La crise sanitaire liée à la Covid-19 a conduit à la paralysie de la mobilité internationale en 2020. Les étudiants désireux de réaliser un semestre d’études, un stage ou une année de césure à l’étranger en ont été les victimes. Et l’on peut penser que cette crise aura un impact sur la mobilité de ces jeunes de manière durable car de nouvelles réticences peuvent apparaître (chez les étudiants et/ou leurs parents) et de nouvelles vagues de pandémie ne peuvent être exclues.
Pour conserver ce que les étudiants apprennent en partant à l’étranger des solutions alternatives voient le jour, mixant mobilité hybride et internationalisation à la maison. Ces nouvelles formes de mobilité, loin d’être des pis-aller, présentent deux avantages importants : elles permettent une meilleure préparation au séjour à l’étranger tout en favorisant l’inclusion des étudiants vulnérables.