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SANTE

La sobriété médicamenteuse : comment faire bon usage des médicaments ?

Le principal risque d’un arrêt précoce d’un traitement antibiotique ou antifongique est l’échec thérapeutique. Plus grave encore, la bactérie ou le champignon responsable de l’infection peut devenir résistant.

Nous entendons tous beaucoup parler de sobriété énergétique. Qu’en est-il de la sobriété médicamenteuse ? Faut-il être sobre vis-à-vis des médicaments dans toutes les situations – c’est-à-dire en consommer le moins possible – ou existe-t-il des situations où la prise de médicament n’est pas négociable ?

Vous comprenez donc que le sujet n’est pas aussi simple qu’il n’en a l’air. Prenons l’exemple du Dry January : le principe est simple à appliquer car être sobre en alcool est forcément bénéfique pour tous.

Journée sans tabac : la vape et les jeunes, le point sur la « puff »

La « puff » (mot anglais signifiant « bouffée ») est une e-cigarette jetable, fonctionnant avec une batterie (pile au lithium), préchargée et préremplie. Il s’agit donc d’un objet très polluant et non recyclable !

Au-delà de ces considérations écologiques, d’autres arguments motivent le projet de loi actuellement en examen, visant à son interdiction. Cette mini e-cigarette relativement bon marché est en effet notamment prisée des adolescents, malgré une interdiction de vente aux mineurs. Que faut-il en savoir ?

L’activité physique, une alliée incontournable pour la santé de notre cerveau

En plus d’être bénéfique pour notre corps, l’activité physique joue aussi un rôle crucial, souvent insoupçonné, dans le développement et la modification de notre cerveau.

À travers la naissance de nouveaux neurones (la neurogenèse) et la création de connexions entre les neurones (la synaptogenèse) et de vaisseaux sanguins qui améliorent l’irrigation du cerveau (angiogénèse), l’activité physique sculpte le cerveau au même titre que le muscle et participe à améliorer nos capacités cognitives.

Pour booster son cerveau, quelles activités physiques privilégier après 60 ans ?

Avez-vous déjà réfléchi à la raison pour laquelle nous avions un cerveau ? La réponse évidente pourrait être «pour penser». Mais le scientifique Daniel Wolpert réplique une tout autre explication, lors de la réunion de la Society for Neuroscience en 2011 : «Nous avons un cerveau pour une raison et une seule : produire des mouvements adaptables et complexes». Notre cerveau est le chef d'orchestre de notre corps, en organisant nos mouvements et nos actions.

Le suicide des personnes âgées, un phénomène encore tabou

À 75 ans, Raymond est hospitalisé pour une tentative de suicide par pendaison. C’est un contexte de grande solitude, doublé d’un sentiment de panique devant des démarches administratives qu’il n’arrivait plus à gérer, qui l’ont amené à commettre ce geste. Il avait envie d’en finir. Mais, dès le lendemain, il critiquait son impulsion et demandait à être aidé. Un mois plus tard, il a pu regagner son logement avec des aides ainsi qu’un suivi médico-social.

En France, environ 9 000 personnes se suicident chaque année, ce qui représente 25 morts par jour, selon le Centre d’épidémiologie sur les causes médicales de décès (Cépidc). On dénombre par ailleurs dans notre pays 685 tentatives de suicide quotidiennes, soit 200 000 par an.

On estime que ces chiffres sont sous-estimés de 10 % environ, du fait de sous déclarations ne prenant pas en compte les « accidents », les conduites à risques ou le syndrome de glissement, décrit par le gériatre Yves Delomier comme un état de grande déstabilisation somatique et psychique d’évolution gravissime, spécifique des personnes âgées.

La tendance est cependant à la baisse dans toutes les classes d’âge, à l’exception notable de celle des personnes âgées. Ainsi, au-delà de la classe d’âge des 70-75 ans, 3000 morts par suicide sont annuellement enregistrés, ce qui représente 30 % de l’ensemble des suicides. Signalons que [75 % des décès par suicide concernent les hommes de plus de 65 ans]. Pour eux, le ratio tentative de suicide/suicide abouti est proche de 1, car ils utilisent des moyens violents (pendaison, arme à feu, précipitation sous un train ou défenestration).

L’addiction aux écrans, un diagnostic valide ? Qui est touché ?

Smartphones, tablettes, ordinateurs, téléviseurs, consoles… Les écrans et Internet font partie de notre quotidien pour une vaste étendue de services, parmi lesquels faciliter notre accès à l’information, traiter des données ou nous divertir. En moyenne, les Français passeraient 20 heures par semaine en compagnie d’écrans dans le cadre de leur activité professionnelle, et 36 heures pendant leur temps libre.

Tout en s’avérant profitable dans beaucoup de domaines, cette « cohabitation » avec les écrans a aussi vu émerger des difficultés et certaines inquiétudes, notamment lorsque l’usage est considéré comme excessif – et se trouve alors associé à des problèmes de sommeil, de performances scolaires, etc. L’expression « addiction aux écrans » s’est ainsi installée dans le débat public.

Le Social est édité par la société Social Connexion. Son équipe propose des services en ligne depuis plus de 25 ans dans le domaine du secteur social et du médico-social.

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