En mars 2020 est née l’association Stop Fisha, afin de venir en aide aux victimes de pornodivulgation. Une pratique qui consiste à « divulguer, afin de nuire à un tiers et sans son consentement, un enregistrement ou tout autre document à caractère sexuel le concernant, que celui-ci ait été ou non réalisé avec son accord ».
Si le fait de réaliser des images de manière consentie peut relever d’un jeu de séduction auquel on se livre dans le cadre d’une relation de confiance, les diffuser sans le consentement de la personne représentée constitue une cyberviolence. Bien qu’elle ne soit pas juridiquement considérée comme telle, la pornodivulgation est une violence sexiste et sexuelle qui peut toucher des hommes, mais cible principalement des jeunes filles et des femmes.