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Du confinement à la carotte...

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Po3m
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Re: Du confinement à la carotte...

Message non lu par Po3m » 04 févr. 2025 03:00

Bonjour,

Bien sûr, j'avance sur mon système de reconnaissance de formes.
Les explications seront courtes, c'est le test d'un détourage après débruitage (qui n'est qu'un test, la méthode sera considérablement améliorée, je la commencerai dès demain). Alors il y a 2 types de mémoires dans mon principe pour l'heure, la mémoire des contours de formes qui ressemblera un certain nombre de tokens (similaire à...) et la mémoire spatiale qui permettra de zoner ces contours. Un système prédictif sera également étudié.

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Ce qui n'est pas facile et ce pourquoi j'en ai plein la tête, ce n'est pas le projet lui-même qui en soi ne peut contribuer qu'à augmenter considérablement mon expertise car j'étudie en même temps. Ce qui m'en met plein la tête c'est cette période difficile que je traverse, ce mois-ci j'ai 100€ pour vivre (pour tout, manger, factures, loyer, évidemment c'est intenable, mais bon). Ouais c'est leur politique de sanction, j'ai le RSA sucré à 80% pendant que je trime comme un dingue à aller me coucher à 3/5h du mat. Que voulez-vous, c'est le monde à l'envers...

Je me dis que si je supporte cette charge mentale et cette épreuve, après tout ce que j'ai traversé avant, c'est bon... je suis prêt.

Po3m
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Re: Du confinement à la carotte...

Message non lu par Po3m » 23 févr. 2025 01:51

Bonjour,

J'ai du relâcher la pression et pour "me détendre l'esprit" je développe depuis avant hier un petit jeu-vidéo, inspiré de grands classiques des années 70/80. La mécanique de gameplay commence à prendre forme (les graphismes sont volontairement basiques pour le moment).

Il s'agit d'une forme de Tetris "revisité", sous une forme totalement déconstruite.

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Je pense aller au bout de ce petit projet qui n'est pour moi qu'une parenthèse.
Version navigateur mais probablement que j'adapterai pour smartphone/tablette.

Po3m
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Re: Du confinement à la carotte...

Message non lu par Po3m » 01 mars 2025 16:19

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"Tu nous fais tous Chier, Volodymyr ! Moi, le premier ! Regarde, par TA FAUTE, j'ai la CHIASSE moi maintenant !"

Je pense que Trump a fait son gros caca nerveux, c'est le moins qu'on puisse dire... La situation l'énerve à n'en plus finir ! Mais surtout, il s'agit d'un numéro savamment calculé, une farce ! Son seul intérêt est guidé par le monde de la finance, il ne veut pas injecter d'argent pour soutenir l’Ukraine. Il est dommage d’attiser la peur en évoquant la menace nucléaire pour culpabiliser Zelensky en le rendant responsable des conséquences possibles.

Honte à Trump !

(Le plus triste dans tout ça, la réalité dépasse de loin la caricature).

Po3m
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Re: Du confinement à la carotte...

Message non lu par Po3m » 15 mars 2025 17:22

Bonjour,

Une médecin-psychiatre qui travaille à l'hôpital public et dont je tairai le nom par discrétion, à qui j'ai écrit, m'a répondu ceci :

"Ce que j'en comprends de votre propos, c'est la psychiatrisation de la pauvreté ?
J'ai déjà reçu des personnes qui effectivement n'avaient pas de troubles psychiques entraînant un handicap justifiant une demande d'AAH et pourtant envoyées au CMP par l'assistante sociale dans ce but."

C'est particulièrement rassurant de lire que les médecins ont conscience qu'ils "peuvent être" utilisés, que des psychiatres ont conscience, au vu des multiples enjeux au sein d'une société complexe (qui contient ses paradoxes) peuvent pousser les professionnels du social à instrumentaliser le secteur de la Santé.

Mon combat personnel avance, petit pas après petit pas, mais sûrement.

NATTIE
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Re: Du confinement à la carotte...

Message non lu par NATTIE » 16 mars 2025 20:45

Bonsoir Po3m ,

Contente de savoir que vous avancez dans ce qui vous tient à cœur…

Après il est vrai que les services sociaux du CCAS ou le CMP sont amenés à diriger des personnes en grande précarité vers des problématiques psy, 1/ certaines personnes traînant depuis des années dans le système RSA qui s’avère inefficace pour elles suite à des parcours de vie souvent qui les ont trop malmenés , un retour vers l’emploi n’est pas toujours d’actualité, il y a un enlisement qui les affecte énormément 2/ beaucoup de ces personnes en difficulté sont demandeuses de l’allocation AAH qui est d’abord financièrement plus « rémunératrice », plus souple, « avantageuse » …

En plus, dans l’invalidité, il y a 3 catégories qui permettent à la personne en situation de handicap d’avoir un suivi qui n’empêchera pas si elle le peut une réévaluation de sa situation.

Vous n’êtes pas sans savoir qu’une personne vivant au minima sociaux , dans une certaine pauvreté, forcément tout cela a des répercussions sur son état mental et physique ( si la tête ne va pas bien, le corps non plus et vice versa) !! Donc il n’est pas étonnant qu’elle soit aussi dirigée vers plus de médecine ( sans compter la malbouffe….) , vers des spécialistes de la santé mentale au vue de tout ce qu’elle doit endurer dans ce monde capitaliste, de plus en plus matérialiste où chacun est jugé sur du paraître, des diplômes et sa carte bancaire !!!!!! J’avoue, je suis un peu cynique mais nous n’en sommes pas loin !!

Po3m
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Re: Du confinement à la carotte...

Message non lu par Po3m » 25 avr. 2025 08:48

Bonjour,

Bien, on se demande ce qu'il faut faire "à l'école" pour la santé mentale des jeunes parfois en grande souffrance.

Anecdote REELLE qui m'a été rapportée par une connaissance qui travaille à l'école.
Déjà, la directrice est quelqu'un qui est dans sa dernière année avant la retraite. Elle est aussi prof des écoles donc gère une ou des classes.
1er dysfonctionnement : avec elle, l'aesh ne peut pas travailler aux côtés de l'enfant, elle est mise "au fond de la classe" et si l'élève a besoin, doit l'appeler. Donc un peu comme si l'aesh était au dépend et service de l'élève. On parle d'élève dont on a décidé qu'ils ont besoin de l'aide d'un adulte. Par définition, un enfant n'est pas responsable, et dans la grande majorité des cas, un élève n'aura pas le recul nécessaire pour déterminer s'il a besoin ou non d'un aesh. Ce n'est pas l'élève qui décide. D'un autre côté, l'aesh signe un contrat et il a une fonction à occuper. Que l'élève soit d'accord ou non, si l'aesh est désigné pour être aux côtés de l'enfant, l'enfant n'a pas prendre la responsabilité des décisions qui ont mené à cet accompagnement. De plus, un professeur ou un directeur n'a PAS les pleins pouvoirs, n'a pas l'autorité pour empêcher qui que ce soit de travailler, d'occuper son poste. Sans quoi cela constitue une FAUTE GRAVE. Néanmoins, la personne n'a pas agi pour poser des problèmes à la directrice, mais du coup l'a mal vécu, passe l'année "mise au placard" sous le prétexte que selon la directrice : "C'est à l'élève d'appeler l'aesh s'il a besoin". Ce qui est faux. Pensez vous qu'un élève "osera" se lever, traverser la classe "devant ses camarades" pour demander du soutien à un adulte qui doit s'occuper comme il peut "au fond de la classe" ?

Voilà la réalité de certains dysfonctionnements types qui sont tout à fait réels, et des anecdotes comme ça il n'y en manque pas.

Où je veux en venir ? J'y viens justement. Cet établissement est en campagne. Il y a un intérêt à ce que tout ce qui pourrait ne pas aller soit mis sous le tapis. Quelque soit l'école, même une petite, SURTOUT une petite école, la réputation est importante. Il FAUT faire venir les parents, il faut qu'ils y inscrivent leurs enfants. Et dans ce type d'établissement, il y a un intérêt à "SURNOTER" les élèves, même s'ils n'ont pas vraiment le niveau, et même s'il y a une incompétence tacite qui s'organise entre les adultes encadrants, profs, directeur, qui forment parfois un microcosme déviant.


Dans ce même établissement, on parle de primaire, un jeune élève était entré dans l'établissement avec un couteau. Jeune d'une 10ène d'années.
Grande lame dans son blouson ou manteau. Pointe vers le haut, s'il était tombé, il aurait pu se perforer lui-même. L'aesh a retiré le couteau de cet élève dont elle n'avait pas la charge. Les choses ont été vite, l'élève de suite désigné par ses camarades, les adultes (ou plutôt une adulte) a réagi rapidement. L'aesh a rapporté cela à la directrice, réaction de cette dernière ? S'esclaffe de rire...

Je pourrais très bien m'arrêter là. Mais allons un peu plus dans l'analyse.
Cette directrice est une personne défaillante, dans sa dernière année, aux dires de l'aesh, se trouve "en burn-out", elle est en dépression.
Cette directrice "oblige" l'aesh "à ne pas travailler", ce qui en soi constitue une faute.
Cette même directrice dédramatise une situation qui aurait pu mal tourner et bien sûr, absolument rien ne sera fait.
Cet élève qui est venu en possession d'un couteau ? La directrice ne l'a pas vu de ses propres yeux, donc ça n'a jamais existé, et quand bien même elle l'aurait vu, ça n'aurait pas davantage existé, vous voyez le genre ?

Et pendant ce temps... j'entends les médias qui évoquent "la responsabilité des parents", "la démission parentale"... de suspension d'allocs et j'en passe.
La réalité est un peu plus complexe que ça.

Po3m
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Re: Du confinement à la carotte...

Message non lu par Po3m » 25 avr. 2025 09:10

NATTIE a écrit :
16 mars 2025 20:45
Bonsoir Po3m ,

Contente de savoir que vous avancez dans ce qui vous tient à cœur…

Après il est vrai que les services sociaux du CCAS ou le CMP sont amenés à diriger des personnes en grande précarité vers des problématiques psy, 1/ certaines personnes traînant depuis des années dans le système RSA qui s’avère inefficace pour elles suite à des parcours de vie souvent qui les ont trop malmenés , un retour vers l’emploi n’est pas toujours d’actualité, il y a un enlisement qui les affecte énormément 2/ beaucoup de ces personnes en difficulté sont demandeuses de l’allocation AAH qui est d’abord financièrement plus « rémunératrice », plus souple, « avantageuse » …

En plus, dans l’invalidité, il y a 3 catégories qui permettent à la personne en situation de handicap d’avoir un suivi qui n’empêchera pas si elle le peut une réévaluation de sa situation.

Vous n’êtes pas sans savoir qu’une personne vivant au minima sociaux , dans une certaine pauvreté, forcément tout cela a des répercussions sur son état mental et physique ( si la tête ne va pas bien, le corps non plus et vice versa) !! Donc il n’est pas étonnant qu’elle soit aussi dirigée vers plus de médecine ( sans compter la malbouffe….) , vers des spécialistes de la santé mentale au vue de tout ce qu’elle doit endurer dans ce monde capitaliste, de plus en plus matérialiste où chacun est jugé sur du paraître, des diplômes et sa carte bancaire !!!!!! J’avoue, je suis un peu cynique mais nous n’en sommes pas loin !!
Bonjour,

Bien sûr mais il ne s'agit pas de cela, et la médecin psychiatre l'a bien compris.
Je ne parle pas de l'intérêt à suivre, accompagner une population dans la grande précarité pour y apporter des soins nécessaires.
Je parle de personnes/services, qui instrumentalisent la santé, tentent de "profiler" certaines personnes désignées comme "inquiétantes", et passant outre l'état de droit, "obligent" à des soins "à la place des médecins". En fait, je parle de services sociaux qui utilisent le secteur psychiatrique comme "garde-fous" au sens propre du terme. Mais voilà, encore une fois nous sommes dans un état de droits.

Evidemment, nous sommes dans une société où l'on voit des actes de folie et ça fait peur. Mais déjà, quand on travaille dans un service où l'on doit utiliser des outils de menace et de sanction, que l'on ne s'étonne pas qu'en réponse des personnes se défendent, parfois mal, et que du coup les professionnels ne se sentent pas en sécurité. Je ne sais pas si vous comprenez le fond de mon propos. Néanmoins, il y a aussi "un droit à s'en sortir", la psychiatrie n'est pas la prison, n'est pas une condamnation, n'est pas faite pour systématiquement "suivre à vie" une personne. Dans mon cas, je rappelle que je n'ai JAMAIS EU DE TRAITEMENT et fin 2023 (dernier entretien en date) on m'a demandé (encore) si je prenais bien mon traitement (dans le cadre du CER rsa, ces personnes ne réalisent même pas que ce bluff vis à vis de moi peut me mener à légitimement avoir droit de recours judiciaire). Ce qui est n'importe quoi que de me traiter "comme un patient" dont l'accompagnement à pris fin EN BON TERME en 2007 (!!!)... Je N'AI JAMAIS eu de traitement mais je paie le prix ENCORE AUJOURD'HUI d'avoir traversé un épisode de ma vie très dur qui concerne 2004 à 2006 (même si bien sûr, depuis, vous pensez bien que j'ai connu d'autres moments difficiles, ces personnes appellent mon dossier "le gros doss", en vrai monté en épingle... d'où mes ressentiments à propos). J'ai aussi un minimum d'amour propre, et j'ai le sentiment qu'on me reproche le fait de m'en être sorti... comme si ce droit ne devait pas exister. J'ai commis l'erreur de re-signer un contrat santé... qui ne me sert à rien. C'est juste une signature sur "un torche-cul", mais c'est la dernière fois.

NATTIE
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Re: Du confinement à la carotte...

Message non lu par NATTIE » 26 avr. 2025 01:06

Bonsoir,

J’espère que vous allez bien ?
Vous avez l’air remonté comme un coucou :lol:

Ne croyez pas que toutes les situations « Rsates » sont semblables à la vôtre, chaque personne a son histoire et malheureusement la vôtre est particulière à ce niveau là !
Vous aurez beau attaquer, diaboliser le corps de métiers des AS, la plupart sont des femmes extraordinaires même si rien n’est parfait en ce monde .

On écoute , on sent quand même chez vous de grands reproches réitérés , d’énormes aigreurs qui sont LÉGITIMES , je n’en doute pas du tout mais comme dans un labyrinthe où vous ne pourriez vous extraire , dans ce système qui vous maltraite , dans lequel vous y êtes encore et encore depuis de très longues décennies en nous répétant inlassablement les conditions abominables faites de sanctions, de menaces…. pour se maintenir dans ces prestations minimales d’état !!!

Et alors dans vos écrits , on entend aussi autre chose qui en dit long sur vos ressentis sur Vous !

Vous êtes trop focalisé sur ce système que vous ne pourrez changer seul, et gaspiller cette énergie pleine de colère ( le passé est le passé…. il n’y a aucune baguette magique pour réparer des événements néfastes et l’image que vous leur renvoyez n’a plus d’importance ) .
Peut être se recentrer que sur VOUS, sur ce que vous êtes vraiment en dehors de cela et soyez indulgent envers vous même !!!!!

La maltraitance « institutionnelle  » , vous la dénoncez et votre message est compris !!!

NATTIE
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Re: Du confinement à la carotte...

Message non lu par NATTIE » 26 avr. 2025 02:10

Oui vous avez raison également sur ces dysfonctionnements dans l’éducation nationale avec des directeurs.rices, quelquefois , complètement à côté de la plaque (et c’est un euphémisme) ! Et la PJJ aussi dans l’affreuse affaire à laquelle je pense….

Je parle de ce Fait Divers , comme on dit , à Chambon sur Lignon où dans une école privée à perte de vitesse , le directeur du lycée avait admis au sein de son établissement mixte, un jeune élève déjà connu pour des actes très graves !!
La direction avait caché jusqu’au bout, même à la justice jusqu’à ce qu’elle les mette au pied du mur pour avouer ce qu’ils savaient dés le début sur le passé de cet adolescent !
Les parents de cet individu ont d’ailleurs écrit un livre
« Parents à perpétuité  »

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Re: Du confinement à la carotte...

Message non lu par Po3m » 26 avr. 2025 22:31

Bonsoir,

"Vous aurez beau attaquer, diaboliser le corps de métiers des AS..."

Alors là, vous n'y êtes pas du tout. C'est même l'inverse, un extrait du dernier courriel que j'ai adressé début de cette année :
"J’ai suivi des ateliers pour retrouver confiance en moi, m’affirmer et développer mon estime de soi. Ce n’est pas pour être confronté à des personnes influencées par un dossier obsolète. Lors de mon dernier entretien, j’ai eu la sensation que l’on me présentait sous un très mauvais jour lors du briefing. Si c’est ainsi que "les nouvelles têtes" que je rencontre sont ainsi briefées, comment voulez-vous que je puisse venir sereinement, sachant pour quoi on me fait passer ? Pour ce que je ne suis pas !

(...)

Mon objectif est d’apporter un éclairage sur mon dossier pour qu’il aide à poser un regard plus positif sur moi et qu’il encourage une meilleure compréhension mutuelle. J’espère sincèrement qu’il est possible de mettre fin à cette diabolisation implicite à mon égard. "


C'est presque cocasse que vous ayez le sentiment du contraire...
Si vous saviez, si vous étiez là comme une petite souris lors de ces "entretiens" qui tiennent plus de la farce qu'autre chose.

Sinon, ma foi ça va. Je ne fais que travailler même si ça peut paraître étonnant dans ce contexte, mais toujours pour pas un rond.
Merci de m'avoir répondu.

Non je ne m'attaque pas à "un corps de métier", je n'en veux pas à des exécutants même s'ils se donnent bonne conscience où pensent agir à raison.
Je suis bien conscient qu'il est question de décisions politiques.

Bonne soirée.

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