Bonjour,
Et qu’est-ce que la famille créatrice FN du château de Montretout d’héritage inespéré, va pouvoir améliorer avec Jordan l’opportuniste !
Le petit génie de 30 ans tel l’autre actuel président de la république, sans aucune étude et sans avoir jamais travaillé celui-ci mais prodige quand même, si ce n’est pour ce parti politique où un bon nombre de concitoyens de ce pays le voudraient premier ministre ou soyons dingos chef d’état !!!!
Un parti avec comme fondateur un homme élevant sa descendance féminine dans la haine et le rejet de l’autre dans une extrême, un père dont la colossale fortune mystérieuse s’enorgueillissait d’un passé belliqueux dans deux guerres coloniales avec des opinions obnubilantes sans doute acquises dans le sang !!
Non n’ayez honte de rien, tout comme lui ou elles !
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Du confinement à la carotte...
Re: Du confinement à la carotte...
Bonjour,
Oui car avoir honte pour eux serait le monde à l'envers...
Même s'il ne faut pas forcément aller chercher chez les extrêmes pour constater les pratiques maltraitantes et c'est bien le problème, notre régime dit "modéré" est austère et dans une certaine mesure, déshumanisant. Vous évoquez vous des pleurnichards, mais c'est faire fi de réelles souffrances endurées. Et pour ce qui concerne le glissement vers le soutien pour le RN, il est une idée reçue que ce sont des gens globalement sans éducation (je veux dire, instruction) : c'est faux, même s'ils ratissent large et jouent sur les peurs, je vois bien ne serait ce que sur ma ville le réel glissement vers le RN. Reims a réputation d'avoir toujours voulu "masquer" sa réelle pauvreté (ne soutient pas "ses jeunes" pour dire les choses simplement) et bien sûr connue comme étant une ville où l'on vient y faire ses études, et même où l'on s'y installe. Mais il y a toujours eu une réelle précarité sociale "masquée", non réellement assumée. Aujourd'hui c'est plus difficile à mettre cette réalité sous le tapis puisque la délinquance et la violence s'invitent en plein centre ville. Les trafiquants se cachent moins également. Et les personnes étrangères "à la rue", malheureusement renforcent ce sentiment entretenu "qu'il y a trop d'étrangers en ville". Mais tout ceci est la conséquence de dizaines d'années, pour ne dire que ça fait au moins 60 ans qu'une très mauvaise politique de l'habitat est menée... entre autres problèmes. Ce n'est pas tant la pauvreté qui déborde de partout que les réelles inégalités, le manque d'équité sociale. Sans y assimiler mon cas, j'ai bien vu - et je vois - comment je suis (mal)traité. Ca en dit quand même long sur notre problème de société. Mes valeurs humanistes font probablement mon troisième oeil, ma conscience morale, quoi que j'y préfère le terme d'éthique, ou peut être mon bon sens, ou ma curiosité naturelle à propos de mon prochain, font peut-être ce pourquoi basculer dans la haine de l'autre par raccourci, par facilité, ne fut jamais ma voie : c'est accepter que la simplification du monde ne peut mener qu'à l'ignorance uniquement par volonté de conserver le confort individuel, c'est reconnaître que le monde est résolument complexe et que pour en enrayer les maux, ce n'est pas en soignant le mal par le mal que ça arrangera les choses. On en est encore à vouloir uniquement invisibiliser les symptômes, plutôt que de s'attaquer à la racine du mal. La santé, la cause nationale dit-on : malheureusement des professionnels confondent "La Santé" et la prison, se servent de ces outils - parfois - par abus de pouvoir. Mais pourquoi ? Parce que tu ne peux pas "sanctionner" d'un côté (couper tous les droits d'une personne) et de l'autre te sentir "en complète sécurité". Donc la main est lourde sur la volonté de... "hum hum"... soigner. Bon, ça, ce n'est pas généralisé (quoique ça mériterait d'être étudié). Mais c'est une réalité concrète. Heureusement, ce n'est pas parce qu'on est dans la précarité et malmené par "deux ou trois personnes" se voulant représenter l'institution : que l'on est con.
Oui car avoir honte pour eux serait le monde à l'envers...
Même s'il ne faut pas forcément aller chercher chez les extrêmes pour constater les pratiques maltraitantes et c'est bien le problème, notre régime dit "modéré" est austère et dans une certaine mesure, déshumanisant. Vous évoquez vous des pleurnichards, mais c'est faire fi de réelles souffrances endurées. Et pour ce qui concerne le glissement vers le soutien pour le RN, il est une idée reçue que ce sont des gens globalement sans éducation (je veux dire, instruction) : c'est faux, même s'ils ratissent large et jouent sur les peurs, je vois bien ne serait ce que sur ma ville le réel glissement vers le RN. Reims a réputation d'avoir toujours voulu "masquer" sa réelle pauvreté (ne soutient pas "ses jeunes" pour dire les choses simplement) et bien sûr connue comme étant une ville où l'on vient y faire ses études, et même où l'on s'y installe. Mais il y a toujours eu une réelle précarité sociale "masquée", non réellement assumée. Aujourd'hui c'est plus difficile à mettre cette réalité sous le tapis puisque la délinquance et la violence s'invitent en plein centre ville. Les trafiquants se cachent moins également. Et les personnes étrangères "à la rue", malheureusement renforcent ce sentiment entretenu "qu'il y a trop d'étrangers en ville". Mais tout ceci est la conséquence de dizaines d'années, pour ne dire que ça fait au moins 60 ans qu'une très mauvaise politique de l'habitat est menée... entre autres problèmes. Ce n'est pas tant la pauvreté qui déborde de partout que les réelles inégalités, le manque d'équité sociale. Sans y assimiler mon cas, j'ai bien vu - et je vois - comment je suis (mal)traité. Ca en dit quand même long sur notre problème de société. Mes valeurs humanistes font probablement mon troisième oeil, ma conscience morale, quoi que j'y préfère le terme d'éthique, ou peut être mon bon sens, ou ma curiosité naturelle à propos de mon prochain, font peut-être ce pourquoi basculer dans la haine de l'autre par raccourci, par facilité, ne fut jamais ma voie : c'est accepter que la simplification du monde ne peut mener qu'à l'ignorance uniquement par volonté de conserver le confort individuel, c'est reconnaître que le monde est résolument complexe et que pour en enrayer les maux, ce n'est pas en soignant le mal par le mal que ça arrangera les choses. On en est encore à vouloir uniquement invisibiliser les symptômes, plutôt que de s'attaquer à la racine du mal. La santé, la cause nationale dit-on : malheureusement des professionnels confondent "La Santé" et la prison, se servent de ces outils - parfois - par abus de pouvoir. Mais pourquoi ? Parce que tu ne peux pas "sanctionner" d'un côté (couper tous les droits d'une personne) et de l'autre te sentir "en complète sécurité". Donc la main est lourde sur la volonté de... "hum hum"... soigner. Bon, ça, ce n'est pas généralisé (quoique ça mériterait d'être étudié). Mais c'est une réalité concrète. Heureusement, ce n'est pas parce qu'on est dans la précarité et malmené par "deux ou trois personnes" se voulant représenter l'institution : que l'on est con.
Re: Du confinement à la carotte...
Pourquoi je n’entrerai pas dans cette facilité de s’en prendre à des personnes plutôt que de revoir structurellement ce qui pose problème.
Ces enveloppes allouées à nos élus, est-ce là le réel problème ?
Il n’y en a plus un(e) qui ait le cul propre, de toute façon. Partout où ça passe, les politiques laissent des traces de pneus. Et ces enveloppes indécentes, après on va t’expliquer que “houlala non, il faut, parce que sinon le marché du luxe va s’écrouler !”
Bon, d’accord. Si ça fait vivre le marché du luxe… Dans le cas contraire, si on m’explique que ça mettrait au chômage des gens, que des boutiques fermeraient faute de leurs plus gros clients parmi nos privilégiés… non, sincèrement, ça me ferait un pincement au cœur de savoir leur progéniture privée de jolis cadeaux à Noël. Non, il faut que madame Hidalgo continue d’aller dans ses boutiques préférées, sinon, hein, on n’aurait plus rien de français dans le luxe…
Comment ? C’est déjà le cas ? Le luxe n’est déjà plus français ? Noooon !
J’y vais de ma satire, mais le fond est bien réel : les élus ne sont pas coupables, parce qu’ils ne prennent pas la pleine mesure de la situation. “Ils ne savent pas ce qu’ils font.” Condamner ne servirait à rien, d’autant que ces dépenses sont réalisées en toute légalité. Critiquer une personne qui ne se sentirait pas légitime de faire usage de ce à quoi elle a droit, ça n’a pas de sens. Et ceux qui utilisent cette polémique pour leur petite chapelle sont souvent des conseilleurs bien plus mauvais payeurs — parfois eux-mêmes condamnés ou poursuivis.
Madame Hidalgo a raison, Madame Dati aurait bien du mal à joindre les deux bouts avec “seulement” 5 000 euros par mois, elle qui a perçu une enveloppe bien rondelette d’un million sur deux ans.
Ça va. Avec ça, j’espère que tu peux aller te rhabiller chez Prada (désolé, je ne m’y connais pas en marques de luxe… je suis pauvre).
Moi, perso, j’ai zéro par mois. Je n’ai commis aucune faute, mon casier est vierge, je ne suis un danger ni pour la société, ni pour moi-même — malgré les efforts déployés par les deux/trois personnes qui veulent me faire passer pour un dingue. Je l’assume : j’ai un grain de folie, oui. Mais je ne suis pas fou. En fait si, mais c'est comme l'histoire du bon et du mauvais chasseur. Le bon fou, c'est bibi
Madame Hidalgo, Madame Dati : peu importe que vous ne fassiez pas la paix. Peu importe les torts. Vous êtes — dans tous les sens du terme — blindées. Moi, je suis radié.
Ai-je abusé ? Profité ? Été assisté ? Fraudeur ? Rien de tout ça. Radié pour avoir exprimé un désaccord, pour avoir voulu négocier.
Et dans cette société, refuser le droit à négocier, c’est très grave.
Ça te fait ressentir que tu n’es plus rien. C’est moralement destructeur, difficile à vivre. Quand tu vis dans la pauvreté et que tu as trop longtemps connu la précarité, on finit par vouloir te confondre avec cette précarité. Tu deviens toi-même “un précaire”. Un volatile. On cherche à te déposséder même de ta parole. Ça arrangerait bien de te faire passer pour fou. Je répète : refuser le droit à la négociation, c’est rompre le dialogue.
Plus sérieusement, si je veux continuer à convaincre, je me dois d’être au moins un minimum bien sapé !
Autrefois je m’en fichais, mais n’allez pas croire que je sois négligé. D’accord, je ne perçois plus un rond, mais je soigne mon apparence. On ne sait jamais : au détour d’une rue… PAFFFFF, le coup de foudre
Nous vivons dans un monde où, en plus, il ne faut surtout pas laisser paraître que tu es dans le besoin.
Il y a des petits boulots où l’on te demande encore pourquoi tu postules. Ne réponds surtout pas :
“Pour payer mes factures à défaut de remplir mon estomac, connard !”
Sinon, t’es cuit(e).
Non, non, malheureux ! Sois passionné ! Donne au chef de rayon l’impression qu’aligner des conserves et coller des étiquettes, c’est ta vocation ! Ce n’est pas pour le salaire, rooooh, looooool, pas en France ! Non ! Ici, on bosse pour que dalle par amour du travail bien fait !
Et nos élus ? Pareil. Ce n’est pas vrai qu’ils sont intéressés par l’argent. Ce n’est pas vrai que mettre 40 000 euros par an dans des fringues, c’est une question d’argent. Non, c’est parce qu’on veut que nos élus aient de l’allure, qu’ils ressemblent à leur fonction ! Un élu confondu avec un chômeur ou pire, un RSAste ? Malheureux, il aurait raté son investiture !
Non. Nooon. NOOOOON.
Ce n’est pas vrai qu’un élu profite. Ce ne sont pas des profiteurs. Ils n’usurpent rien. Pas comme ces 5 millions de RSAstes qui volent leur place… Bande d’imposteurs !
550 € par mois… ASSISTÉS ! PROFITEURS ! VOLEURS !
BOUUUUUUUUUUUUH les vilains fainéants ! Les inutiles !
Alors qu’il suffit de traverser la rrr…
Et à côté de ça, des gens dont l’activité n’est pas fictive se font radier de leurs droits.
Ça devrait faire réfléchir. Mais surtout, ça devrait pousser à agir pour soutenir et accompagner ceux qui portent réellement des projets.
Re: Du confinement à la carotte...
Bonjour,
Ben oui tous pourris !!!
Après chacun à sa mesure, si je puis dire !! Je ne compare pas tout le monde au FN, désolée !
Après on se console , on se justifie comme on peut à essayer de convaincre que le petit peuple qui traine des pieds pour chercher un travail dans le sens marxiste, un travail qui nourrit l’homme sans aides sociales, sans l’assistanat de l’état, dans une véritable autonomie…. n’est pas pire que ces affreux politiciens !
C’est en cela que peut être vous n’êtes pas compris par vos travailleurs sociaux car ce que vous faites, c’est très sympa mais c’est un hobby, un passe-temps sans rien dénigrer. C’est génial, peut être innovant…
Et effectivement cela aurait pu devenir votre travail nourricier, après malheureusement il y a des couac parce que vous nous dites que vous négociez avec eux mais il y a des process , des conditions au RSA, vous êtes dans le système depuis plus de 20 ans , cela fonctionne pour vous comme pour les autres ….
Malheureusement il y a eu cet événement que nous n’allons pas re-raconter que vous considérez comme un abus de pouvoir !! Cela donne l’impression quand même qu’aujourd’hui vous vous dites : ils m’ont fait ça, ils me doivent quelque chose….Si il y a une injustice , il y a également des tribunaux pour régler des contentieux , plutôt que ruminer, et être toujours en défaut avec cette même institution !!
Après parce qu’il y a Dati, Fillon, Hidalgo ….ect donc que tout le monde fasse n’importe quoi sans conscience, profite du système puisque ces personnages politiques qui sont sensés représenter les valeurs, la morale s’en mettent plein les poches !
Pour ma part, je suis mère de famille, je n’ai pas envie de laisser à ma petite descendance un pays à vau l’eau même si c’est déjà un peu le cas puisque de tous côtés, les gens se comportent comme - après moi le déluge !!
Moi aussi je resterai bien chez moi à faire de la pâtisserie , je revendrai mes jolis gâteaux au black à des connaissances, une forme d’emploi fictif à ma mesure ainsi j’approfondirais mon savoir-faire !!
Mais bon, ça ne serait pas sérieux, je suis une adulte responsable, ça me saoulerait d’être convoquée par des assistantes sociales pour m’expliquer , me disculper des 600 boules qu’on me donne pendant que je gère chez moi mes compétences en pâtisserie, de me rabaisser, de ne pas me sentir entièrement « indépendante », d’être fliquée et menacée de coupure de mes allocs nourricières ….
Vous êtes ici sur Le Social, la majorité des métiers sont ceux des travailleurs sociaux ou dans le médical, vous écrivez très très bien mais par contre vous ne pouvez leurrer ceux qui vous lisent puisqu’ils travaillent à éduquer des jeunes et des moins jeunes, des personnes en situation de handicap ou âgées à garder une
AU TO NO MIE ( définition : L'autonomie est la capacité d'un objet, individu ou système à se gouverner soi-même, selon ses propres règles et dans l'ordre matériel. ) .
Suivant le public accompagné, cela passera par un emploi, un quotidien à valoriser, une insertion , d’être acteur de leur bien-être….
En tout cas, c’est clair que ceux qui vous ont suivi , ils ont vraiment galéré avec vous, vous leur avez donné du fil à retordre !!
Après vous dites que vous êtes à 0€ , vous touchez sûrement l’allocation logement, vous avez j’espère la CMU ( ça s’appelle sûrement autrement aujourd’hui) , le chèque énergie, plus peut être des rabais sur les déplacements….ect
Je tiens à préciser que je ne suis pas du tout dans un jugement mais dans un dialogue où je donne mon avis sans vouloir vous heurter mais en étant sincère, votre post est public donc je me permets de donner mon point de vue !
Ben oui tous pourris !!!
Après chacun à sa mesure, si je puis dire !! Je ne compare pas tout le monde au FN, désolée !
Après on se console , on se justifie comme on peut à essayer de convaincre que le petit peuple qui traine des pieds pour chercher un travail dans le sens marxiste, un travail qui nourrit l’homme sans aides sociales, sans l’assistanat de l’état, dans une véritable autonomie…. n’est pas pire que ces affreux politiciens !
C’est en cela que peut être vous n’êtes pas compris par vos travailleurs sociaux car ce que vous faites, c’est très sympa mais c’est un hobby, un passe-temps sans rien dénigrer. C’est génial, peut être innovant…
Et effectivement cela aurait pu devenir votre travail nourricier, après malheureusement il y a des couac parce que vous nous dites que vous négociez avec eux mais il y a des process , des conditions au RSA, vous êtes dans le système depuis plus de 20 ans , cela fonctionne pour vous comme pour les autres ….
Malheureusement il y a eu cet événement que nous n’allons pas re-raconter que vous considérez comme un abus de pouvoir !! Cela donne l’impression quand même qu’aujourd’hui vous vous dites : ils m’ont fait ça, ils me doivent quelque chose….Si il y a une injustice , il y a également des tribunaux pour régler des contentieux , plutôt que ruminer, et être toujours en défaut avec cette même institution !!
Après parce qu’il y a Dati, Fillon, Hidalgo ….ect donc que tout le monde fasse n’importe quoi sans conscience, profite du système puisque ces personnages politiques qui sont sensés représenter les valeurs, la morale s’en mettent plein les poches !
Pour ma part, je suis mère de famille, je n’ai pas envie de laisser à ma petite descendance un pays à vau l’eau même si c’est déjà un peu le cas puisque de tous côtés, les gens se comportent comme - après moi le déluge !!
Moi aussi je resterai bien chez moi à faire de la pâtisserie , je revendrai mes jolis gâteaux au black à des connaissances, une forme d’emploi fictif à ma mesure ainsi j’approfondirais mon savoir-faire !!
Mais bon, ça ne serait pas sérieux, je suis une adulte responsable, ça me saoulerait d’être convoquée par des assistantes sociales pour m’expliquer , me disculper des 600 boules qu’on me donne pendant que je gère chez moi mes compétences en pâtisserie, de me rabaisser, de ne pas me sentir entièrement « indépendante », d’être fliquée et menacée de coupure de mes allocs nourricières ….
Vous êtes ici sur Le Social, la majorité des métiers sont ceux des travailleurs sociaux ou dans le médical, vous écrivez très très bien mais par contre vous ne pouvez leurrer ceux qui vous lisent puisqu’ils travaillent à éduquer des jeunes et des moins jeunes, des personnes en situation de handicap ou âgées à garder une
AU TO NO MIE ( définition : L'autonomie est la capacité d'un objet, individu ou système à se gouverner soi-même, selon ses propres règles et dans l'ordre matériel. ) .
Suivant le public accompagné, cela passera par un emploi, un quotidien à valoriser, une insertion , d’être acteur de leur bien-être….
En tout cas, c’est clair que ceux qui vous ont suivi , ils ont vraiment galéré avec vous, vous leur avez donné du fil à retordre !!
Après vous dites que vous êtes à 0€ , vous touchez sûrement l’allocation logement, vous avez j’espère la CMU ( ça s’appelle sûrement autrement aujourd’hui) , le chèque énergie, plus peut être des rabais sur les déplacements….ect
Je tiens à préciser que je ne suis pas du tout dans un jugement mais dans un dialogue où je donne mon avis sans vouloir vous heurter mais en étant sincère, votre post est public donc je me permets de donner mon point de vue !
Re: Du confinement à la carotte...
Vous vous méprenez totalement, je ne suis ni dans le hobbie ni dans le passe-temps.
J'ai envie de dire, le problème n'est pas là. Malheureusement vous inversez totalement la problématique. Le problème ne sont pas mes activités, mais un certain dossier marqué au fer rouge, glanant pour justifier cela de mauvaises raisons. Mais je n'irai pas plus loin dans cette affaire puisqu'il y a une procédure judiciaire en cours et que publiquement, je préfère m'abstenir d'en parler. Ce qui n'empêche pas de parler du dispositif RSA en lui-même, évidemment.
Un cercle vicieux fut observé à juste titre, l'accent est mis sur l'accompagnement des nouveaux venus. J'aimerais être clair, cela se comprend car statistiquement il est reconnu qu'une personne proche de l'emploi a plus de chances de s'en "sortir vite". Il y a deux conséquences : les personnes plus éloignées ou bien ayant davantage d'ancienneté dans le dispositif seront poussées en file passive. La seconde conséquence est qu'il faudra plus de temps à consacrer par bénéficiaire, ce qui n'est plus vraiment permis. Tout le dispositif était surtout tourné vers le court terme. Il y a eu quelques progrès, mais je pense qu'il y a beaucoup de préjugés encore et donc stigmatisation à l'encontre des personnes ayant eu un parcours accidenté. Il y a aussi que du côté des professionnels, moins on s'occupe d'un dossier, moins on a envie de s'en occuper. Sur le plan des stats, le fait même que les stats démontrent que les gens qui viennent de tomber dans le RSA sont plus à même d'en sortir met justement en exergue cette problématique : cela renforce des préjugés, ce qui renforce ces stats est justement la façon dont jusqu'alors, systémiquement, les dossiers étaient traités fonction de leur ancienneté et autres critères.
Mais me concernant, de grâce, n'allez pas imaginer que c'est la nature même de mes activités professionnelles qui pose problème. A ce niveau, je suis dans les clous des transformations des enjeux de société, je suis en phase avec un marché en profonde mutation(s). Il n'y a AUCUNE RAISON de ne pas me permettre un accompagnement digne de ce nom. Encore une fois, le vrai problème n'est pas là. Pour le dire simple, si vous êtes suivi par des personnes qui véhiculent un sentiment d'inquiétude à votre encontre ou que quelqu'un fait savoir ne pas se sentir en sécurité avec vous (par exemple), cela entretien un sentiment de suspicion parmi une équipe, cela véhicule des informations sensibles parmi les partenaires, en d'autres termes, voilà comment vous glissez pour être littéralement mis "au ban de la société". Après je suis assez intelligent pour ne pas confondre toute une société avec deux ou trois personnes et c'est ce pourquoi je ne confonds pas non plus une institution d'avec les fonctions occupées, surtout si une fonction se voit être utilisée à des fins de vengeance personnelle "pour régler des comptes", après avoir véhicule une sale image faisant de vous une persona non grata. Donc non c'est un peu plus complexe que de me demander de laisser tomber ce que je fais.
"En tout cas, c’est clair que ceux qui vous ont suivi , ils ont vraiment galéré avec vous, vous leur avez donné du fil à retordre !! "
Je ne le crois pas. J'ai vu 3 personnes 1 fois chacune de 2017 à fin 2023 (côté CER). A quel niveau se trouve le fil à retordre ? Activ'créa fut un succès, Pôle Emploi (contextuellement à cette période) n'a pas suivi alors que je rappelle que c'est PE qui m'a positionné sur cette prestation. A ce titre, mon étude de marché a été validée. Côté CER, ils ignorent complètement tout ça, comme si les bonnes actions entreprises n'avaient jamais existé. En fait c'est bien simple, je vous pose la question, du fil à retordre en quoi ? JE n'ai pas eu de convocation de 2007 à 2017 (en 2017 pourtant j'ai bien rapporté avoir été validé chez Activ'créa et un CER basé sur suivi pro), à l'issu de cet entretien j'ai demandé quand allait on me convoquer à nouveau ? La petite jeune m'a répondu "entre 6 mois et 1 an" résultat ? 5 ans, entre 2017 et 2022, aucune convocation CER. Alors ? Du fil à retordre ? A quel niveau ? En fait, comme si ça emmerdait, mais dès que j'ai un coup de moins bien là c'est exploité uniquement en leur sens. Ce n'est pas normal.
J'ai envie de dire, le problème n'est pas là. Malheureusement vous inversez totalement la problématique. Le problème ne sont pas mes activités, mais un certain dossier marqué au fer rouge, glanant pour justifier cela de mauvaises raisons. Mais je n'irai pas plus loin dans cette affaire puisqu'il y a une procédure judiciaire en cours et que publiquement, je préfère m'abstenir d'en parler. Ce qui n'empêche pas de parler du dispositif RSA en lui-même, évidemment.
Un cercle vicieux fut observé à juste titre, l'accent est mis sur l'accompagnement des nouveaux venus. J'aimerais être clair, cela se comprend car statistiquement il est reconnu qu'une personne proche de l'emploi a plus de chances de s'en "sortir vite". Il y a deux conséquences : les personnes plus éloignées ou bien ayant davantage d'ancienneté dans le dispositif seront poussées en file passive. La seconde conséquence est qu'il faudra plus de temps à consacrer par bénéficiaire, ce qui n'est plus vraiment permis. Tout le dispositif était surtout tourné vers le court terme. Il y a eu quelques progrès, mais je pense qu'il y a beaucoup de préjugés encore et donc stigmatisation à l'encontre des personnes ayant eu un parcours accidenté. Il y a aussi que du côté des professionnels, moins on s'occupe d'un dossier, moins on a envie de s'en occuper. Sur le plan des stats, le fait même que les stats démontrent que les gens qui viennent de tomber dans le RSA sont plus à même d'en sortir met justement en exergue cette problématique : cela renforce des préjugés, ce qui renforce ces stats est justement la façon dont jusqu'alors, systémiquement, les dossiers étaient traités fonction de leur ancienneté et autres critères.
Mais me concernant, de grâce, n'allez pas imaginer que c'est la nature même de mes activités professionnelles qui pose problème. A ce niveau, je suis dans les clous des transformations des enjeux de société, je suis en phase avec un marché en profonde mutation(s). Il n'y a AUCUNE RAISON de ne pas me permettre un accompagnement digne de ce nom. Encore une fois, le vrai problème n'est pas là. Pour le dire simple, si vous êtes suivi par des personnes qui véhiculent un sentiment d'inquiétude à votre encontre ou que quelqu'un fait savoir ne pas se sentir en sécurité avec vous (par exemple), cela entretien un sentiment de suspicion parmi une équipe, cela véhicule des informations sensibles parmi les partenaires, en d'autres termes, voilà comment vous glissez pour être littéralement mis "au ban de la société". Après je suis assez intelligent pour ne pas confondre toute une société avec deux ou trois personnes et c'est ce pourquoi je ne confonds pas non plus une institution d'avec les fonctions occupées, surtout si une fonction se voit être utilisée à des fins de vengeance personnelle "pour régler des comptes", après avoir véhicule une sale image faisant de vous une persona non grata. Donc non c'est un peu plus complexe que de me demander de laisser tomber ce que je fais.
"En tout cas, c’est clair que ceux qui vous ont suivi , ils ont vraiment galéré avec vous, vous leur avez donné du fil à retordre !! "
Je ne le crois pas. J'ai vu 3 personnes 1 fois chacune de 2017 à fin 2023 (côté CER). A quel niveau se trouve le fil à retordre ? Activ'créa fut un succès, Pôle Emploi (contextuellement à cette période) n'a pas suivi alors que je rappelle que c'est PE qui m'a positionné sur cette prestation. A ce titre, mon étude de marché a été validée. Côté CER, ils ignorent complètement tout ça, comme si les bonnes actions entreprises n'avaient jamais existé. En fait c'est bien simple, je vous pose la question, du fil à retordre en quoi ? JE n'ai pas eu de convocation de 2007 à 2017 (en 2017 pourtant j'ai bien rapporté avoir été validé chez Activ'créa et un CER basé sur suivi pro), à l'issu de cet entretien j'ai demandé quand allait on me convoquer à nouveau ? La petite jeune m'a répondu "entre 6 mois et 1 an" résultat ? 5 ans, entre 2017 et 2022, aucune convocation CER. Alors ? Du fil à retordre ? A quel niveau ? En fait, comme si ça emmerdait, mais dès que j'ai un coup de moins bien là c'est exploité uniquement en leur sens. Ce n'est pas normal.
Dernière modification par Po3m le 12 oct. 2025 20:03, modifié 1 fois.
Re: Du confinement à la carotte...
De mon côté j'admets l'échec à trouver comment mieux communiquer, mais admettez que l'on ne m'a pas facilité par les choses au vu du contexte.
Il y a bien des années j'ai compris que je devais laisser tomber l'idée de vouloir rassurer : ça ne sert à rien. Plus vous cherchez à rassurer, c'est comme se justifier, à la longue ça se retourne contre vous. Je me suis réellement cassé la tête, là pour le coup j'ai eu du fil à retordre, pour trouver comment faire. Mais un certain piège s'est refermé sur moi, et là je ne peux pas étayer ce piège car trop sensible. C'est regrettable. Beaucoup de mépris et un réel malentendu.
Vous confondez autonomie et indépendance. Je n'ai pas encore mon indépendance financière, mais je suis bel et bien une personne autonome.
Il y a bien des années j'ai compris que je devais laisser tomber l'idée de vouloir rassurer : ça ne sert à rien. Plus vous cherchez à rassurer, c'est comme se justifier, à la longue ça se retourne contre vous. Je me suis réellement cassé la tête, là pour le coup j'ai eu du fil à retordre, pour trouver comment faire. Mais un certain piège s'est refermé sur moi, et là je ne peux pas étayer ce piège car trop sensible. C'est regrettable. Beaucoup de mépris et un réel malentendu.
Vous confondez autonomie et indépendance. Je n'ai pas encore mon indépendance financière, mais je suis bel et bien une personne autonome.
Re: Du confinement à la carotte...
"votre post est public donc je me permets de donner mon point de vue !"
Absolument. Vous êtes libre d'exprimer votre opinion, votre sentiment. Que je comprends mais connaissant tous les tenants à aboutissants pour ce qui est de mon cas, évidemment je ne peux pas accepter ce qui relève pour moi de l'inacceptable.
" vous écrivez très très bien"
Merci ! Vous pourriez me dire que l'écriture tient aussi du hobbie, et cela peut-être vrai si vous vous y adonnez dans votre temps libre.
Ce que je souhaite vous donner à comprendre, c'est que mon temps propre n'est pas libre. Et que si je travaille à mieux m'exprimer, que ce soit par l'écriture ou la parole, c'est pas seulement parce que cela me procurerait un certain plaisir, c'est aussi par nécessité, parce que professionnellement, c'est utile. Alors on pourrait me dire qu'il suffit d'utiliser des auto-correcteurs, et qu'aujourd'hui il faut vraiment le vouloir pour faire des fautes au vu des outils à notre disposition, sans même parler de chatgpt et consorts, mais cela ne dispense que pour progresser dans quelque domaine que ce soit, il faut en passer par le travail. Je suis à ce titre encore bien loin du compte...
Pour répondre à votre histoire de Pâtisserie, je n'ai jamais fait de black. En revanche, j'ai déjà travaillé pour autrui gratuitement.
"vous êtes dans le système depuis plus de 20 ans" : c'est factuellement faux, si j'ôte les années où l'on a voulu prendre pour acquis que je devais être en psychiatrie à vie (??? pardon mais ils ne sont pas médecin, pour qui se prennent ils ?) la réalité et qu'on peut considérer un bon gros 5 ans... et encore je gonfle... pas 20 ans. Donc 15 années en fond de tiroir.
" vous ne pouvez leurrer ceux qui vous lisent"
Je ne cherche pas à leurrer. Je ne fais pas non plus à autrui ce que l'on m'a fait. Je ne suis pas là pour salir les personnes concernées.
Ici est une forme de témoignage. Donner à comprendre que si le terme "réciproque" est bafoué (contrat d'engagement réciproque) que si le terme même d'engagement pose problème, que si le fait même de négocier un contrat n'est pas respecté parce que vous seriez sensée être à la place de courber l'échine et de dire amen à tout ? Je ne crois pas qu'il s'agisse là de ce qui fonde le contrat social et ici, le CER.
Vous dites que je donne le sentiment qu'ils me doivent quelque chose ? J'espère à minima recevoir un jour des excuses sincères, car je ne mérite pas la façon dont j'ai été traité, et à ce titre, personne ne le mérite. La société DOIT changer. Le regard porté à l'encontre des oubliés aussi.
Absolument. Vous êtes libre d'exprimer votre opinion, votre sentiment. Que je comprends mais connaissant tous les tenants à aboutissants pour ce qui est de mon cas, évidemment je ne peux pas accepter ce qui relève pour moi de l'inacceptable.
" vous écrivez très très bien"
Merci ! Vous pourriez me dire que l'écriture tient aussi du hobbie, et cela peut-être vrai si vous vous y adonnez dans votre temps libre.
Ce que je souhaite vous donner à comprendre, c'est que mon temps propre n'est pas libre. Et que si je travaille à mieux m'exprimer, que ce soit par l'écriture ou la parole, c'est pas seulement parce que cela me procurerait un certain plaisir, c'est aussi par nécessité, parce que professionnellement, c'est utile. Alors on pourrait me dire qu'il suffit d'utiliser des auto-correcteurs, et qu'aujourd'hui il faut vraiment le vouloir pour faire des fautes au vu des outils à notre disposition, sans même parler de chatgpt et consorts, mais cela ne dispense que pour progresser dans quelque domaine que ce soit, il faut en passer par le travail. Je suis à ce titre encore bien loin du compte...
Pour répondre à votre histoire de Pâtisserie, je n'ai jamais fait de black. En revanche, j'ai déjà travaillé pour autrui gratuitement.
"vous êtes dans le système depuis plus de 20 ans" : c'est factuellement faux, si j'ôte les années où l'on a voulu prendre pour acquis que je devais être en psychiatrie à vie (??? pardon mais ils ne sont pas médecin, pour qui se prennent ils ?) la réalité et qu'on peut considérer un bon gros 5 ans... et encore je gonfle... pas 20 ans. Donc 15 années en fond de tiroir.
" vous ne pouvez leurrer ceux qui vous lisent"
Je ne cherche pas à leurrer. Je ne fais pas non plus à autrui ce que l'on m'a fait. Je ne suis pas là pour salir les personnes concernées.
Ici est une forme de témoignage. Donner à comprendre que si le terme "réciproque" est bafoué (contrat d'engagement réciproque) que si le terme même d'engagement pose problème, que si le fait même de négocier un contrat n'est pas respecté parce que vous seriez sensée être à la place de courber l'échine et de dire amen à tout ? Je ne crois pas qu'il s'agisse là de ce qui fonde le contrat social et ici, le CER.
Vous dites que je donne le sentiment qu'ils me doivent quelque chose ? J'espère à minima recevoir un jour des excuses sincères, car je ne mérite pas la façon dont j'ai été traité, et à ce titre, personne ne le mérite. La société DOIT changer. Le regard porté à l'encontre des oubliés aussi.
Re: Du confinement à la carotte...
Bonjour,
Déjà, vous ne me lirez jamais me gargariser qu'une personne aille en prison, pour quelque cause que ce soit.
C'est différent que de pointer du doigt des injustices, des abus, des faits de société ou de l'information parfois à propos d'individus occupant des postes à haute responsabilité.
Un exemple, à propos du vol commis au Louvre.
Ce qu'il faut savoir est QUI se trouve à l'origine de cette énorme faille de sécurité.
Jean-Luc MARTINEZ, alors Président-directeur du Louvre (2013-2021), c’est LUI qui a :
lancé un grand plan de modernisation des présentations permanentes, voulu rendre accessibles des trésors jusque-là peu visibles, poussé pour une nouvelle scénographie des Joyaux de la Couronne, dans un esprit « musée du XXle siècle".
C'est sous SON impulsion politique et muséographique directe que le projet de rénovation + nouvelles vitrines a été validé.
Martinez est connu pour cette phrase :
« Un musée ne doit pas être un coffre-fort, mais un lieu de transmission. »
* Il préférait visibilité + mise en valeur à une vitrine spectaculaire blindée qui fait
"coffre".
Mais il n'était pas seul :
la conservatrice responsable a joué un rôle décisif.
Il faut connaître la "gardienne" des joyaux :
* Béatrice de Chancel-Bardelot
Conservatrice générale du patrimoine, responsable des objets d'art.
C'est elle qui gère les joyaux, les couronnes, les parures, etc.
Elle a :
proposé la nouvelle disposition, collaboré à la création des trois vitrines centrales, voulu regrouper les joyaux (avant, ils étaient dispersés), validé la hauteur, la lumière, l'angle de vue... et donc forcément le type de vitrine.
Elle a même donné cette phrase en interview (glaciale pour les fans de sécurité visible) :
« Les bijoux sont faits pour être vus, pas cachés. »
Qui a conçu les vitrines physiquement ?
Nom à connaître :
* Juan Felipe Alarcón, architecte/ scénographe.
Il a été mandaté pour dessiner les nouvelles vitrines de la Galerie d'Apollon.
Il a travaillé sur :
V l'esthétique, V la lumière,
V la transparence, V et... l'intégration INVISIBLE des sécurités (en partenariat avec une société spécialisée).
Donc : il a contribué à la disparition des vitrines "coffre apparent" pour une sécurité "fantôme". Il existe des témoignages de responsables ou d’agents de sécurité internes qui étaient furieux de ce choix.
Il faut savoir que les bijoux dans l'ancienne vitrine aux allures de coffre-fort, dans le cas d'une alerte, rentrait automatiquement les bijoux dans le socle coffré et blindé. Ce n'était plus le cas dans la nouvelle version. Pourtant, si ce système avait été conservé, ce vol aurait été impossible.
Détail croustillant :
Jean-Luc Martinez lui-même a déjà été mis en examen en 2022 ... pour trafic d'antiquités / complicité de fraude en bande organisée (affaire des antiquités du Louvre-Abu Dhabi).
Donc ce monsieur a contribué à grandement affaiblir la sécurité.
Une mise en examen en 2022 pour trafic d'antiquités...
Puis, ce vol commis en 2025, dont le monsieur en question n'a probablement aucun lien, évidemment, avec les auteurs de ce méfait.
Mais vraisemblablement, les responsables directs d'un niveau de sécurité plus que discutable, et cause de ce vol, sont connus.
Alors, dans ce cas de figure, ce n'est pas de la délation, c'est connu, c'est public. C'est de l'information.
Déjà, vous ne me lirez jamais me gargariser qu'une personne aille en prison, pour quelque cause que ce soit.
C'est différent que de pointer du doigt des injustices, des abus, des faits de société ou de l'information parfois à propos d'individus occupant des postes à haute responsabilité.
Un exemple, à propos du vol commis au Louvre.
Ce qu'il faut savoir est QUI se trouve à l'origine de cette énorme faille de sécurité.
Jean-Luc MARTINEZ, alors Président-directeur du Louvre (2013-2021), c’est LUI qui a :
lancé un grand plan de modernisation des présentations permanentes, voulu rendre accessibles des trésors jusque-là peu visibles, poussé pour une nouvelle scénographie des Joyaux de la Couronne, dans un esprit « musée du XXle siècle".
C'est sous SON impulsion politique et muséographique directe que le projet de rénovation + nouvelles vitrines a été validé.
Martinez est connu pour cette phrase :
« Un musée ne doit pas être un coffre-fort, mais un lieu de transmission. »
* Il préférait visibilité + mise en valeur à une vitrine spectaculaire blindée qui fait
"coffre".
Mais il n'était pas seul :
la conservatrice responsable a joué un rôle décisif.
Il faut connaître la "gardienne" des joyaux :
* Béatrice de Chancel-Bardelot
Conservatrice générale du patrimoine, responsable des objets d'art.
C'est elle qui gère les joyaux, les couronnes, les parures, etc.
Elle a :
proposé la nouvelle disposition, collaboré à la création des trois vitrines centrales, voulu regrouper les joyaux (avant, ils étaient dispersés), validé la hauteur, la lumière, l'angle de vue... et donc forcément le type de vitrine.
Elle a même donné cette phrase en interview (glaciale pour les fans de sécurité visible) :
« Les bijoux sont faits pour être vus, pas cachés. »
Qui a conçu les vitrines physiquement ?
Nom à connaître :
* Juan Felipe Alarcón, architecte/ scénographe.
Il a été mandaté pour dessiner les nouvelles vitrines de la Galerie d'Apollon.
Il a travaillé sur :
V l'esthétique, V la lumière,
V la transparence, V et... l'intégration INVISIBLE des sécurités (en partenariat avec une société spécialisée).
Donc : il a contribué à la disparition des vitrines "coffre apparent" pour une sécurité "fantôme". Il existe des témoignages de responsables ou d’agents de sécurité internes qui étaient furieux de ce choix.
Il faut savoir que les bijoux dans l'ancienne vitrine aux allures de coffre-fort, dans le cas d'une alerte, rentrait automatiquement les bijoux dans le socle coffré et blindé. Ce n'était plus le cas dans la nouvelle version. Pourtant, si ce système avait été conservé, ce vol aurait été impossible.
Détail croustillant :
Jean-Luc Martinez lui-même a déjà été mis en examen en 2022 ... pour trafic d'antiquités / complicité de fraude en bande organisée (affaire des antiquités du Louvre-Abu Dhabi).
Donc ce monsieur a contribué à grandement affaiblir la sécurité.
Une mise en examen en 2022 pour trafic d'antiquités...
Puis, ce vol commis en 2025, dont le monsieur en question n'a probablement aucun lien, évidemment, avec les auteurs de ce méfait.
Mais vraisemblablement, les responsables directs d'un niveau de sécurité plus que discutable, et cause de ce vol, sont connus.
Alors, dans ce cas de figure, ce n'est pas de la délation, c'est connu, c'est public. C'est de l'information.
Re: Du confinement à la carotte...
Il parait que je fais peur...
Bon.
Heureusement, j'ai de l'humour. Bien.
Alors, joyeux Halloween quand même. Là, c'est le jour où si tu as peur, c'est normal hein, tout va bien : c'est Halloween !
Pour la peine et pour la blague, je vous montre un petit test.
Je suis parti de ça :
Ici, un petit tracé type "patron" pour exprimer un peu l'idée (tracé d'abord grossièrement à la souris) :
Résultat final :
PS voilà je ne me plains pas mais je suis toujours sans le sou, zéro revenu. Bon j'évite d'avoir l'air de faire la manche, je fais tout pour m'en sortir via mes travaux issus de ce que je sais faire de mieux : je ne vais quand même pas m'en excuser et ce n'est pas du loisir, c'est du travail. Quand ce que tu fais dépasse les 10h par jour, c'est du travail.
Oui je sais, ce n'est pas une citrouille mais un poivron... Bah, on s'en fiche, ce n'est pas grave : c'est un poivron-souris qui dort au clair de lune !
Il n'est pas tant effrayant que surtout mignon, au bout du compte...
Bon.
Heureusement, j'ai de l'humour. Bien.
Alors, joyeux Halloween quand même. Là, c'est le jour où si tu as peur, c'est normal hein, tout va bien : c'est Halloween !
Pour la peine et pour la blague, je vous montre un petit test.
Je suis parti de ça :
Ici, un petit tracé type "patron" pour exprimer un peu l'idée (tracé d'abord grossièrement à la souris) :
Résultat final :
PS voilà je ne me plains pas mais je suis toujours sans le sou, zéro revenu. Bon j'évite d'avoir l'air de faire la manche, je fais tout pour m'en sortir via mes travaux issus de ce que je sais faire de mieux : je ne vais quand même pas m'en excuser et ce n'est pas du loisir, c'est du travail. Quand ce que tu fais dépasse les 10h par jour, c'est du travail.
Oui je sais, ce n'est pas une citrouille mais un poivron... Bah, on s'en fiche, ce n'est pas grave : c'est un poivron-souris qui dort au clair de lune !
Il n'est pas tant effrayant que surtout mignon, au bout du compte...
Re: Du confinement à la carotte...
Je sais bien que le prix de l'or flambe mais perso le seul casse que je souhaite commettre, c'est simplement VIA ce que je fais de mes activités légales. Je ne suis pas un délinquant quoi, merde ! Merci quand même aux deux ou trois personnes à l'origine de ma radiation RSA... alors non pas que j'ai la rancune tenace mais je n'y peux rien, je suis doté d'une mémoire d'éléphant.