Dans une grande université publique du Midwest, un diplômé m'a dit combien un chien l’a aidé à garder le moral : « C’était vraiment un réconfort de pouvoir caresser cet animal, surtout quand ma famille et mon propre chien ont commencé à me manquer », m’a raconté ce jeune qui participe aux recherches que je mène sur ces nouveaux types de soutien aux étudiants.
Chaque semaine, lui-même et trois camarades passaient 35 minutes avec ce que l'on désigne désormais comme un « chien de thérapie » sur les campus américains, passant du temps à le caresser et lui donner des friandises.
Une autre étudiante du même programme m’a dit que ces moments avaient été précieux pour se préparer à des examens exigeants : « J’avais l’impression que cela me permettait de me détendre avant des échéances stressantes. »