Les menstruations, la masturbation, l’homosexualité, autant de sujets qui peuvent faire frémir les pédagogues les moins téméraires d’entre nous. Autant de sujets dont on présume – souvent à tort – qu’ils seront introduits dans des séances scolaires d’éducation à la sexualité.
S’il est une question brûlante, âprement débattue dans le milieu scientifique comme dans le grand public, c’est bien celle relative à l’héritabilité de l’intelligence. Mais de quoi parle-t-on, précisément ?
La note à l’école fait régulièrement débat sous nos latitudes. D’un côté, on la condamne, car non seulement elle serait subjective, mais elle démotiverait les élèves, les humilierait, et servirait des finalités telles que la préservation des élites ou le maintien d’un pouvoir de l’enseignant sur sa classe.
Jusqu’où les parents devraient-ils s’investir dans la scolarité, les activités et l’épanouissement de leurs enfants ? De nombreux psychologues et sociologues dénoncent ces derniers temps le trop plein d’attention déployé par les « parents hélicoptères », ainsi désignés car ils restent en position stationnaire au-dessus de leur progéniture, à l’affût du moindre de leurs besoins.
Étymologiquement, le mot pédagogie veut dire « l’art d’enseigner aux enfants » – paidos, en grec ancien, signifiant « enfant ».
La France est l’un des pays européens où les adolescents consomment le plus de produits stupéfiants. 80 % d’entre eux expérimentent plusieurs produits – tabac, alcool et cannabis, selon les chiffres de l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies.