et chercheur. Quant à moi je suis quelqu'un de tranquille gérante de SCI dont la bataille depuis 10 ans est la lutte contre la maltraitance. J'ai un peu trop parlé de choses qui dérangent et on me le fait payer.
Voilà mon histoire qui est digne de la mafia. J'ai honte de voir que des travailleurs sociaux de la protection de l'enfance puissent être complices de ce genre de pratique.
Je fais aussi partie d'une famille de travailleurs sociaux d'un autre département (Conseillers ESF, éduc etc...) qui sont tout simplement outré par de telles pratiques de certains de leurs collègues.
C'est tout simplement scandaleux.
Le début de l'histoire est très basique, c'est une relation très mauvaise entre mon ex compagnon et moi même. Mais la fin c'est digne “du parrain”.
Dans la vie j'étais assistante maternelle agréée. J'ai donc travaillé quelques années pour le compte des services sociaux. Quand mon ex compagnon est parti (pour 3 maîtresses) il a essayé d'obtenir la garde de notre fils, ce qui lui a été refusé le 10/07/07, justement grâce à mon métier. Ce même jour il a donc appelé ma puéricultrice de référence à la PMI (Protection maternelle et infantile) pour une dénonciation calomnieuse. Le motif :le désordre de ma maison.
J'ai donc été enquêtée le 16/07/07. J'étais pourtant en vacances donc hors de tout cadre professionnel. J'avais profité de l'absence des enfants et de mes 2 mois de congés pour entamer de lourds travaux dans ma maison (la terrasse de mon jardin ainsi qu'un dressing dans ma chambre). Effectivement quand la puéricultrice est passée avec une collègue assistante sociale, ma maison était en désordre puisque j'étais en travaux. Ca leur a suffit pour conclure que j'étais sans hygiène puisque je n'avais pas fait le ménage dans les endroits en travaux. Elles ont même inventé un interrupteur recouvert de matière fécale dans mes toilettes alors que je n'ai pas d'interrupteur dans cette pièce mais un allumage automatique à l'ouverture de la porte. Elle ont fait un rapport contre moi, omettant de préciser que j'étais en vacances et ont donc conclus que j'étais dangereuse pour les enfants (qui étaient absents).
Je précise qu'avant ça, cette puéricultrice et moi avions des relations assez mauvaises depuis que la Mission locale de ma ville m'avait demandée de créer avec eux un crèche sociale.
Elle a donc suspendu mon agrément sur le champs. Sans respecter la procédure. Pourtant elle a attesté auprès de mes employeurs que j'avais été entendu par la direction de la PMI et les syndicats (mes employeurs ont témoignés par écrits) ce qui est totalement faux. Elle a aussi menacé mes employeurs. Certains n'ont pas cédés, mais 1 à fait un faux témoignage (je nourrissais mal son fils, alors qu'il ne mangeait jamais chez moi). Elle a fait faire des faux témoignages à 2 collègues assistantes maternelles, qui ont attestés que ce n'était pas moi qui emmenais les enfants à l'école. Hors, tous les instituteurs que la PMI a refusé d'entendre sont prêts à témoigner du contraire. De plus, elles ont affirmé que c'était mon compagnon actuel qui emmenait les enfant à ma place à l'école, hors lui il est au travail à la même heure et ce, à 40 km de là et devant au moins 30 témoins (il est prof).
Quand j'ai voulu assurer ma défense et mettre en évidence ces mensonges, ça a posé un gros soucis, surtout qu'en plus j'ai ressorti des courriers dans lequel je sollicitais l'aide de cette puéricultrice pour des suspicions de maltraitance où n'est jamais intervenue. Elle a été couverte par sa hiérarchie et moi on m'a retiré mon agrément pour avoir osé dire du mal de cette femme, mais les 1ères reproches n'existaient plus (mon hygiène n'était plus mise en cause). Cependant, dans leurs courriers on note au moins 3 violations des droits de l'homme (Article 11,12 et 19)
Parallèlement, mon ex compagnon, voyant que je n'avais plus de travail, son plan fonctionnait, il a lancé une procédure de garde de notre fils et la juge a demandé une étude psychologique de nous tous, mon fils y compris, aux services sociaux judiciaires l'ADDPJ.
L'assistante sociale de l'ADDPJ ayant eu vent que j'avais un dossier compromettant contre la PMI, m'a menacé de me retirer mon fils si je portais plainte auprès du tribunal administratif contre la PMI. Le psychologue de l'ADDPJ a quant à lui menacé mon compagnon actuel pour la même chose (qui a témoigné par écrit).
Pourtant à la même époque, mon fils a été victime chez son père, par le beau frère de 23 ans, d'exhibitions. Devant ses dessins à l'école et ses propos, l'école a saisi l'inspection académique. Quand l'assistante sociale l'a su, elle a appelé la directrice de l'école et a empêché le psychologue scolaire de rencontrer mon fils, ainsi que l'assistante sociale de l'école (qui n'est autre que l'assistante sociale de mon secteur, donc celle présente le jour de ma suspension d'agrément). L'inspection académique a cependant saisi le procureur, et une enquête a été ouverte. Mon fils, alors âgé de 5 ans a été entendu et filmé. Devant ses propos, le policier m'a conseillé de porter plainte, voyant mon fils choqué.
Quand l'assistante sociale de l'ADDPJ l'a su, elle a appelé la police. L'enquête a été classée sans suite. Pourtant mon ex compagnon avait avoué (par gaffe) à l'assistante sociale de l'ADDPJ que mon fils n'a pas été le seul à parler. 3 autres enfants s'étaient plaint du même homme dont une petite fille de 5 ans se plaignait d'attouchement.
Par la suite cette assistante sociale a monté un rapport contre moi destiné au juge pour me retirer mon fils, en marquant dedans qu'elle avait contacté la puéricultrice de la PMI, qui lui a divulgué des informations à mon sujet (fausses évidemment, et quand bien même elles auraient été vraies, il y a non respect du secret professionnel). En voulant couvrir la puéricultrice, l'assistante sociale à fait elle aussi une bourde en l'écrivant dans ce rapport. A aucun moment il n'est dit dans ce rapport que mon fils est en danger chez son père, que sa belle mère est suivi psychiatriquement et reconnue travailleuse handicapée pour accès de violence, que le beau frère est attardé mental avec troubles associés violents, et que son père forçait mon fils à dormir dans le même lit que cet homme.
Par contre, il est bien noté que je suis une menteuse, parano et quérulente et que mon fils est en danger avec moi, parce que je lui mets soit disant des choses malsaines en tête. L'assistante sociale de l'ADDPJ a même transformé les propos de la maîtresse de mon fils, qui a été outrée quand je lui ai lu. Malgré toutes les preuves que j'apporte qui sont indéniables, les services sociaux continuent à essayer de me faire taire en voulant me retirer mon fils.
Dernièrement la maman d'un petit dont j'avais défendu le cas est montée au créneau. En effet son fils, alors âgé de 3 ans (il en a 12 aujourd'hui) a été maltraité par sa grand mère paternelle elle même assistante maternelle qui lui a fait mangé ses matières fécales en le piquant à coups de fourchette. Pour qu'elle se taise son mari la frappait, elle a d'ailleurs un genou abimé (radio à l'appui). Quand elle a été au courant de mon histoire elle a aussitôt pris ma défense en traitant les services sociaux d'incompétents. Eux même au courant de l'histoire de son fils, ils n'ont rien fait pour protéger l'enfant (qui depuis 8 ans est traumatisé) mais en plus n'ont jamais sanctionné la grand mère assistante maternelle qui maltraite les enfants au su et au vu de tout le monde et des services sociaux y compris. Fin août cette maman, a quand même reçu un courrier des services sociaux, 8 ans après les faits, lui disant qu'une enquête sociale allait être faite.
Donc après avoir mis à jour tous ces dysfonctionnements et ces fautes professionnelles, les services sociaux ont tout fait pour qu'on me retire la garde de mon fils. J'ajoute que j'ai énormément de preuves et des témoins. Tout cela ne sort pas de mon imagination. Pour le moment j'ai encore mon fils avec moi mais pour combien de temps encore ? Lui aussi a parlé mais les services sociaux n'ont pas voulu l'écouter.
Me traitant donc de quérulente, je ne peux en aucun cas déposé plainte contre quiconque. Qui plus est, je suis une femme et la police se contre fout royalement que je me fasse harceler par mon ex (qui m'a menacé de mort devant témoins et par écrit), et la puissante machine administrative ne cherche qu'a me faire taire coûte que coûte. Les services sociaux qui utilisent mon fils de 6 ans comme bouclier pour cacher leurs fautes professionnelles.
Je précise que la belle famille de mon ex compagnon est une famille de cas sociaux suivis pour troubles du comportement, mon ex compagnon a déjà été condamné plus jeune pour vandalisme, c'est un rebelle de la société, hyper procédurier.
De mon côté, en toute objectivité mon compagnon actuel n'est pas un cas social, il est enseignant et chercheur. Quant à moi je suis quelqu'un de tranquille gérante de SCI dont la bataille depuis 10 ans est la lutte contre la maltraitance. J'ai un peu trop parlé de choses qui dérangent et on me le fait payer.
Voilà mon histoire qui est digne de la mafia. J'ai honte de voir que des travailleurs sociaux de la protection de l'enfance puissent être complices de ce genre de pratique.
Je fais aussi partie d'une famille de travailleurs sociaux d'un autre département (Conseillers ESF, éduc etc...) qui sont tout simplement outré par de telles pratiques de certains de leurs collègues.
C'est tout simplement scandaleux.
Re: une maman dans la tourmente
allez voir le médiateur de la république de votre région,adresse à prendre à la préfecture de votre département; BON courage.
Re: une maman dans la tourmente
prenez un avocat.
portez cette histoire au grand public par média interposé
ou fuyez...
sincèrement...
portez cette histoire au grand public par média interposé
ou fuyez...
sincèrement...
Re: une maman dans la tourmente
Je suis déjà allée voir le médiateur de la république, sans succès. Les services sociaux refusent de se remettre en question. J'ai demandé un rendez vous auprès de la présidente du conseil général. J'attends la date. Mais elle aussi refuse de remettre en question ses services.
J'ai écrit à tous les journaux locaux et nationaux. Je n'ai pas plus de réponse.
Je tourne en rond et pendant ce temps là mon fils subit.
J'ai écrit à tous les journaux locaux et nationaux. Je n'ai pas plus de réponse.
Je tourne en rond et pendant ce temps là mon fils subit.
Re: une maman dans la tourmente
c'est un véritable complot contre vous... avez vous une idée de qui pourrait être à l'origine de ce complot ? ce n'est quand même pas votre ex compagnon que vous qualifiez de cas social qui manipule les services sociaux et la police ? ça doit être quelqu'un de haut placé !
Re: une maman dans la tourmente
A la base c'est une manipulation de mon ex compagnon, ça c'est sûr. Et c'est justement parce qu'il est manipulateur et cas social qu'il a été entendu. La police couvre les services sociaux parce que ce sont des fonctionnaires chacuns de leur côté. Si je dis à un fonctionnaires que certains fonctionnaires sont incompétents, évidemment on ne va pas m'accueillir à bras ouverts. En fait je pense surtout que mon ex, en manipulant ma puéricultrice, qui elle a fait une connerie, tout ce la a déclenché une cascade d'évènements. Les services sociaux se sont couverts entre eux, et comme la hiérarchie est la même, aux yeux de cette hiérarchie une puéricultrice à bac+4 est forcément, dans l'inconscient collectif, plus crédible qu'une simple nounou. Et tout le monde s'est fait avoir par ces 2 alliès de circonstance, menteurs et dangereux. Comment être pris au sérieux face à 2 menteurs qui soutiennent ce qu'ils disent, dont une fonctionnaire qui se fait couvrir par certains de ses collègues ?
En plus je viens de comprendre hier, chose à laquelle j'vais porté peu d'attention, que l'assistante de l'ADDPJ, dans son rapport m'avait inventée une enfant malheureuse pour justifier mon "déséquilibre psychologique".
Elle a marqué que "je suis issue d'une fratrie de 2 enfants, mes parents ayant divorcés alors que j'étais enfant, j'ai donc été recuillie par mes grands parents concierges du cimetière de ma commune"? Là c'est Causette chez les Ténardier qu'on dépeint. La vérité est tout autre. Je suis issue d'une fratrie de 3, mes parents ont effectivement divorcé mais quand j'avais 22 ans et non quand j'étais enfant. Je n'ai donc pas été recueillie par mes grands parents. Ils étaient effectivement concierge du cimetière de ma commune mais ne m'ont jamais recueillie, ils habitaient juste à 200m de chez mes parents et ma grand mère venait nous chercher à l'école et nous gardait en attendant que mes parents sortent du travail. Ma mère était conseiller financier et mon père officier chez les pompiers. Je suis loin d'avoir grandie dans une famille misérable. Mais oui je voyais quotidiennement mes grands parents avec un repas familial tous les dimanche chez eux. De cette enfance équilibrée ils l'ont transformée en une jeunesse de misère, en prenant des éléments vrais mixés à leur sauce.
Ce matin je retourne chez le médiateur de la république, et je vais demandé un rendez vous en urgence chez le DGA des services sociaux pour tout lui mettre sous le nez.
Je vous tiendrais au courant
En plus je viens de comprendre hier, chose à laquelle j'vais porté peu d'attention, que l'assistante de l'ADDPJ, dans son rapport m'avait inventée une enfant malheureuse pour justifier mon "déséquilibre psychologique".
Elle a marqué que "je suis issue d'une fratrie de 2 enfants, mes parents ayant divorcés alors que j'étais enfant, j'ai donc été recuillie par mes grands parents concierges du cimetière de ma commune"? Là c'est Causette chez les Ténardier qu'on dépeint. La vérité est tout autre. Je suis issue d'une fratrie de 3, mes parents ont effectivement divorcé mais quand j'avais 22 ans et non quand j'étais enfant. Je n'ai donc pas été recueillie par mes grands parents. Ils étaient effectivement concierge du cimetière de ma commune mais ne m'ont jamais recueillie, ils habitaient juste à 200m de chez mes parents et ma grand mère venait nous chercher à l'école et nous gardait en attendant que mes parents sortent du travail. Ma mère était conseiller financier et mon père officier chez les pompiers. Je suis loin d'avoir grandie dans une famille misérable. Mais oui je voyais quotidiennement mes grands parents avec un repas familial tous les dimanche chez eux. De cette enfance équilibrée ils l'ont transformée en une jeunesse de misère, en prenant des éléments vrais mixés à leur sauce.
Ce matin je retourne chez le médiateur de la république, et je vais demandé un rendez vous en urgence chez le DGA des services sociaux pour tout lui mettre sous le nez.
Je vous tiendrais au courant
Re: une maman dans la tourmente
Bonjour, je viens de tomber par hasard sur votre histoire. Etant moi-même jeune AS, il est vrai que je suis assez affolée par ce que je lis. Sans vouloir mettre du sel sur le feu, je pense effectivement que les services se couvrent entre eux.
Mais ce qui me choque le plus, c'est votre dernier mail où vous expliquez le faux écrit de l'AS.
C'est pourquoi,je me permets donc en toute modestie, d'emettre quelques conseils: grâce à l'accès aux droits des usagers, vous pouvez maintenant récupérer les dossiers des services sociaux et donc prouver les diffamations. Revenez voir le président du CG après tout c'est lui (ou elle) qui se trouve le plus haut dans la hiérarchie et faites jouer le politique, après tout ils sont élus. Et si ça ne marche pas, vous pouvez toujours aller voir son opposant, pour qui le sujet ssera peut-être plus intéressant...
Sinon, effectivement prendre un avocat ou au moins avoir des conseils juridiques peuvent servir (demander au tribunal de votre ville, il a surement une association avec des permanences gratuites).
En tous cas, bon courage parce que les services administratifs sont pires que tout... A méditer
Mais ce qui me choque le plus, c'est votre dernier mail où vous expliquez le faux écrit de l'AS.
C'est pourquoi,je me permets donc en toute modestie, d'emettre quelques conseils: grâce à l'accès aux droits des usagers, vous pouvez maintenant récupérer les dossiers des services sociaux et donc prouver les diffamations. Revenez voir le président du CG après tout c'est lui (ou elle) qui se trouve le plus haut dans la hiérarchie et faites jouer le politique, après tout ils sont élus. Et si ça ne marche pas, vous pouvez toujours aller voir son opposant, pour qui le sujet ssera peut-être plus intéressant...
Sinon, effectivement prendre un avocat ou au moins avoir des conseils juridiques peuvent servir (demander au tribunal de votre ville, il a surement une association avec des permanences gratuites).
En tous cas, bon courage parce que les services administratifs sont pires que tout... A méditer
Re: une maman dans la tourmente
Merci l'AS pour vos conseils. j'ai déjà pris une avocate qui a défendu mon cas il y a 15 jours au tribunal pour contrer ce rapport scandaleux. J'aurais la réponse le 1er octobre pour savoir si mon fils reste chez moi ou bien part chez son père où il sera de toute façon négligé et maltraité.
Comment puis je récupérer mes dossiers auprès des services sociaux ? à qui les demander ? puis je le faire par écrit ? Existe-t-il des services d'inspection (comme l'IGS pour la police) pour inspecter l'ADPPJ ? Le pire c'est que l'AS et le psy de l'ADPPJ savent très bien que mon fils est maltraité chez son père et a déjà subit des exhibitions par le beau frère. Elle a mis dans le rapport qu'a partir du moment où mon fils avait pris les exhibitions à la rigolade ce n'était pas dangereux. Donc elle cautionne les exhibitions et moi me traite de femme trop procédurière. Mais j'ai lu dans un forum dont je vous donne le lien (http://forum.doctissimo.fr/viepratique/ ... 1292_1.htm) que ce que je vis est en fait une pratique assez courante. Les enquêtes partiales, les manques d'objectivité et l'abus de pouvoir de certains TS n'est en fait pas chose rare. Et traiter les gens de trop procéduriers est une façon pour eux de se protéger. Par contre, ce qui m'échappe, c'est le but rechercher. Dans quel but un TS peut demander le placement dans une famille dangereuse notoire et le déloger de chez sa maman, foyer qu'il a toujours connu, en inventant une enfance malheureuse de la mère, parce qu'ils n'ont rien d'autre à se mettre sous la dent? Sincèrement j'aimerais connaître la réponse.
Merci.
Comment puis je récupérer mes dossiers auprès des services sociaux ? à qui les demander ? puis je le faire par écrit ? Existe-t-il des services d'inspection (comme l'IGS pour la police) pour inspecter l'ADPPJ ? Le pire c'est que l'AS et le psy de l'ADPPJ savent très bien que mon fils est maltraité chez son père et a déjà subit des exhibitions par le beau frère. Elle a mis dans le rapport qu'a partir du moment où mon fils avait pris les exhibitions à la rigolade ce n'était pas dangereux. Donc elle cautionne les exhibitions et moi me traite de femme trop procédurière. Mais j'ai lu dans un forum dont je vous donne le lien (http://forum.doctissimo.fr/viepratique/ ... 1292_1.htm) que ce que je vis est en fait une pratique assez courante. Les enquêtes partiales, les manques d'objectivité et l'abus de pouvoir de certains TS n'est en fait pas chose rare. Et traiter les gens de trop procéduriers est une façon pour eux de se protéger. Par contre, ce qui m'échappe, c'est le but rechercher. Dans quel but un TS peut demander le placement dans une famille dangereuse notoire et le déloger de chez sa maman, foyer qu'il a toujours connu, en inventant une enfance malheureuse de la mère, parce qu'ils n'ont rien d'autre à se mettre sous la dent? Sincèrement j'aimerais connaître la réponse.
Merci.
Re: une maman dans la tourmente
bonjour,
j'ai pris connaissance de votre lettre, et bien que je n'ai pas d'opinion politique, je peux vous dire que vous devriez écrire au président de la république
pour lui avoir écrit pour un problème différent, mais j'ai pu constater, que sa réponse se fait rapide et les interlocuteurs sont déroutés, et, comme vous je ne savais opas comment faire reconnaitre ma bonne foi, et bien les instaces aujourd'hui, on fait marche arrière et cela ma redonner un gout à la vie
car quand un embetement commence cela fait boule de neige
vous savez écrire, vous n'avez rien à perdre - faites le
mon courrier peut faire rire, mais en attendant ca marche.
D'autre part
je suis assistante familiale, et j'ai eu un pepin il y a quelque temps avec un des enfants que je garde, et moi aussi j'ai pu constater que le service se protegeait et l'important c'est que l'on ne puisse pas les mettre en cause.
bon courage et n'hésitez pas à me parler si vous le souhaitez
j'ai pris connaissance de votre lettre, et bien que je n'ai pas d'opinion politique, je peux vous dire que vous devriez écrire au président de la république
pour lui avoir écrit pour un problème différent, mais j'ai pu constater, que sa réponse se fait rapide et les interlocuteurs sont déroutés, et, comme vous je ne savais opas comment faire reconnaitre ma bonne foi, et bien les instaces aujourd'hui, on fait marche arrière et cela ma redonner un gout à la vie
car quand un embetement commence cela fait boule de neige
vous savez écrire, vous n'avez rien à perdre - faites le
mon courrier peut faire rire, mais en attendant ca marche.
D'autre part
je suis assistante familiale, et j'ai eu un pepin il y a quelque temps avec un des enfants que je garde, et moi aussi j'ai pu constater que le service se protegeait et l'important c'est que l'on ne puisse pas les mettre en cause.
bon courage et n'hésitez pas à me parler si vous le souhaitez
Re: une maman dans la tourmente
Je tombe moi aussi sur votre parcours par hasard, je suis certes déconcertée et ds l'impossibilité de vs donner des conseils autre que ceux qui vous ont été donné : dénonciation, faire recour auprès du médiateur...
Par contre je crois que le système social est en pleine déconfiture et votre histoire en est la parfaite illustration. La maltraitance se dénonce mais quand elle est infligée par l'administration, elle est d'autant plus difficile a mettre à jour. Je suis un pur produit du travail social (professionnellement parlant) cela fait plus de 15 ans que je travaille avec les enfants en difficultés, et je connais le pouvoir des AS, ES, psy et autres personnels de mon acabi, sur les enfants, les familles. Les décisions a l'emporte pièce, les diagnostiques lancé à la cantonade, qui parce qu'ils sont proférés par tel ou tel personne font office de véroté... De l'intérieur, il est très dur de se défendre aussi, la dénonciation est toujours empreinte d'un relant de collaborationnisme.
Les travailleurs sociaux sont des humains comme les autres et quand on croise des personnalités tordues qui pensent leur travail comme une toute puisance sur l'autre il faut avoir le courage que vous avez, pour ne pas "lacher l'affaire".
Battez-vous, ne serait-ce que pour que quoi qu'il arrive votre fils sente que vous êtes de son coté.
Je pense qu'en plus de l'énergie que vous déployez à vous défendre, vous devriez engager un travail sur vous afin de prendre du recul, ainsi que votre fils. Cela ne résout pas tout, mais vous aiderait à suporter cette tourmente
Par contre je crois que le système social est en pleine déconfiture et votre histoire en est la parfaite illustration. La maltraitance se dénonce mais quand elle est infligée par l'administration, elle est d'autant plus difficile a mettre à jour. Je suis un pur produit du travail social (professionnellement parlant) cela fait plus de 15 ans que je travaille avec les enfants en difficultés, et je connais le pouvoir des AS, ES, psy et autres personnels de mon acabi, sur les enfants, les familles. Les décisions a l'emporte pièce, les diagnostiques lancé à la cantonade, qui parce qu'ils sont proférés par tel ou tel personne font office de véroté... De l'intérieur, il est très dur de se défendre aussi, la dénonciation est toujours empreinte d'un relant de collaborationnisme.
Les travailleurs sociaux sont des humains comme les autres et quand on croise des personnalités tordues qui pensent leur travail comme une toute puisance sur l'autre il faut avoir le courage que vous avez, pour ne pas "lacher l'affaire".
Battez-vous, ne serait-ce que pour que quoi qu'il arrive votre fils sente que vous êtes de son coté.
Je pense qu'en plus de l'énergie que vous déployez à vous défendre, vous devriez engager un travail sur vous afin de prendre du recul, ainsi que votre fils. Cela ne résout pas tout, mais vous aiderait à suporter cette tourmente