si il y a de la place dans vos esats,vous m'embauché? 
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a lire et a relire
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roxanne
Re: a lire et a relire
merci pour tout,cela me reconforte et me met face a la vrai réalité aujour'hui.Je suis touchée par ton humilité William,ton message est touchant,et tellement vrai.Cela dit,il y a des esats qui sont super,d'autres à fuir,ce qui me réjouit c'est que je contaste que tous ne sont pas dans le meme sac,des moniteurs d'ateliers digne de leur devoir sont là ,et je voudrais vraiment leurs dire un gran bravo,car leurs taches et leurs responsabilité n'est pas de tout repos.Cela me donne un nouveau souffle et de l'espoir ,vraiment.Non,vous n'etes pas du tout des petits,il y en a ,mais dans ce forum je peux vous affirmer que la majorité d'entre vous sont placés au milieu des grands.
si il y a de la place dans vos esats,vous m'embauché?
si il y a de la place dans vos esats,vous m'embauché? -
roxanne
Re: a lire et a relire
Bonjour à vous tous!!!!!
Je viens de m'apercevoir en relisant tous ce qui a été dit dans ce forum ,qu'il y a un point qui m'as heurter et sensibilisé mon regard sur un point fondamentale concernant les ouvriers en Esat(je précise "les Esats qui produisent et tous heureusement ne se ressemblent pas) .
Un peu plus haut,Toubib me posent une question ,si je ne peux pas faire quelques chose pour les autres usagers qui restent et qui travaillent toujours sous une pression quasi infernale dans l'Esat ou j'étais.
J'ai réfléchis sur la question,pourquoi c'est à moi de porter tous ce K.O et de dénoncer afin de trouver une solution,un remède pour les autres qui restent.Le sens de ma réflexion est certes,ça ne me couterais rien vu que je ne travaillent plus là bas,mais la vrai question pour moi c'est comment peut t'ont attendre ou demander à un ouvrier ,affaiblis par la vie,sans défense et de plus exploitée sous une pression palpable de soumission d'attendre de lui de faire tous le boulot pour que les choses changent.Admettons que pour l'Esat ou j'ai travailler ,par miracle ma dénonciation aboutissent a quelques chose de concret,meme si ma dénonciation n'aboutirait a rien vu que je ne travaille plus la- bas,mais je peux vous assurer d'une chose ,si aujourd'hui je travaillerais encore la bas,je ne pourrais rien faire,car c'est trop lourd a porter pour une seule personne,la peur au ventre avec l'humiliation quotidienne,sans compter cette fragilité a fleur de peau du a la maladie,faut pas rêver,ça n'arriveras jamais,dans n'importe quel Esat.C'est un point important que je voulais éclaircir,les usagers portent déjà un joug très lourd,faut pas espérer d'attendre d'eux quelques chose qui seront incapable de faire,ce qu'ils portent est plus que ce que l'ont imaginent.faut arrêter de croire au conte de fée .
Je viens de m'apercevoir en relisant tous ce qui a été dit dans ce forum ,qu'il y a un point qui m'as heurter et sensibilisé mon regard sur un point fondamentale concernant les ouvriers en Esat(je précise "les Esats qui produisent et tous heureusement ne se ressemblent pas) .
Un peu plus haut,Toubib me posent une question ,si je ne peux pas faire quelques chose pour les autres usagers qui restent et qui travaillent toujours sous une pression quasi infernale dans l'Esat ou j'étais.
J'ai réfléchis sur la question,pourquoi c'est à moi de porter tous ce K.O et de dénoncer afin de trouver une solution,un remède pour les autres qui restent.Le sens de ma réflexion est certes,ça ne me couterais rien vu que je ne travaillent plus là bas,mais la vrai question pour moi c'est comment peut t'ont attendre ou demander à un ouvrier ,affaiblis par la vie,sans défense et de plus exploitée sous une pression palpable de soumission d'attendre de lui de faire tous le boulot pour que les choses changent.Admettons que pour l'Esat ou j'ai travailler ,par miracle ma dénonciation aboutissent a quelques chose de concret,meme si ma dénonciation n'aboutirait a rien vu que je ne travaille plus la- bas,mais je peux vous assurer d'une chose ,si aujourd'hui je travaillerais encore la bas,je ne pourrais rien faire,car c'est trop lourd a porter pour une seule personne,la peur au ventre avec l'humiliation quotidienne,sans compter cette fragilité a fleur de peau du a la maladie,faut pas rêver,ça n'arriveras jamais,dans n'importe quel Esat.C'est un point important que je voulais éclaircir,les usagers portent déjà un joug très lourd,faut pas espérer d'attendre d'eux quelques chose qui seront incapable de faire,ce qu'ils portent est plus que ce que l'ont imaginent.faut arrêter de croire au conte de fée .
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caramel
Re: a lire et a relire
re bonsoir,
Si les esat sont devenus si productifs n'est ce pas la faute en 1er lieu a nos clients qui beneficient de prix relativement correctes
2e point a ces reductions d'impots si les clients font appel aux esat,depuis cette "aide" une nouvelle activite est nee chez nous,pourtant une entreprise d'insertion dans l'association pourrait le realiser,mais pas de reduction d'impot.
3é point Si les subventions de l'etat ne diminuait pas chaques annees?
Bien sur cela ne justifie pas l'attitude de certains etablissements.
Si les esat sont devenus si productifs n'est ce pas la faute en 1er lieu a nos clients qui beneficient de prix relativement correctes
2e point a ces reductions d'impots si les clients font appel aux esat,depuis cette "aide" une nouvelle activite est nee chez nous,pourtant une entreprise d'insertion dans l'association pourrait le realiser,mais pas de reduction d'impot.
3é point Si les subventions de l'etat ne diminuait pas chaques annees?
Bien sur cela ne justifie pas l'attitude de certains etablissements.
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jean
Re: a lire et a relire
bonsoir a tous je suis moniteur d atelier depuis 1ans j y suis arriver sans connaitre ce milieu que je decouvre au quotidien ainsi que la maltraitance qu a subit roxanne et d otres personnes qui doivent malheureusement etre dans le meme cas si se n est pas pire encore mais je doit dire pour ma petite experience qu il y a aussi des usagers qui mene la vie dure aux moniteur (insulte,incompetence du moniteur,reglement non respecter...)bref si j ai choisi ce metier c est pour transmettre un savoir faire aider les usagers qui le veule a aller vers le monde ordinaire ce qui est loin d etre une realiter malheureusement. bnsoir
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roxanne
Re: a lire et a relire
bonsoir jean
J'aimerais que vous sachiez Jean qu'il est tout à votre honneur d'employer autant d'énergie pour aider des personnes en difficulté et que ce tranplin qui leurs est nécessaire pourtant,malheureusement certains s'y refusent.Je pense sincèrement et c'est bien dommage,comme dans la vie d'une personne bien valide,ils y auras toujours des personnes qui se complèteront dans un état de victime en croyant que tout leurs ai dù ,se croyant tous permis parce que..........ils s'en donnent le droit.C'est bien dommage car non seulement ils donnent du fil a retorde aux autres ,mais en plus ils resteront toujours dans le même mode revendicatif.
Cela dit,il est vrai qu'un métier d'entraide est parfois éprouvant,mais croyez moi ,aujourd'hui je suis des cotés des invalides et je m'en suis sortie,mais aussi bizarre que cela peut le sembler,un jour j'ai occuper une place comme la votre .
C'est un métier qu'ont ne choisit pas par hasard,on a l'amour de donner,d'aider,d'améliorer une existence,et pourtant beaucoup n'en tireront aucun bénéfice,comme d'autres qui eux vont mettrons vraiment sur un pied des tale.
Auparavant avant que je tombe malade,je travaillais dans une structure "les papillons blancs"
J'étais responsable de plusieurs enfants,autistes,trisomie,ect.....de plus ,les plus petits devait avoir 4 ans et les plus grands 18 ans,ma plus grande difficulté fut de les cadrer,la main de fer dans un gant de velours,c'était pas toujours facile mais exaltant,sachant que cette lourde responsabilité,aucun écart est permis,la santé est la santé.
J'ai occuper ce poste pendant 4 ans suivie d'une démission pour raison médicale,ma dépression,et le faites d'en parler ce soir,me donne vraiment la nostalgie de ces années passées,aujourd'hui j'y serais encore,j'avais un contrat CDI mais le destin lui avait prévu autre chose pour moi.
Mon vécu dans tous cela,est qu'aujourd'hui je peux dire que j'ai été à votre place et également a la place du malade,ce que j'en retire de tous cela est une conclusion sur laquelle je me dis que malgré tous j'ai eu cette chance de pouvoir vivre et ressentir ce qu'ont pouvait éprouver dans les deux status sociales,et qu'en finalité il y a une grande richesses dans les deux partis.Pourtant il y a des failles ou la conscience seule peut faire bouger les choses et ceux dans les deux camps si je peux me permettre.
J'aimerais que vous sachiez Jean qu'il est tout à votre honneur d'employer autant d'énergie pour aider des personnes en difficulté et que ce tranplin qui leurs est nécessaire pourtant,malheureusement certains s'y refusent.Je pense sincèrement et c'est bien dommage,comme dans la vie d'une personne bien valide,ils y auras toujours des personnes qui se complèteront dans un état de victime en croyant que tout leurs ai dù ,se croyant tous permis parce que..........ils s'en donnent le droit.C'est bien dommage car non seulement ils donnent du fil a retorde aux autres ,mais en plus ils resteront toujours dans le même mode revendicatif.
Cela dit,il est vrai qu'un métier d'entraide est parfois éprouvant,mais croyez moi ,aujourd'hui je suis des cotés des invalides et je m'en suis sortie,mais aussi bizarre que cela peut le sembler,un jour j'ai occuper une place comme la votre .
C'est un métier qu'ont ne choisit pas par hasard,on a l'amour de donner,d'aider,d'améliorer une existence,et pourtant beaucoup n'en tireront aucun bénéfice,comme d'autres qui eux vont mettrons vraiment sur un pied des tale.
Auparavant avant que je tombe malade,je travaillais dans une structure "les papillons blancs"
J'étais responsable de plusieurs enfants,autistes,trisomie,ect.....de plus ,les plus petits devait avoir 4 ans et les plus grands 18 ans,ma plus grande difficulté fut de les cadrer,la main de fer dans un gant de velours,c'était pas toujours facile mais exaltant,sachant que cette lourde responsabilité,aucun écart est permis,la santé est la santé.
J'ai occuper ce poste pendant 4 ans suivie d'une démission pour raison médicale,ma dépression,et le faites d'en parler ce soir,me donne vraiment la nostalgie de ces années passées,aujourd'hui j'y serais encore,j'avais un contrat CDI mais le destin lui avait prévu autre chose pour moi.
Mon vécu dans tous cela,est qu'aujourd'hui je peux dire que j'ai été à votre place et également a la place du malade,ce que j'en retire de tous cela est une conclusion sur laquelle je me dis que malgré tous j'ai eu cette chance de pouvoir vivre et ressentir ce qu'ont pouvait éprouver dans les deux status sociales,et qu'en finalité il y a une grande richesses dans les deux partis.Pourtant il y a des failles ou la conscience seule peut faire bouger les choses et ceux dans les deux camps si je peux me permettre.